Roue de Fortune La naissance haute dans les contrées altériennes, la croyance de sa sainte mère qui infiltre ces veines, soumise aux désires qu’elle respecte, qu’elle aime. Choix et destiné qui se mêlent pour tracer le chemin de sa vie
L’amoureux Lien avec l’Autorité qui dirige son cœur, premier et dernier amour avec lequel elle donne sa vie romantique comme sexuelle. La pureté et les ordres qu’elle respecte, purement humaine, seule le radicalisme de sa croyance dirige sa vie
Le Diable L’Effondrement explosant en myriades de particules le monde physique, les repères restent spirituellement stable dans son palpitant. Punition apocalyptique de la répétition des péchés originels, impossible à absoudre totalement, il ne reste que les âmes égarés à sauver
La Papesse Fidèle servante des dessins obscurs de sa faction qui exécute les volontés impénétrables du Seigneur, loyauté immarcescible à cette faction et à ses objectifs. Une piété sans pitié
L’impératrice Les ramifications de la toile qui s’étendant, éminence grise qui dans les mouvements de sa toge tortille les serpents de la tromperie. La croyance brille en elle comme la flamme de la vérité, enfermant ces choix dans une grille encerclante, jamais étouffante, des croyances pandémoniques.
La justice La fin justifie les moyens, croyance immarcescible qu’elle doit se sacrifier pour sauver cette humanité enfoncée dans ses dilemmes véniels.
Le Soleil Mère vierge des abandonnés orphelins qu’elle reccueille dans le creux de ces bras et des lits où s’entassent les corps souvent trop maigrelets. Des innocents encore sauvables des tentations pécheresses
La Lune Mère contrôlante de ces araignées, les doigts qui trient le bon grain de l’ivraie pour créer en pygmalion les petites mains les plus efficaces du système de renseignement des pandémoniques