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la (presque) première rencontre | ft. ariel
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Pseudo : ái vân / élodie
Pronoms : elle/she
Faceclaim : jenna ortega
Dialogue : DarkSeaGreen (odalys) & #67895D (lirong)
Crédits : fassylovergallery
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We have calcium in our bones, iron in our veins,
Carbon in our souls, and nitrogen in our brains.
93 percent stardust, with souls made of flames,
We are all just stars that have people names.
— Nikita Gill
Specie : sorcière
Età : 28 ans
Lavoro : tisserande - couturière
Daemon : lirong, grue à couronne rouge
Fazione : noénautes (exploratrice)
Capacità : niveau 1
Mondo : alterre
Cuore : homosexuelle, polyamoureuse
Personnage : Classique
Sorcière

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(#) la (presque) première rencontre | ft. ariel Lun 18 Mar - 12:28

chapitre 1 : la (presque) première rencontre

« Les rubans sont mal rangés, Odalys » Et du bec, la grue pointe un coin de l'atelier où les bobines de tissus colorés s'entassent maladroitement, résultat d'une nuit de travail. Aussitôt, la jeune sorcière s'y précipite et commence à ranger. L'atelier doit bientôt ouvrir ses portes, et elle déteste accueillir ses client‧e‧xs dans un lieu en désordre. Ce n'est pas professionnel.

« Notre premier rendez-vous du jour, c'est Ariel en plus » Avec un bâillement, Lirong étire ses grandes ailes avant de se caler confortablement dans l'immense nid duquel il peut surveiller toute l'activité de la tisseranderie, dont celle de la tisserande en question. « Tu pourrais aider, elle va bientôt arriver » gourmande Odalys, sachant déjà que ce sera vain. Et Lirong ne manque pas de lui donner aussitôt raison : « Je suis fatigué, on a veillé tard hier soir. » « Je suis fatiguée aussi » Rétorque-t-elle, un bâillement au bord des lèvres. « Je peux le sentir, tu sais. » Le claquement de son immense bec danse entre la douce inquiétude et la lasse évidence. Et elle rit, le sourire en coin chargé de tendresse pour cette moitié d'âme. « Repose-toi pour nous deux, alors. » Acquiesce-t-elle, se redressant, la main tendant vers le bec de Lirong pour venir le gratter.

La main vient lisser lentement le tissu de sa combinaison de travail, le débarrassant d'une poussière imaginaire, lorsque le carillon de l'entrée sonne d'un son joyeux de clochettes claires. Et immédiatement, Odalys pivote sur ses talons, un sourire de commerçante aux lèvres « Bonjour Ariel ! Comment vas-tu ? » Le corps ne tarde pas à se mettre en mouvement, s'approche de la jeune femme pour l'accueillir : « Est-ce que tu souhaites quelque chose ? De l'eau, du thé, du café ? Tu peux t'installer dans le coin d'essayages, elle lui présente l'espace délimité par des paravents et d'épaisses tentures entre lesquelles on peut apercevoir de hauts miroirs à l'aspect hétéroclite et un canapé en jonc de mer, chargé de coussins : je vais chercher ta robe. »


choisir l'obscurité du crépuscule.
l'audace en vous.
Ariel Lazzaro
Ariel Lazzaro
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Specie : La rétine explosée par le passé, tu te dévoiles en haruspice.
Età : 28 ANS et la vie devant soit, la mort après toi.
Lavoro : ESPIONNE ; tu mens, tu triches, tu te perds toujours plus loin. Toujours plus vite.
Daemon : ANGELE ec
Fazione : ZUTIQUE d'appartenance, simple sympathisante. Tu joues pourtant double jeu, tu joues pour tes cavalier.e.xs, en bonne ange tombée du paradis, tombée de scène.
Capacità : L'HARUSPICIE glisse, s'immisce dans les doigts gantés. Les visions du passé s'éclatent sur la rétine du contact d'une main nue sur une peau, le passé se dévoile dans leurs arabesques les plus noirs, les plus brutales des coeurs, des secrets qui jamais ne devraient retrouver la lumière.
Mondo : MIXTE (MI GAZZI, MI ALTERIENNE), le sang se mêle et s'entremêle. Le sang ne ment pas.
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Lun 25 Mar - 20:08

chapitre 1 : la (presque) première rencontre.

Un claquement de langue agacée face à ton reflet dans le miroir. Les cernes sont trop vivaces, trop éclatées dans leur teinte de violet et de rose. La voix délicate d'Angéle te susurre, tout au bord de ton oreille : " Tu devrais les cacher. Personne n'aime les personnes fatiguées. " Un frémissement à ses paroles, tu saisis mécaniquement le pinceau face à ta coiffeuse. Le maquillage s'étire, les cernes s'estompent jusqu'à disparaître dans un jeu soigneusement étudié, dans des artifices toujours appliquées. Tu te sublimes d'un peu de rose sur tes joues, dune pointe d'un rouge naturel dans un effet mordu sur les lèvres. De quoi donner envie de t'embrasser, de ravir ta bouche. " Voilà qui est mieux. ", la délicate luciole approuve, s'installant lentement sur ton tragus.

Tu te mords pourtant les lèvres en t'observant, doutant de plaire à la jolie couturière. Tu as, soudainement, ce petit, ce si petit doute, que tu n'es peut-être pas si irrésistible. Et puis le sourire au reflet, un gloussement : dans quel monde se serait possible ? Dans quel univers, les cœurs ne fléchissent, s'infléchissent pas pour toi, étoile plus brillante, plus éclatante de cette cité de malheurs ? Tu oublies, pourtant, que l'étoile s'est tuée, crashée. Que sa superbe n'est plus qu'histoire ancienne.

Même si tu l'ignores, si tu refuses de l'entendre, juchée sur tes talons hauts, abordant une merveille qu'elle a tissé de ses doigts. Même si le coeur bat un peu plus vite dans la poitrine. Même si, au fond, t'as peur. Peur d'être oubliée. Peur de n'être pas assez attirante, assez charmante. Peut-être que c'est pour ça que tu réajustes une dernière fois ton rouge à lèvres avant d'entrer. Lentement, tes pas te portent. Le palpitant s'accélère dans la poitrine, toujours ce tract avant de monter sur scène. Mais il faut y aller, il faut te dépasser.

Tranquillement, lentement, le carillon annonce ta présence. Il va falloir jouer, il va falloir continuer quoiqu'il advienne. Mais aujourd'hui, tu es Ariel, tu es toi. Le sourire s'agrandit en voyant Odalys. « Bonjour Ariel ! Comment vas-tu ? », elle est toujours un petit soleil, une énergie qui te baigne toujours. Tu as l'impression qu'il y a un monde de tendresse dans le sourire de l'être face à toi. Tu as l'impression que les faux semblants tombent ici. Tu peux être toi, ici ; pas la princesse à la Guerre, pas l'ange déchue de tes cavalier‧e‧xs, pas Arla, Arianne ou une autre. Juste toi. C'est peut-être pour ça que c'est aussi rafraichissant, grisant d'être avec la jeune sorcière. " Bonjour Odalys, ma très chère amie, les yeux pétillent, la malice s'invite toute en douceur, en candeur sur le bord de la langue. Oh tu n'as jamais envie qu'elle ne soit qu'une amie. Toujours bien quand je suis avec toi. Menteuse, tu caches les cernes sous mille et un artifice. Menteuse, tu ne veux pas qu'elle voit les fractures, les identités multiples, les jeux auxquels tu t'adonnes. Mais il y a un peu de vrai que tout va mieux quand elle est là. Les mains gantées viennent doucement pressées les siennes. Oh non, laisse-moi juste une seconde pour te regarder. Tu n'as pas l'air d'avoir beaucoup dormi, non ? La moue est un peu boudeuse, terriblement joueuse dans cet éclat qui danse dans le fond des pupilles. T'as toujours été une enfant du malin, une gamine enivrée par tout ce qui est puissant, saisissant dans ce monde. L'amour est après tout une drogue dure, la séduction une envolée en avant. Le pouce gantée vient doucement cueillir son menton : Oh oui. Vraiment pas beaucoup. Mais déjà, tu la relâches d'une caresse. Tu te fais plus docile dans son aire de jeu, susurrant : j'espère que ce n'est pas moi qui ait troublé tes nuits. " Un peu que t'espères que c'est pour toi qu'elle est restée éveillée. Est-ce qu'elle t'a rêvé ? Est-ce qu'elle t'a espéré ? Est-ce qu'elle t'espère toujours ?

Tu évolues dans une démarche soigneusement mesurée, détaillée comme si la boutique était devenue ta scène. La façon dont la jupe chaloupe, chavire tes mouvements est une invitation à la sensualité, une idée que tu distilles soigneusement, doucement. Tu passes derrière les paravents, jetant un regard rieur à la noénaute, la langue est tueuse dans ses mots lâchées : " J'ai déjà hâte que tu m'aides à la passer. " Rien ne te semble interdit, rien ne te semble impossible dans l'espace de la petite boutique.

Tu t'envoles dans un rire chantant, une facétie qui est tellement toi. Doucement, tu t'assois sur un pouf, défaisant doucement tes talons. Les pieds sont nus sur le sol, un frémissement de froid les mord. La jupe tombe dans un fatras de tissu, bien vite rattrapée par tes mains soigneuses. Tu plies déjà le vêtement, glissant à Odalys : " Tu as beaucoup de rendez-vous ? " Pourquoi un double sens se glisse déjà sur ta langue ? Pourquoi il semble que tu lui demandes son nombre de dates plutôt que son nombre de rendez-vous professionnels ? T'en souris : " Moi, aucun. "
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Ven 29 Mar - 18:29

chapitre 1 : la (presque) première rencontre
Le carillon annonce Ariel et quand elle entre, c'est comme si l'endroit se nimbait de sa présence, comme si les traits de la réalité devenaient plus francs et les couleurs, plus vives. La jeune femme a ce charisme, cette aura brillante, chatoyante comme ces tissus liquides qui vous coulent entre les doigts sous leur incroyable soyeux.

« Bonjour Odalys, ma très chère amie. Toujours bien quand je suis avec toi. » Odalys rougit un peu, contente de ce qu'elle sait être une flatterie, un compliment un peu facile mais qui la rend heureuse malgré tout. Docile, Odalys lui cède ses mains, et l'entrée dans son espace personnel. « Oh non, laisse-moi juste une seconde pour te regarder. » La sorcière laisse faire et, pas aussi innocente qu'on le croirait, elle en profite pour admirer à nouveau les traits délicats de sa vis-à-vis. Cette fois comme à chaque fois, le constat la frappe : Ariel est belle, vraiment vraiment belle. Puis, immédiatement ensuite, une autre idée la titille, l'interroge : à quel point est-elle plus belle encore sans tous ces atours ? Glisse inconsciemment un sourire d'une joie amusée sur le visage de la sorcière.

« Tu n'as pas l'air d'avoir beaucoup dormi, non ? » Un sourire ponctue l'acquiescement, l'aveu silencieux alors qu'Ariel continue : « oh oui. Vraiment pas beaucoup. J'espère que ce n'est pas moi qui ait troublé tes nuits. » « C'est même entièrement ta faute, Ariel, glisse-t-elle avec une moue doucement accusatrice : il fallait finir ta robe. » Et dans la courbe faussement boudeuse de la lèvre, il y a comme la promesse qu'il faudra se rattraper, la dédommager pour cette nuit, presque, blanche. « Je m'attends donc à une juste compensation, tu t'en doutes. » Le clin d'œil qu'elle lui décoche vacille entre la malice du flirt et le sérieux des affaires alors qu'elle l'invite à s'installer le temps qu'elle aille chercher la robe commandée. « J'ai déjà hâte que tu m'aides à la passer. »

« Mets-toi à l'aise, l'invitation est lancée alors qu'elle part chercher la robe dans l'arrière boutique, là où naissent ses merveilles de tissage et de couture : Et tu ne m'as pas répondu sur ce que tu souhaites ? »

Il ne lui faut pas longtemps pour revenir, toute professionnelle dans sa tunique de travail, portant la délicate robe dans une toile de protection. Obligeante, elle toque sur une poutre pour signaler sa présence - bien que ses multiples reflets dans les miroirs la trahissent déjà. Puis à l'invitation d'Ariel, elle pénètre dans l'espace des essayages. La surprise passe un instant sur son visage quand elle constate que la jeune femme a déjà retiré sa jupe, dévoilant de fines jambes, mais bien vite, un rire s'égare : « Voilà la robe, j'ignorais que tu étais si impatiente de l'essayer, le vêtement est dévoilé, présenté avec une confiance bâtie sur l'expérience de son succès au sein de la Ville Basse : est-ce que c'est bien conforme à tes désirs ? » Mais elle sait déjà que oui, elle n'est plus une débutante depuis longtemps désormais, et elle connait ses client‧e‧xs. Alors d'un geste, elle l'invite à se placer devant les miroirs : « il va falloir retirer ta blouse, aussi. »

« Tu as beaucoup de rendez-vous ? » Demande Ariel et elle n'a pas le temps de répondre que la femme glisse déjà un « moi, aucun. » qui la fait rire et sourire, pas dupe du sous-entendu qui se glisse et s'enlace à la question. Et un rougissement de plaisir s'égare sur les joues d'Odalys, à l'idée qu'Ariel ait envie de passer du temps avec elle : « Tu es mon seul rendez-vous ce matin. Je suis toute à toi jusqu'au début d'après-midi si tu le veux. »


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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Dim 31 Mar - 23:12

chapitre 1 : la (presque) première rencontre.

Le rougissement délicat sur ses joues te frappe d'un constat : ça lui va bien. Tu manipules aussi bien les mots que les artifices mais il y a toujours cette satisfaction, ce contentement de chat heureux quand tu fais mouche. Surtout quand ça la concerne, elle. Surtout quand elle te laisse faire.

L'œil pétille, explose d'une malice vivace lorsque tu remarques que les yeux noisettes s'égarent sur les traits de ton visage. Oui, tu es jolie. Oui, tu le sais. Oui, tu en uses et abuses. La beauté n'est après tout jamais un crime et il faut savoir s'en servir pour en tirer son parti. Mais il y a toujours ce bonheur de plaire. Et surtout de lui plaire. Parce que tu aimes ce que tu vois dans les yeux d'Odalys. Tu t'aimes dans le reflet qu'elle te renvoie. Et tu t'aimes toi. Pas Arianne. Pas Arla. Pas une autre, il y a juste toi.

Toi et elle. Elle et toi, c'est déjà parfait.
C'est déjà comme ça doit être.

Et un sourire s'étire à l'acquiescement, à la phrase de la brune : « C'est même entièrement ta faute, Ariel, il fallait finir ta robe. » La moue te fait lâcher un rire si doux, si tranquille. Un rire dénué de la moindre intention cachée. Avec Odalys, tu ne joues pas à ce jeu de dupe. Avec Odalys, tu ne mens pas (ou si peu). « Je m'attends donc à une juste compensation, tu t'en doutes. » Voilà qu'elle t'ôte les mots de la bouche, toi qui allait promettre et jurer de te faire pardonner. Et cette fois, c'est toi qui rougis à la malice de la noénaute, tes joues prenant cette teinte agréable des plaisirs coupables. " Ne t'inquiètes pas, promesse douce, évidente et puissante. Je saurai me faire pardonner. " Un sourire appuyé et aguicheur, une œillade séductrice.

Le pas est léger, les talons claquent dans une démarche parfaitement étudiée - mille fois corrigée. Tu n'étais jamais assez bien pour iel. Et il en reste des traces partout sur toi : la façon dont tu te tiens, la façon dont tu respires, cette façon de sourire, de battre des cils. Iel t'a façonné, sculpté à la manière des metteur•euse en scène. Et pourtant tu t'arraches au souvenir, à la mémoire. Tu les éclates de l'aiguille de tes talons, sans un regret. A quoi bon penser aux mort•e•s quand les vivant•e•s sont ici-bas ? A quoi bon s'enliser, pleurer sur le passé ?

Lentement, tu disparais derrière le paravent. A la question d'Odalys, tu as un sourire, une malice au bout de la langue : " Rien ! Juste toi, ça me suffit. Un petit silence étudié, un pause pour laisser aux spectateur‧rice‧xs la joie de respirer avant la chute : Toi et ton aide si précieuse. " Tu laisses évader la promesse de ses mains courant sur ton corps, la sensation d'elle à tes pieds. Bien sûr, tout cela n'est que purement professionnel. Tout comme quand tu laisses la jupe tomber, lorsque tes jambes s'exposent, se dévoilent. Tout comme la délicatesse de la dentelle de ta lingerie - ça, ce n'est pas signé de ses mains. Comme si tu souhaitais lui laisser encore quelques surprises.

Les jambes croisées, tu as glissé tes yeux sur les miroirs. Le maquillage est parfait, tout comme tes cheveux, tu n'as absolument rien laissé au hasard. Tu es parfaite de l'orteil verni, en passant par la peau soigneusement parfumée, hydratée jusqu'à ton rouge à lèvres. Tu te sais parfaite. Mais il y a une sensation d'inachevée. Il y a une sensation de brouillon, de ne jamais être assez bien. Comme si, ça pouvait aussi t'arriver à toi aussi.

T'écartes la pensée ; rien ne sert de la ressasser. Et la sorcière est déjà là, te faisant pivoter la tête vers elle. Ton visage s'éclaire, le sourire est plus grand, tellement charmant. Tu n'as pas besoin qu'elle toque pour s'annoncer. Elle rit doucement de te trouver sans bas devant elle, les cils battent, en toute innocence : « Voilà la robe, j'ignorais que tu étais si impatiente de l'essayer,  est-ce que c'est bien conforme à tes désirs ? » " Je suis toujours impatiente quand il s'agit de toi. " La réponse est au tac à tac. Derrière les dehors charmants, il y a toi qui sais parfaitement ce que tu vaux, ce que tu veux. Doucement, tu te redresses sur tes jambes, approchant lentement la housse et la robe. Tu replaces une mèche derrière ton oreille, dévoilant Angèle et ses petites antennes, ses ailes délicates. Un mouvement délicat pour indiquer un " Bonjour " à Odalys, une voix diaphane, délicate pour l'accompagner. Tu t'approches, demandant silencieusement si tu peux toucher le produit fini. Ce que tu vois te plait déjà mais tu n'es jamais déçue par ses talents. Au fil du temps, la Covenant a appris à te connaître, à comprendre ce qui ne trahit jamais tes préférences. Et pourtant, tu restes soufflée quand ta main s'invite sur la douceur, la fluidité du tissu. " Superbe. Elle est absolument superbe. "  Tes yeux remontent aux siens, l'expression place d'un plaisir d'avoir tout ça pour toi à un sourire solaire, spectaculaire. " Ma dette s'agrandit. " Et la malice revient de deux petits pas, évoquant ce que tu lui dois et ce que tu es prête à faire pour ça. Même si tu aimerais ne jamais l'effacer pour sans cesse revenir, lui revenir.

Docilement, tu montes sur l'estrade, accueillant sa remarque avec un petit rire : " Te voilà impatiente à ton tour. Et pourtant les mains viennent chercher le tissu, écoutant ses réponses. Devant les miroirs, il y a un rosissement de plaisir à la savoir à toi pour cette matinée. Tes désirs sont des ordres. " Et ni toi, ni elle n'êtes innocentes dans ce flirt en mille teinte. Ni elle, ni toi vous n'en réchapperiez. Mais souhaites-tu vraiment t'échapper ? Oh ça non, ô grand jamais. Les boutons glissent dans leur ouverture, plus doucement qu'à l'ordinaire. Tu feras tout pour continuer de jouer. Très lentement, très sensuellement, la blouse s'ouvre sur la lingerie délicate qui gante ta poitrine, embrasse les mamelons. Tu la retires doucement, la pliant soigneusement avant de la déposer au côté de la jupe. " Est-ce que ça te va ? " Cette quasi nudité alors que tu tends les mains vers la robe. Elle en a vu d'autres des corps, tu sais bien. Mais tu n'as jamais été de celleux oubliables. Tu n'as jamais transigé avec l'ordinaire. Tu es sûre et certaine de tes charmes. Et tu chéris l'idée que ta beauté saura captiver, capturer son attention. " Merci, alors que la robe trouve le chemin de tes mains, que le sourire lui est uniquement adressé. Doucement, le vêtement s'ouvre sous la délicatesse de tes mains, remonte sur tes chevilles puis tes hanches, ton buste. Tu veux bien m'aider ? " La proposition n'est peut-être pas pour t'aider à la fermer. Et avant qu'Odalys ait le temps d'approcher ses mains, de gagner ta peau, tu emprisonnes un de ses poignets dans une de tes mains gantées. Tu attires juste son attention lorsque tu lui souffles : " Est-ce que ça veut dire que je peux te kidnapper en t'invitant à déjeuner ? " Ta bouche s'approche de son oreille, ton souffle chaud se crash contre la peau tendre alors que tu laisses s'évader un simple et tranquille " Je suis très douée pour ça." Encore une fois, on peut tout imaginer dans tes mots, on peut tout penser sans jamais y voir la vérité mais tu sembles lui susurrer que tu es douée pour qu'elle ne voit que toi. Que tu brilleras de mille feux pour elle.

Après tout, tant qu'(iels) elle te regarde(nt), tu ne sombres pas dans les ténèbres.
Personne ne t'oublie.
Odalys Covenant
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We have calcium in our bones, iron in our veins,
Carbon in our souls, and nitrogen in our brains.
93 percent stardust, with souls made of flames,
We are all just stars that have people names.
— Nikita Gill
Specie : sorcière
Età : 28 ans
Lavoro : tisserande - couturière
Daemon : lirong, grue à couronne rouge
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Dim 7 Avr - 19:21

chapitre 1 : la (presque) première rencontre
Ariel admire le travail que tu lui présentes, mais toi, c'est elle que tu admires. Tu n'admires pas la beauté de son corps. Oui, tu sais qu'elle est belle, elle est ta cliente depuis assez longtemps maintenant : tu connais les courbes et les creux de son corps, les traits qui la dessinent des pieds à la tête. Tu en rêves, parfois, dans le secret de la nuit. Mais toi, ce que tu admires le plus, c'est lorsqu'elle s'anime : tu admires ce sourire, cette main qui caresse la robe, ce regard content qui inspecte ton artisanat comme si c'était un trésor. Tu l'admires de près, parce qu'elle est encore plus belle dans toute sa vivacité, dans toute son impertinence aussi quand elle t'accuse d'être impatiente.

Et tu ris. Tu te défends d'un maigre « je suis toujours impatiente de voir mes vêtements portés », d'une petite moue qui ne sert qu'à cacher le rougissement de tes joues. Oh si elle savait ces désirs d'elle qui t'agitent, cette envie de plus, de beaucoup plus - est-ce qu'elle prendrait la fuite, elle aussi ? Est-ce qu'elle partirait, elle aussi ? Est-ce qu'elle aurait les mêmes mots que les autres si tu te laisses glisser, si tu te laisses aller ?

Un peu mécaniquement, tu abandonnes la housse sur un crochet et tu la rejoins près de l'estrade où elle trône désormais, déjà un peu reine de toi, et quand tu relèves les yeux sur elle, tu t'efforces de garder tout ton professionnalisme, tout ton sérieux. La peau se dévoile, délicatement couverte de dentelles, et tu ne peux pas t'empêcher de noter, de remarquer que ça ne vient pas de chez toi. « Est-ce que ça te va ? » Et au creux du ventre, tu as déjà un fourmillement qui s'agite, tu as déjà l'envie de lui retirer cette lingerie - pour caresser sa peau nue ou pour la couvrir de tes propres dentelles, tu ne sais pas vraiment toi-même, alors qu'autour de vous, l'air semble prendre sensiblement quelques degrés, un peu plus de chaleur. Lirong, de son perchoir, s'éveille et tu sens son regard peser sur toi. Tu sais déjà qu'il va te dire d'arrêter de la regarder aussi fixement (ou de l'embrasser directement), tu sais aussi l'humiliation que tu vas vivre devant elle, alors tu te dépêches de dire à Ariel d'une petite voix : « Oh, c'est joli, ça te va bien ; ça vient de chez qui ? » Et immédiatement, tes mains s'avancent, tendent la robe comme un bien maigre bouclier de papier entre elle et toi.

Tu t'apprêtes à proposer décider de vous apporter des rafraîchissements lorsqu'elle te demande de l'aide, qu'elle te retient de sa main autour de ton poignet. Et tu te figes, pas encore totalement débarrassée de ton envie de l'embrasser ; tu rougis fort quand tu sens son souffle caresser ton cou, quand ses mots ravivent ton imagination, font vivre mille scénarios romantiques. Au même moment, Lirong claque du bec pour attirer l'attention et, tu le devines, te faire gagner quelques instants. « Bonjour Ariel, bonjour Angele. Nous sommes très content‧e‧s de vous voir. » Le hochement de tête du daemon est gracieux, comme si tout n'était que danse en lui. Et avant de te laisser le temps de dire quoi que ce soit, il enchaîne déjà : « Je suis certain, emphase sur le dernier mot : qu'elle a très envie que tu la captures et de découvrir à quel point tu es douée, Ariel. »


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Ariel Lazzaro
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Fazione : ZUTIQUE d'appartenance, simple sympathisante. Tu joues pourtant double jeu, tu joues pour tes cavalier.e.xs, en bonne ange tombée du paradis, tombée de scène.
Capacità : L'HARUSPICIE glisse, s'immisce dans les doigts gantés. Les visions du passé s'éclatent sur la rétine du contact d'une main nue sur une peau, le passé se dévoile dans leurs arabesques les plus noirs, les plus brutales des coeurs, des secrets qui jamais ne devraient retrouver la lumière.
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Mer 10 Avr - 14:52

chapitre 1 : la (presque) première rencontre.

La moue de la sorcière fait grandir ton sourire. De ses petites lèvres qui se pincent à ses yeux bruns si chauds, tu l'as toujours trouvé jolie. Tellement, tellement belle, même. Même avec les cernes qui s'étirent. Même dans la fatigue. Odalys est d'une beauté douce et puissante dans ses traits juvéniles, dans ses yeux qui t'enivrent et te délivrent. Tu as l'impression que tu pourrais te perdre dans le chatoiement de ses prunelles. Tu as l'impression que tu pourrais y vivre pour dix mille ans. Parfois tu as l'impression qu'elle suffirait, que tu n'aurais besoin que d'elle. Toi qui as toujours voulu le monde entier, les mondes entiers.

Le rougissement ne cache pas la valse des pensées, le slow entre vous. C'est lent, c'est puissant, c'est envirant. C'est parfait alors qu'elle laisse évader qu'elle est toujours impatience de voir ses vêtements portés. Toi, tu te dis que tu préférais l'en débarrasser. Mais tu ne dis rien, tu ne pipes rien ; tu savoures le jeu entre vous deux.  Tu savoures ce goût de passion et de tension, là où les sous-entendus avouent tout. Oui tout est dit et non-dit. Tout est encore à faire alors que les ventres se tordent d'envie. Alors que tu veux crever l'air pour lui arracher un baiser, ravir ses lèvres et ne plus jamais lui laisser de trêves. Qu'elle n'ait que le goût de ta bouche sur la sienne. Qu'elle ne voit que toi.

Mais pas tout de suite. Pas maintenant alors que le tissu te quitte dans une lenteur calculée, désirée. Pas alors que tu te dévoiles, déjà reine de ces jeux- là. Les yeux de la jolie Covenant reste fixement sur toi et t'as un sourire encore plus grand, tes yeux sont pétillants. « Oh, c'est joli, ça te va bien ; ça vient de chez qui ? », sa voix est douce, fine, un filet qui t'étire un délicieux rougissement. Il y a quelque chose de renversant, d'enivrant d'être belle à ce qu'elle en perd la voix. Il y a un frémissement à ce désir à fleur de peau. Et le constat éclate : c'est toi qui plaît, qui lui plaît. Il t'étire un battement de coeur, un balbutiement de ton âme. Il glisse un si délicieux sourire. Un de ceux qui te bouffent le visage. Un de ceux que l'insolence ne sait briser, ne sait tuer. Parce que personne ne te tuera jamais. Parce que les étoiles brillent pour un million d'années même après leur mort. Et tu t'approches, te mordant la lèvre : " D'un très bon ami pour le tissu. " La beauté de la lingerie captive l'œil averti, dévoile les trésors que Mort tisse, immisce.

" Et d'un•e couturier•e moins bon•ne que toi pour l'assemblage. " La moue devient moins mutine, moins taquine alors que tu avoues qu'iel t'a laissé des sueurs froides à l'idée qu'iel ait pu massacrer la dentelle créée par ton si précieux cavalier. Tu aurais aimé une robe toute transparence, renversante dans le jeu de la dentelle, absolument époustouflante dans le jeu de ta peau en clair obscur. Et iel ne te reste que ça du tissu que tu t'es entêtée à réclamer à l'Absent aux combats. Au fond, tu as failli en chialer. " Ça m'apprendra à te faire des infidélités", les traits retrouvent leur chaleur sur le fil de la plaisanterie, des sous-entendus. Les traits semblent s'éloigner de cette haine passagère, de cette haine étrangère à ce corps si gracile, tellement futile. Si seulement.

Et t'es gourmande lorsque t'enfermes son poignet entre tes doigts, lorsque tu l'approches de toi. Encore plus proche de la chaleur de l'étoile. Encore plus proche de l'implosion, de l'explosion alors que ses joues se colorent. Ton souffle caresse sa peau, traçant un désir si cruel, si brutal. Un désir dont tu es l'éternelle reine. Le claquement de bec du daemon te fait lever la tête, relâcher la pression de tes doigts, offrir un sourire à Lirong. Angèle agite ses petites antennes, te soupire à l'oreille qu'il était vraiment obligé d'intervenir. Patience, penses-tu. Le jeu n'en sera que plus beau. Le jeu n'en sera que plus enivrant. " Bonjour Lirong, un rire fleurit à ses derniers mots, te faisant relâcher Odalys. Angèle te salue aussi, tu ne pourrais juste pas l'entendre d'ici. La voix d'Angèle n'est souvent qu'au creux de ton oreille, rares sont celleux qui l'entendent. Pareillement, le plaisir est toujours partagé. T'insistes bien sur le mot plaisir, décochant une œillade complice à la sorcière, laissant l'imagination faire le reste. Oh vraiment ? T'es charmante alors que les mots se suspendent à peine alors que tes yeux se tournent vers ta complice, la déjà-plus-qu'amie. Les doigts pianotent du poignet jusqu'au coude, habiles, laissant les frémissement se perdre : tu sais déjà comment tu veux être capturée ? " Sur la langue s'ourle des sous-entendus où la dentelle et vos corps s'entremêlent, où tu fermes ce rideau sur vous deux. L'image de vos lèvres se trouvant t'étire un long frisson.

Et soudain tes doigts la quittent ; il ne faut pas aller trop vite. Les yeux passent dans les siens, ces lueurs les faisant briller, chantonner.  Oui, il faut faire durer le plaisir, laisser le désir grossir. Cette fois, tu te tournes, la laissant t'aider à fermer la robe alors que ton dos s'expose, que le grain de peau est parfait, dénué de la moindre cicatrice, du moindre souvenir douloureux. " J'ai bien deux-trois idées, de celles qui la tirent sur l'estrade, qui enlacent ses doigts aux tiens, où la bouche se perd à la sienne. Tu préfères manger chaud ou froid ? " Dans le reflet du miroir, l'oeil semble demander si elle veut être prise ici et maintenant ou un peu plus tard. Si elle veut continuer à jouer avec toi ou céder, te céder tout.

Ou peut-être que c'est toi qui cédera ? Parce que la patience c'est bon pour celleux qui savent. Parce que même toi, parfois, tu veux connaître la fin. Et tu te demandes comment Odalys serait, défaite au milieu de son atelier, de ses rubans et des tissus : est-ce que sa beauté serait plus brûlante ? Est-ce que tu en redemanderais encore et encore de ses joues rouges, de son souffle saccadé, de son corps épris par le plaisir ? Oui, tu en voudrais encore et encore. Tu en redemanderai encore et encore. Et le désir n'en serait que plus fort. " On pourrait aller manger vers le port, proposes-tu. Et se balader sur la plage. " Et s'embrasser face aux vagues.
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Carbon in our souls, and nitrogen in our brains.
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We are all just stars that have people names.
— Nikita Gill
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Mer 10 Avr - 20:53

chapitre 1 : la (presque) première rencontre
« Ça m'apprendra à te faire des infidélités. » La plaisanterie t'arrache à la contemplation de l'haruspice, et tu lâches un petit rire : « j'espère que tu as appris ta leçon. » Pourtant, tu es d'accord avec elle : le travail de tissage est exquis et délicat (et tu reconnais l'œuvre de cet insupportable de Hyacinth Brennan). En revanche, le travail de couture te fait froncer les sourcils, peint comme un peu de mécontentement sur tes traits. Dix fois, tu te dis que lae couturier‧ère, quelqu'iel soit, n'a pas su mettre Ariel en valeur. Cent fois, tu songes qu'iel aurait dû faire ceci, ou cela, à la place.

Mais, au fond, ce à quoi tu penses, c'est qu'en toi, se disputent la couturière et l'amante, que l'une voudrait la changer alors que l'autre voudrait la déshabiller pour la vêtir de tes bras autour d'elle.

Et Lirong te sauve la mise.
... Ou pas, réalises-tu quand sa remarque résonne dans l'air brusquement plus chaud de l'atelier. « Lirong ! tu grondes sans pour autant pouvoir l'accuser de mentir sans mentir toi-même : garde tes certitudes pour toi » Ca ne semble pas vexer le daemon qui se cale un peu mieux dans son perchoir et claque le bec avec un contentement visible, fier de lui.

Un frisson te griffe la peau délicieusement quand tu sens les doigts d'Ariel glisser sur ton avant-bras, quand tu les imagines déjà contre cette même nuque où elle a perdu son souffle chaud un peu plus tôt. « Tu sais déjà comment tu veux être capturée ? » Le rougissement gagne ta nuque en même temps que les images de vos corps nus, que le chant de sa voix qui t'appelle, te réclame. Alors que les fantasmes réservés à tes nuits solitaires s'invitent en plein jour, juste devant celle que tu convoites de tes rêves. « Peut-être ? » Souffles-tu, évasive, comme si tu jouais au même jeu qu'elle. Mais tu sais ce tu attends, ce que tu veux. De la tendresse. De la douceur. De l'amour et des souvenirs à graver à jamais. Mais ça, tu ne peux pas vraiment lui dire, n'est-ce pas ? Elles t'ont toujours abandonnée parce que tu aimais trop fort, parce que tu en demandais trop.

Soudainement, Ariel se retourne, te présente son dos et c'est comme si les rôles s'inversaient ; comme si, libérée de son regard, tu retrouvais un peu de ta confiance et de ton aplomb. Et, aujourd'hui, tu en profites un peu quand tes mains calleuses frôlent sa peau douce, en boutonnant la robe. Tu restes convenable, respectable. Mais tu es sûre que ce soir, le soyeux de cette peau reviendra te hanter, te bouleverser. « J'ai bien deux-trois idées, tu préfères manger chaud ou froid ? On pourrait aller manger vers le port. Et se balader sur la plage. » Un pas t'amène plus près d'elle. Juste assez pour que tes mots viennent s'écraser contre sa peau alors que tu attaches les derniers boutons. « Vu la température, je préfère manger chaud. » Vu ta température, tu ferais bien de te calmer, sermonne la part raisonnable en toi, mais l'autre part, celle qui veut chuter, tomber droit dans les filets d'Ariel, est la première à parler, à jouer avec le feu. « Et tes idées incluent-elles une occupation avant l'heure du déjeuner ? » Demandes-tu alors que tes doigts s'invitent sur le col pour le replacer, arranger la bordure de dentelles : « Faire les ajustements finaux ne me prendront pas toute la matinée, tu sais ... »


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Multicomptes : sienna ; vanja ; hira
Triggers :
Spoiler:
Pronomi : elle
Specchio : la (presque) première rencontre | ft. ariel Tumblr_inline_owe0mh7IIP1tlqojs_400
Specie : La rétine explosée par le passé, tu te dévoiles en haruspice.
Età : 28 ANS et la vie devant soit, la mort après toi.
Lavoro : ESPIONNE ; tu mens, tu triches, tu te perds toujours plus loin. Toujours plus vite.
Daemon : ANGELE ec
Fazione : ZUTIQUE d'appartenance, simple sympathisante. Tu joues pourtant double jeu, tu joues pour tes cavalier.e.xs, en bonne ange tombée du paradis, tombée de scène.
Capacità : L'HARUSPICIE glisse, s'immisce dans les doigts gantés. Les visions du passé s'éclatent sur la rétine du contact d'une main nue sur une peau, le passé se dévoile dans leurs arabesques les plus noirs, les plus brutales des coeurs, des secrets qui jamais ne devraient retrouver la lumière.
Mondo : MIXTE (MI GAZZI, MI ALTERIENNE), le sang se mêle et s'entremêle. Le sang ne ment pas.
Age : 29
Personnage : Classique

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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Dim 14 Avr - 2:04

chapitre 1 : la (presque) première rencontre.

Son rire te fait frémir, rosir.  Il chatouille un goût d'éternité, une saveur d'un instant suspendu, volé au triste quotidien de cette cité ou tout le monde s'entretue. Où tout le monde ment comme un•e arracheur•euse de dents. Ou tu es reine des jeux de dupe, où la tromperie se mêle à tes traits juvéniles, où la beauté se fait voleuse. Parce que tu veux tout et tu la veux elle.

Tu n'as jamais eu peur de tes désirs. Tu n'as jamais hésité devant le moindre plaisir. Il te faut tout, tout de suite. Il te faut tout goûter, tout savourer. T'es trop gourmande, cupide, qu'iels disent. Mais t'as l'impression que si t'as pas tout, on va te l'arracher. On va tout te dérober. Et ça, plus jamais. Jamais, ô grand jamais, tu ne les laisseras faire. T'avais pas les forces, les armes pour te battre à l'époque où le théâtre est parti en fumé. Ou il n'est resté que des cendres d'Arielle Marinelli. Maintenant, tu sais ce que tu veux, ce que tu vaux. Tu sais que tu veux Odalys, nue, défaite, prise et éprise de toi, par toi. Et tes désirs sont dévorants, tes désirs sont un brasier sans fin, résolu à tout avaler. T'as jamais été sage, t'as jamais été que trop gourmande, décidée à ne plus rien abandonner, absolument sûre de ne rien laisser.

Tes amours sont entiers, véritables. Tes amours ne mentent pas. Parfois tu te dis que tu étais faite pour ça, faite pour être aimée, regardée, adulée. Souvent, tu te trouves plus belle dans les yeux de l'autre que dans les tiens. Et t'aimes ça, t'adores ça. Tu vis pour ça.

Et c'est sans doute pour ça que de ses lèvres délicieuses, tu pardonnes à Odalys ce qui aurait pu froisser ton si susceptible ego. Tu aurais pu tourner les talons et ne plus jamais franchir le seuil de cette porte, si c'était une autre qu'elle qui aurait suggéré que tu as appris une leçon. Tu es celle qui les donne, tu n'es plus celle qui les reçoit. Tu ne seras plus jamais l'enfant battue, brimée, imparfaite dans sa perfection. Tu ne seras plus jamais l'étoile qui manquait d'éclat, l'étoile qui a chuté. Plus jamais on ne t'abandonnera aux ténèbres. Plus jamais tu ne les connaîtras. Tu brilleras.

Et tu brilles déjà pour la sorcière. Tu le vois dans ces yeux et le frisson, qui te parcourt, est délicieux. Tu prêtes attention au jeu entre le daemon et sa moitié en filigrane, pensant que cette bouche rosée, tu la dévorerais bien. Et tu flirtes. Tu flirtes si fort. Comme si ta vie en dépendait. Comme si ton existence ne se tenait qu'à ça : à la passion, au frisson, à la pulsion amoureuse. Tu aimes le rouge de ses joues, le souffle un peu ténu, à peine retenu. Tu veux plus de cette voix qui te chasse et s'enlace à tes espoirs les moins sages : « Peut-être ? » au comment la capturer. Peut-être à comment la captiver. En vérité, dans ce peut-être, tu entends oui à ce début d'histoire. Oui à la passion mordante, brûlante. Oui, oui, oui à toi. Oui à ce que tu es. Et t'es ravie. T'es tellement contente de provoquer ça. Ces yeux sur toi sont le plus beau compliment que tu aies reçu. Ces yeux sur toi c'est ton oxygène. Mais c'est trop peu. C'est si peu quand tu veux tout. Absolument tout.

Mais il faut jouer. Il faut faire durer le plaisir, laisser danser, flotter le désir. Même si t'as envie de l'embrasser. Même si t'as jamais été très patiente. Alors tu te retournes, lui offrant ton dos. La main est à la douce couturière. Et comme un appel silencieux, ses doigts flirtent avec ta peau, tirant des frémissements. Ton esprit divague : et si ses phalanges allaient plus bas ? Si les boutons n'étaient pas remis ? Si la robe tombait ?

Les joues rougissent un peu plus fort. Le soupire t'échappe à son souffle sur ton oreille, à la chaleur de son corps plus proche. Tu as l'impression qu'au fil de la séance, les degrés grimpent. La température est plus lourde. « Vu la température, je préfère manger chaud. » Le sourire fleurit dans le reflet. Toi aussi, tu aimes les températures volcaniques, le feu de la déraison, la passion comme un incendie. Mais tu commentes simplement, doucement : " [color=AliceBlueTrès bien. [/color]" C'est presque trop raisonnable entre tes lippes. C'est presque pas toi. Les yeux pétillent, pourtant. « Et tes idées incluent-elles une occupation avant l'heure du déjeuner ? » Cette fois, le sourire est grand, violent, prenant. " Mh, mh. Peut-être ? " Ses doigts s'égarent sur le col alors que cette fois, c'est toi qui reprend ses mots. Mais ton visage raconte une autre histoire. Ton visage est léché d'expressions où la tentation est tout, où la passion s'enflamme. « Faire les ajustements finaux ne me prendront pas toute la matinée, tu sais ... »

Et cette fois, lentement, tu te tournes vers elle, offrant ton dos au miroir pour te trouver face à la noenaute. Yeux dans les yeux, sourire contre sourire, tu laisses s'évader un : " Vraiment ? Le silence ne dure qu'un instant. Vraiment, vraiment ? Tu renchéris et tes pupilles plantées dans les siennes sont mortellement sérieuses, absolument pas menteuses. Parce que ... Dans une lenteur calculée, les mains remontent sur ses hanches, les attrapant doucement, lentement. Une pression de ta part et les corps s'approchent, se rapprochent. Un soupir t'échappe de la sentir si proche, de sentir son parfum : j'ai très envie de t'embrasser. " Le masque tombe, les jeux sont faits, la reine s'est dévoilée. Et la main dévie dans son dos, les doigts pianotent sur sa colonne. La bouche vient doucement, lentement fondre dans son cou dans un premier baiser : " Ici, tu souffles contre ce grain de beauté. Là, tu dardes de la pointe de ta langue en y traînant un autre baiser. Oh et puis pas de jaloux. Tu souffles en caressant la ligne de sa mâchoire de tant et tant de baisers. "

Séductrice, tu sèmes vent et tempête sur sa peau. Tu y laisses un goût vertigineux, capiteux d'amour sur le fil de ta bouche. Pas de pitié en amour comme à la guerre. Tu veux qu'elle fonde, tu veux qu'elle craque. Tu veux tout lui donner et la remporter à la fin. Pas d'hésitation à l'aimer. Et bientôt la respiration se crash à la sienne, à quelques centimètres de lui ravir un baiser, le vrai baiser. " Je veux t'embrasser ici, susurres-tu alors que la bouche dévie de quelques centimètres et plante un baiser à la commissure de ses lèvres. " L'oeil est malicieux, le désir est en floraison et t'as l'impression que c'est peu, c'est trop peu. " Je veux t'embrasser encore et encore. " Le ventre se serre d'envies, d'anticipations. Tu la rêves nue, tu la rêves gémissante. Tu la rêves si perdue à ta bouche. " Est-ce que, toi aussi, t'en as envie ? " De vous deux, si nues, si gémissantes, si perdues à la bouche de l'une et de l'autre qu'il n'existerait rien d'autre. Juste vous. Rien d'autre que vous.
Odalys Covenant
Odalys Covenant
Pseudo : ái vân / élodie
Pronoms : elle/she
Faceclaim : jenna ortega
Dialogue : DarkSeaGreen (odalys) & #67895D (lirong)
Crédits : fassylovergallery
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Lirong › #67895D

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We have calcium in our bones, iron in our veins,
Carbon in our souls, and nitrogen in our brains.
93 percent stardust, with souls made of flames,
We are all just stars that have people names.
— Nikita Gill
Specie : sorcière
Età : 28 ans
Lavoro : tisserande - couturière
Daemon : lirong, grue à couronne rouge
Fazione : noénautes (exploratrice)
Capacità : niveau 1
Mondo : alterre
Cuore : homosexuelle, polyamoureuse
Personnage : Classique
Sorcière

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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel Hier à 21:33

chapitre 1 : la (presque) première rencontre
tw. tension sexuelle

De ta question, tu tentes le diable, tu joues dangereusement. Mais tu n'as jamais vraiment été bonne aux cartes, tu joues trop vite le tout pour le tout, tu mises toujours tout trop vite - comme à cet instant où tu lui demandes, si franchement, si frontalement ce qu'elle te réserve pour le reste de la matinée. La réponse d'Ariel est laconique, mais tes yeux se lèvent et elle est là, la vraie réponse, dans le sourire de l'haruspice, dans son regard, partout sur son visage. Et tu pousses un peu plus loin ta chance, tu insistes : ton travail ne durera pas toute la matinée. D'ici quelques minutes, vous ne serez plus marchande et cliente, alors que serez-vous ?

« Oui » dis-tu de ta voix, mais aussi de tes yeux qui ne la quittent pas, de ton visage rougi, de tes mains qui viennent se poser sur les épaules d'Ariel pour garder l'équilibre contre elle, sur le bord de l'estrade où elle t'a attirée. L'odeur de lys est entêtante, envoûtante dans cette chaleur qui vous embras(s)e toutes les deux. Entre ses bras, tu es déjà un peu prisonnière de son règne sur ton cœur et ton désir : « Ariel ... » Tu soupires son prénom comme une prière, comme une supplication quand elle joue le long de ton cou, quand elle trouve un de ces points faibles qui te font gémir doucement, qui éveillent une envie brûlante dans ton ventre, qui te font déjà frémir pour elle. Elle t'attire plus près du ravin, et toi, tu la suis. Tu la poursuis. Et tu t'agrippes plus fort à ses épaules. « J'ai très envie aussi » Ta réponse n'est qu'un souffle qui s'entremêle au sien, un fantasme qui s'empare de la réalité alors que tu t'approches, que tu assassines les centimètres qui vous séparent pour t'échouer sur ses lèvres, pour te naufrager contre sa bouche.

Et tu l'imagines déjà te dominer.
Et tu veux déjà la supplier.

Doucement, ton corps vient se presser au sien, la réclamer alors que tes doigts frôlent le cou et se glissent dans la nuque pour trouver le premier bouton et le défaire. « Il ne faut pas abîmer la robe. » Le murmure est chaud contre les lèvres, le souffle encore bousculé par le baiser et tu reviens doucement à elle, à ses lèvres, à vos baisers tandis que tes doigts s'affairent dans son dos en caresses délicates, que les boutons se défont un à un jusqu'au dernier.


choisir l'obscurité du crépuscule.
l'audace en vous.
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(#) Re: la (presque) première rencontre | ft. ariel

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