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la nuit le vent — ft. estella
Kretschmar Grimm
Kretschmar Grimm
Pseudo : solomonsuaire
Pronoms : il/iel
Faceclaim : Agathe Rousselle
Dialogue : #983330
Crédits : hel
la nuit le vent — ft. estella 9bm7
Messagi : 418
Fragments : 983
Multicomptes : kafka, simurgh, arthur, nil, eluard, tsoar, nobu
Triggers :
Spoiler:
Pronomi : il/iel
Specchio : la nuit le vent — ft. estella 15f4
Palabres : #983330 ▻ Kretschmar
#4c777b ▻ Miró
Specie : terriblement | humain | avec toutes les tares et tous les vices de ta condition.
Età : | 27 yo | l'âme vieille pourtant de déraper sur des livres sans âge.
Lavoro : | scribe | à la Bibliothèque des Trois Mondes, réparateur de vieux bidules dans la Ville Basse, aspirant | aviateur |.
Daemon : | Miró |, un messager sagittaire.
Fazione : zutiques
Mondo : | Terre | sans artifices ni éclats.
Cuore : amant de ta propre | destruction |.
Staff

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Dialogue : #983330
Crédits : hel
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Specchio : la nuit le vent — ft. estella 15f4
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#4c777b ▻ Miró
Specie : terriblement | humain | avec toutes les tares et tous les vices de ta condition.
Età : | 27 yo | l'âme vieille pourtant de déraper sur des livres sans âge.
Lavoro : | scribe | à la Bibliothèque des Trois Mondes, réparateur de vieux bidules dans la Ville Basse, aspirant | aviateur |.
Daemon : | Miró |, un messager sagittaire.
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Mondo : | Terre | sans artifices ni éclats.
Cuore : amant de ta propre | destruction |.

https://nelvespero.forumactif.com/t876-chambre-obscure-grimm#23670
https://nelvespero.forumactif.com/t867-le-roi-et-l-oiseau-grimm
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https://nelvespero.forumactif.com/t875-collection-de-grimm#23668
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(#) la nuit le vent — ft. estella Jeu 4 Mai - 16:15

Du sommet de la tour Castagniccia, on peut apercevoir les reflets agités de la mer emportée dans la nuit. Les lueurs vacillantes des lampes ambariques dans les casette se sont progressivement éteinte pour ne laisser derrière elles qu’une pénombre bleutée se coucher sur la ville. Le temps est clair, presque trop avenant, et tu respires à plein poumon le vent doux caressant les tours de Cittàgazze. Le genre de vent parlant d’aventures et d’horizons lointains, le genre qui fait palpiter ton cœur plus vite et frissonner ta nuque. Votre relation ambiguë, la nuit, le vent et toi, a souvent attiré les rires des cittadini te voyant t’écraser dans des oliviers ou chuter péniblement dans la mer depuis tes paravoiles dysfonctionnelles. Tu es le seul à comprendre que cet amour que tu leur portes dépasse de loin les blessures et les chutes, car seules quelques minutes de vol te suffisent pour te sentir pleinement appartenir au monde, maître d’un secret que personne d’autre ne pourrait comprendre ; celui du ciel.

Cette nuit-là, tu t’es aventuré dans les ruelles encore animées de quelques auberges, ta paravoile solidement harnachée dans ton dos à l’aide de sangle de cuir. Tu as appris depuis au fil de tes escapades nocturnes à grimper avec brio le long des lierres et des bougainvilliers pour te hisser sur les toits des casette. Alors dans l’ombre d’une ruelle, tu empoignes les branches et commences ton ascension, avant d’atteindre le sommet d’une maison te donnant directement accès à une fenêtre de tour Castagniccia. Possédée par une famille de gazzi, iels en ont fait un petit clocher aux marches en colimaçon, que tu dévales pour atteindre les hauteurs, celles desquelles tu pourras t’élancer. Tu n’es pas le plus discret des saltimbanques, mais jusqu’à présent, tu ne t’es jamais fait prendre sur les toits – ce qui, tout comme de n’être encore jamais mort lors d’une de tes chutes, relève du miracle.

Le panorama qui s’offre à toi est saisissant, et quoique tes yeux le connaissent désormais par cœur, chaque tour, chaque casetta, chaque placette, tu ne te lasserais jamais de le contempler et de t’imprégner de sa beauté secrète, que rien au monde ne sait égaler. Parfois, il te semble presque évident que Cittàgazze ne se soit pas encore tombée ; comment les forces invisibles de l’effondrement auraient pu s’en prendre à un trésor comme ce monde, le seul que tu aies connu. Pourtant, malgré ton amour élogieux de la cité des cimes, tu n’espères qu’une chose : pourvoir t’en échapper, t’enfuir dans le ciel et ne jamais revenir. Car ce qui t’attire plus que cette ville, déchirée par des jeux d’influence et des guerres souterraines, laissée aux chiens de la misère et du doute, c’est cet horizon que tu entends bien toucher un jour du doigt, au-delà de la mer et des falaises.

Alors que tu déposes ta paravoiles et commence à la monter, Miró te met en garde : « Nous ne sommes pas seuls, quelqu’un·e·x vient. » Tu te retournes en quête de cette présence que ton daemon semble avoir repéré, avant de distinguer dans la nuit une silhouette s’approchant. ⠨⠃⠑⠇⠇⠑ ⠝⠥⠊⠞ ⠝⠄⠑⠎⠞⠤⠉⠑ ⠏⠁⠎ ⠢ tu signes, un sourire sur les lèvres, alors que Miró entreprend de traduire. Tu ne te méfies pas de cette apparition soudaine ; il t’est déjà arrivé de croiser des gens sur les toits même au plus profond de la nuit ; des saltimbanques, des poètes, des évadé·e·xs, des sorcier·ère·xs appréciant les hauteurs de Cittàgazze. Pourtant, quelque chose est inhabituel dans la venue de cet·te inconnu·e·x, différent de toutes tes autres rencontres. Quelque chose dans la démarche ou dans l’aura. Tu ne sais pas encore que tes doutes et ta méfiance sont réels.


Je rêve d'une langue
dont les mots
comme des poings
fracasseraient les mâchoires. (e. m. cioran)
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(#) Re: la nuit le vent — ft. estella Sam 8 Juil - 22:42

La pénombre avait, déjà, été pour elle synonyme de confort. Avec le soleil se couchaient les insécurités, les regrets, les maux. Le vent nocturne soufflait sur ses douleurs, les étoiles pensaient ses blessures. Elle léchait ses plaies sous la lumière de la lune, alors que ses gémissements se mêlaient aux mille-et-un autres sons anonymes que l’on ignore en détournant la tête. Elle se fusionnait aux ombres. Là où sa douce jumelle brillait comme un soleil, là où son enfantine rivale faisait naître les rêves, Estella ne surveillait que de loin, baignée dans l’obscurité et les cauchemars. Elle s’était convaincue, avec le temps, qu’elle se plaisait à ce rôle de témoin nocturne. Elle avait laissé aux autres les sourires solaires, les auras chaleureuses et les vers enflammés. Elle, elle brillerait comme cette étoile solitaire qui perce un ciel encore trop clair. Elle envelopperait en un murmure mystérieux comme le faisait cette lune qu’observaient simultanément deux amant·es.

C’est dans cette optique qu’elle est devenue vigile. Comme une évidence, comme un instinct. La nuit était sa moitié, celle qui accompagnait ses pensées frétillantes et ses angoisses suffocantes. Estella arpentait les toits à la lueur des astres et quelques lampes encore allumées derrière les volets fermés. Elle s’y était plu pendant longtemps, ne remettant jamais en question l’équilibre qu’elle avait construit. On ne doute pas des vérités, on les accepte et on s’adapte.
Mais les nuits se succèdent en volant toujours plus rapidement le jour. En grimpant à son poste, Estella se surprend désormais à regretter le soleil qu’elle ne connait qu’à peine. Perchée au-dessus de toustes, le regard levé vers l’immensité du ciel, elle se sent étouffée par ce calme olympien. La noctambule devient imposteure. Les larges bras du soir l’étranglent au lieu de l’envelopper. Le silence fait bourdonner ses oreilles. En distinguant les séries de toits qui se succèdent, elle aurait envie de courir, courir, courir à en déchirer le voile du soir. Faire résonner ses pieds contre les dalles pour animer l’atmosphère endormie. Crier, rire, pleurer pour réveiller le monde engourdi. Se frayer une place auprès de celleux qui brillent lorsque l’aurore s’introduit doucement.

Mais elle ne bouge pas. Les pieds ancrés à leur place, elle laisse ses yeux s’aventurer à sa place. Elle imagine les sons que produiraient son corps si elle osait briser l’ordre des choses, et soupire en décidant de laisser aux soleils de Cittàgazze la chance de se reposer. Les bras croisés sur sa poitrine, elle guette les perturbateur·trices potentiel·les. Elle cherche une menace incertaine. Elle surveille celleux qui chercheraient à accomplir ce dont elle est incapable.

Au loin, une silhouette se distingue. Ses gardes levées, Estella s’approche de l’individu avec une assurance qu’elle emprunte chaque fois qu’elle revêt son uniforme. En réduisant la distance entre elleux, elle distingue la forme atypique qui se dessine sur le dos de l’inconnu. Il signe une parole que son daemon s’empresse de traduire, et la vigile lève le sourcil. « Mh, je suppose. » Parce qu’à ses yeux habitués, les nuits se ressemblent toutes. Il n’y a que les facteurs qui varient –humidité, chaleur, précipitations–, mais la Nuit ne change jamais. « Vous avez des plans pour en profiter, dites-moi ? qu’elle demande en pointant du menton l’imposant objet qu’elle ne reconnaît pas. »
Kretschmar Grimm
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(#) Re: la nuit le vent — ft. estella Mer 27 Sep - 21:52

La nuit s’engouffre jusque dans tes poumons, grande voile de navire grandissant à l’intérieur de toi. Elle fait palpiter ton cœur et se soulever ta poitrine au rythme léger des nocturnes. Tu voudrais parfois qu’il n’y ait pas de jour, que les ombres s’étirent jusqu’à imbiber le ciel à l’encre indélébile. Les yeux levés vers lui, tu tentes de distinguer ce qui ne se distingue plus, les infinis variations des temps et des journées. Seules les astres brûlants à des années-lumière s’accrochent à tes pupilles et les remplissent d’éclats fugitifs. Miró lui aussi contemple le ciel et se perd dans la nuit. Vous n’êtes que deux rêveurs égarés sur des mondes de lointains et de noirs. Dans la pénombre se découpent les toits des casette et des tours de Cittàgazze, ombres sur ombres, comme des morceaux de puzzle détachés de leurs liants et attendant le retour du jour. Quelques fenêtres laissent encore apparaître des lumières vacillantes, si frêles dans cette nuit sans lune, toujours sur le point de s’éteindre et d’être dévorées par des rêves. Toi, tes rêves ne s’éteignent pas la nuit ; ils se ravivent. Ils grandissent, ils se dispersent, ils goûtent à tout et tout les imprègnent.

C’est dans cette atmosphère d’équivoque et de démesure que tu songes au ciel, ce ciel que tu veux dévorer. Alors tu te défais de ton fardeau, l’étends sur le toit de la casetta et commence à assembler la paravoile qui te guidera – peut-être – vers des hauteurs encore plus vertigineuses. Avec le temps, tu as appris les gestes et les mouvements s’enchaînent naturellement, les gaines se tendent et l’armature prend lentement forme. Il ne faut négliger aucun détail, aucun nœud, sous peine des plus grands périls. Tu en as déjà affrontés un certain nombre, tous plus mémorables et sublimes, comme cette fois où tu as terminé ta course dans l’olivier de la place de Melancholia, ou encore ta chute dans le Lonely Ocean, écrasé parmi des récifs où tu aurais pu mourir si une âme, tout aussi en peine que toi, ne t’avait secouru – une âme prénommée Juste. Toutes tes tentatives avortées, tes effondrements personnels, tes chutes dans la mer ou dans les arbres, tes écrasements sur les pavés ou contre les tours, n’ont fait qu’alimenter en toi le désir d’aller toujours plus haut, plus vite, plus intensément. Rien n’a jamais altérer ton besoin viscéral d’adrénaline et de grandeur.

Ce soir pourtant, la nuit n’est pas ton seul empire. Alors que la paravoile prend doucement forme sous tes mains expertes, une présence se manifeste près de toi. C’est Miró qui l’annonce et te fait relever la tête, déconcentré de ton ouvrage. Un sourire vient saluer cette âme qui partage vraisemblablement la même lubie nocturne que toi. Elle ne semble toutefois pas tout aussi enjouée que toi quant à cette nuit pleine et entière qui te soulève le cœur et l’âme. Ton enthousiasme ne s’en trouve toutefois pas altéré. ⠨⠚⠑ ⠝⠄⠁⠥⠗⠁⠊⠎ ⠚⠁⠍⠁⠊⠎ ⠉⠗⠥ ⠟⠥⠑ ⠇⠑⠎ ⠿⠞⠕⠊⠇⠑⠎ ⠏⠥⠊⠎⠎⠑⠝⠞ ⠣⠞⠗⠑ ⠁⠥⠎⠎⠊ ⠏⠗⠕⠉⠓⠑⠎⠲ ajoutes-tu, candide. Mais c’est par une question lourde de suspicion que l’inconnue te répond. Sa voix ne semble pas aussi avenante que tu l’aurais espéré, mais ton insouciance ne s’en formalise pas. Tu ne comprends pas vraiment ce genre de subtilités, trop obnubilé par ta furieuse exaltation nocturne et l’envie pressante de t’envoler. ⠨⠕⠥⠊⠂ ⠚⠄⠁⠊ ⠁⠍⠑⠝⠿ ⠚⠥⠎⠞⠑⠍⠑⠝⠞ ⠍⠁ ⠏⠁⠗⠁⠧⠕⠊⠇⠑ ⠖  réponds-tu avec de grands gestes, que Miró tente de traduire avec tout l’entrain que tu leur impulses. « Le vent est doux ce soir, la portance sera sans doute favorable. Nous avons hâte de nous envoler. » ajoute l’oiseau en piétinant sur ses grandes jambes orangées.

Alors que termines d’assembler ta paravoile, tu reportes ton attention sur l’inconnue, désireux de poursuivre cette rencontre inattendue avant de t’envoler. ⠨⠚⠑ ⠍⠄⠁⠏⠏⠑⠇⠇⠑ ⠨⠛⠗⠊⠍⠍⠂ ⠑⠞ ⠧⠕⠥⠎ ⠢  signes-tu d’une main. ⠨⠑⠎⠞⠤⠉⠑ ⠟⠥⠑ ⠧⠕⠥⠎ ⠁⠧⠑⠵ ⠙⠿⠚⠷ ⠧⠕⠇⠿ ⠢  La question peut sembler tout à la fois candide et hors-sol, mais elle te tient étrangement à cœur ; tu ne peux te figurer une vie sans avoir déjà goûté aux hauteurs immenses et dangereuses du ciel. Quelque chose en toi ne s’explique pas cette lubie de vouloir rester sur terre.


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(#) Re: la nuit le vent — ft. estella

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