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Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1
Hira Allegro
Hira Allegro
Pseudo : aries ou lucie
Pronoms : elle
Faceclaim : riz ahmed
Dialogue : #CCCCFF
Crédits : avatar ; piscesplace
Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 4f08747d5290d1e451dec194d01485a66b69e1f5
Messagi : 103
Fragments : 849
Multicomptes : sienna ; vanja ; ariel
Triggers :
Spoiler:
Pronomi : il
Specchio : Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 B9cb6d1850f117e87149cb9646c9d2a3
Specie : INKOMBULI lorsque les plumes d'encre et de sang se dévoile, lorsque l'air te fait tout ressentir, lorsque l'aile blessée te dit que ça en est assez.
Età : 37 ANS.
Lavoro : MUSICIEN ET CONTEUR pour tisser les histoires des passeur.euse.xs, pour ne rien oublier. Pour laisser parler les flammes par d'autres moyens. Pour chasser la mort.
Fazione : ANALOGUE
Capacità : L'âme se divise en deux et dévoile les couleurs du DRACULA PARROT.
Mondo : Enfant des flammes et des cendres, tu es de celleux né.e.xs ici. Tu es de ce village niché dans les montagnes : Coatlinchàn à tout jamais.
Cuore : Tu l'aimes à t'en damner, à en crever - malgré le sel des disputes, malgré les mots malheureux, vous vous enlacez à vous en damner. Et tu l'as dans la peau Ji-Min.
Personnage : Classique
Inkumboli

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Pronoms : elle
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(#) Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Lun 4 Mar - 18:14

TW : Nudité, tension sexuelle, mentions de relations sexuelles

Ton âme est à moitié ivre, à moitié suspendu au désir.
Ca se sent dans ton souffle, pesant, lent, agonisant. Et tes mains, oh tes mains, qui s'accrochent à ses hanches comme si elles étaient là où tu dois chuter, là où la fièvre ne meurt jamais. Et t'es tellement désespéré alors que vous tournoyez dans une danse sensuelle, cruelle, dans l'éclat des flammes pour réchauffer vos peaux. T'essayes de l'embrasser depuis un moment et il te le refuse d'un sourire mi-goguenard, mi-traquenard. Ce genre de rictus qui t'a toujours, toujours émoustillé, laissé affamé. L'envie de plus te charrie, te châtie et pourtant il y a l'attente, doucereuse, douloureuse  dans les jeux que vous avez. Les règles sont mouvantes, changeantes pour ne jamais abandonner, s'oublier. Et toujours, toujours s'enlacer.

Parce que c'est vrai, n'est-ce pas ? Vous finirez toujours par vous retrouver.
Vous finirez toujours par vous aimer.

De nuit comme de jour. Dans le froid, dans les flammes. Les souffles se perdront l'un dans l'autre, les corps se retrouveront et se pilleront dans des moments fuyants, agonisants. Jusqu'à ce que vous en ayez assez. Jusqu'à ce qu'il ne reste que vous, défaits, tremblants. Mais tu sais comme toi, tu voudrais tout, tu voudrais trop. Que ce soit du bout de ta langue pour le goûter encore et encore. Que ce soit pour le sentir, le respirer. Le garder encore un instant, un moment.

Et c'est pour ça que tu retentes ta chance, que tu viens te pencher dans une autre arabesque de danse. Les lèvres frôlent à peine les siennes alors qu'il s'enfuit déjà. Un rire t'échappe, dérape alors que tu vois ses yeux briller, exploser de cette malice que tu connais si bien, trop bien. Alors tu le libères, bon prince, mimant une révérence théâtrale dans un sourire chaleureux : " Pas de baisers, ce soir ? " La demande est douce et semble à peine cacher les sous-entendus éperdus, perdus. Comme si tu quémandais autre chose que ses lèvres. Comme si tu voulais fondre l'insolence de sa bouche contre sa poitrine, lécher, avaler, dévaler sa peau, toujours plus bas.  " Moi qui comptais faire bonne utilité de ma langue. " L'indécence s'enlace à tes mots, jouant d'une sensualité terrible, exquise. Et cette fois tu te détournes de Sôma, bien décidé à jouer. A le faire trembler, vaciller.

L'œillade n'a pourtant pas dit son dernier mot et semble lui susurrer, lui murmurer un suis-moi si tu peux.
Aime-moi si tu le veux.

Quelques pas plus tard, tu te retrouves devant chez toi. Et tu le sens déjà contre ta peau, tu sens déjà ses yeux sur toi. La clé tourne, la porte s'ouvre, invitation qui ne dit pas son nom, qui ne dit jamais non. Elle ne se ferme pas. Elle attend. Patiemment dans l'impatience.

Parce que c'est une histoire dont tu connais déjà la chute.
Tu sais qu'il n'y a que comme ça que se finit la partie ; au fond d'un lit.

Tu te défais de ta tunique bigarré, piqué de couleurs chatoyantes, chantantes. Sur la peau nue, la mémoire se tisse ; les entraînements rigoureux des faunes et puis les muscles qui ont fondues, balayées par la vie. Les cales au bout des doigts sont plus habituées au maniement des cordes que des armes. Lentement, doucement, tu mélanges des baies pour en tirer une couleur orange vive. Et tu te penches un pinceau à la main, étirant les flammes du soir et les corps enlacés, serrés, dansant à sa lueur. Tu entends bien la porte se fermer. Le sourire est plus victorieux qu'il ne le devrait alors que tu lui souffles : " Alors finalement, tu es tenté ?" Alors, finalement, est-ce qu'il va t'aimer jusqu'à ce que tu n'es plus que son nom en tête ? Est-ce qu'il va te déshabiller jusqu'à être à sa merci ? Dos à lui, l'excitation n'est pas visible mais elle est irrésistible, insubmersible.

Et il sait, oh oui Sôma sait, comment te faire vriller, valdinguer. Il sait que tu vas replonger, tête la première. Eperdu, perdu sur le grain de son épiderme, alors que les poitrails se creuseront. Alors que le désir t'emportera, te délivrera. Alors qu'il ne restera que Sôma.
Yi Sôma
Yi Sôma
Pseudo : ái vân / élodie
Pronoms : elle/she
Faceclaim : jung ho-yeon
Dialogue : lavender
Crédits : ladyperiwinkle & obsxlescence
jung ho-yeon, se fixant dans un miroir, le visage trempé d'eau
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Specie : inkumboli
Età : 36 yo
Lavoro : faune
Daemon : aucun
Fazione : analogue (faune)
Capacità : transformation en faucon pélerin
Mondo : coatlinchàn
Cuore : pansexuel‧le . le coeur déjà accroché, lié à Hira - malgré les disputes et les défis qui résonnent dans le village.
Personnage : Classique
Inkumboli

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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Mer 6 Mar - 16:27


Pronom : il

tw nudité, tension sexuelle, préliminaires

Le sourire est joueur, menteur.
Il joue en lenteur, dans le mouvement tranquille des corps qui s'accordent, qui se frôlent et s'écartent. Il ment l'indifférence, la décence quand le désir s'invite déjà au creux du ventre, au coin des lèvres. Attrape-moi si tu peux semble dire la bouche au sourire carnassier, déjà prête à le manger, à le dévorer au premier signe, à la première faiblesse.

Sôma a toujours trop aimé jouer.
Et rien n'est jamais timoré avec Hira.

Ni l'amour, ni les guerres d'usure qui les précèdent.

« Pas de baisers, ce soir ? » Demande-t-il et il a déjà froid, là où les mains l'ont quitté. Alors Sôma s'approche, s'accroche d'un mordillement à l'oreille, d'un souffle qui se love au creux du cou. Et s'enfuit à nouveau. « Est-ce que tu les mérites vraiment ? » Une lueur prédatrice semble animer le regard clair, d'ordinaire trop fixe. « Moi qui comptais faire bonne utilité de ma langue. » Un rire s'échappe dans la nuit, au-dessus des flammes et du feu qui crépite. Les notes amusées suivent, poursuivent Hira jusque sur le seuil de sa maison.

Sôma sait que ça ne signe ni une retraite, ni une défaite quand l'autre pousse la porte, s'enfonce dans la maison sans un autre regard. D'un pas rapide, les mètres sont avalés sans un mot, sans un bruit. Jusqu'à lui. Jusqu'à le rejoindre à l'intérieur.

« Alors finalement, tu es tenté ? » Il ne répond rien, n'admet pas la défaite dans ces jeux qui ne trompent aucun d'eux. A la place, il s'avance sans un bruit, le pas léger mais certain, serein. Tellement à l'opposé de ce coeur qui bat plus fort, tellement fort dans sa cage. Le bout des doigts s'invitent sur la peau offerte, dans une danse légère, en caresses furtives. « Tenté par ? » Il fait l'innocent, il joue celui qui n'a pas déjà le coeur qui tambourine, celui qui n'a pas envie de mordiller cette nuque exposée, juste là où les doigts se sont arrêtés, juste là où il sait que ça le fera vriller, capituler. « Est-ce que je suis tenté par un peu de peinture ? » Et il se presse contre le dos d'Hira, son souffle chaud roulant contre le cou, le temps de saisir un pinceau propre. Le temps de le frôler de ses lèvres gourmandes.

Un pas de recul, et il ne lui laisse pas l'opportunité de se retourner.
Il ne lui laisse pas l'occasion de voler plus alors que les poils soyeux du pinceau viennent déjà peindre d'imaginaires arabesques le long du dos, tracer le désir à même la peau. « Je crois que j'aime ça, la peinture, souffle Sôma dans un sourire tendre : Je crois que je t'aime. » Les mots à peine libérés qu'il voudrait les récupérer, les réenfermer. Et le pinceau se stoppe un instant, une seconde à peine perceptible, puis reprend sa course en même temps qu'il se corrige, les joues rouges : « Je crois que je t'aime comme ça. »


whatever
it takes
Hira Allegro
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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Lun 11 Mar - 19:55

TW : Nudité, tension sexuelle, mentions de relations sexuelles

Ses dents, à ton oreille, sont déjà le début d'un désir trop franc, tellement brûlant.
Son souffle fait sombrer le tien. Et t'as même pas conscience de le perdre, t'as même pas la sensation que ta poitrine se soulève et se creuse de façon erratique. Il a tellement de pouvoir sur toi. Et t'aimes pas ça, t'aimes pas t'avouer vaincu alors que ses lèvres chutent dans ta gorge. Tu n'as même pas le temps de te venger, de t'emparer d'un peu de lui avant qu'il file, se défile. « Est-ce que tu les mérites vraiment ? » Et le feu danse dans ses yeux, s'emballe dans ses lippes. Prédateur suprême, il a le don de te filer des frissons, de te pousser à la déraison. Et t'en reprends. T'en reprends tellement dans son rire, dans ses sourires de rapace. T'en reprends et tu t'éprends de cette malice qui te suit, poursuit.

Sôma est à quelques pas de toi. Sôma est un souffle sur ta nuque.
T'es à sa merci et tu dis merci.

Merci pour ses caresses. Merci pour ses frissons. Merci d'être là, que personne ne l'ait volé à toi. Parce qu'il y a encore cette peur qu'il ne revienne pas. Parce qu'il y a encore cette douleur au fond du coeur. Parce qu'il y a l'impression qu'on pourrait encore te l'arracher. Les yeux clos, tu profites, jubiles alors que les gestes légers font dérailler, détaler le coeur. Il joue, et tu rouvres tes iris malicieuses, heureuses. « Est-ce que je suis tenté par un peu de peinture ? » Un rire lui répond, tellement innocent, tellement enivrant alors tu as depuis longtemps, un moment suspendu tes gestes. La sensation de son corps étrangle pourtant le moindre éclat de rire, la fièvre te gagne. La fièvre te ravage. Et tu profites de son mouvement pour passer une main derrière ton dos, pour grimper, agripper une hanche. Enfoncer tes doigts dans la chaire tendre, semer un peu de toi sur cette peau inlassablement embrassée, tellement crevée de tes baisers. Mais déjà tu t'écartes avant qu'il t'attrape ; toi aussi, tu peux jouer. Toi aussi, tu peux l'aimer.

Il recule déjà, détale loin de toi alors que le pinceau remonte en trainée fuyante, aveuglante sur ta peau. Et tu ne caches pas tes soupirs, tu ne caches plus ton désir.  Tu le sens lorgner, avaler ta peau. Tu le sens partout, feu dévorant, puissant. « Je crois que j'aime ça, la peinture, un sourire s'étire alors que tu l'écoutes, tellement suspendu à ses lèvres. Tellement bouffé par tes rêves de l'enlacer, de le pousser contre ce mur et d'enfoncer ses hanches en toi. De le faire supplier, gémir pour ne retenir que ton nom. Je crois que je t'aime. Le pinceau suspend sa course et tes yeux s'agrandissent. Les points d'interrogation, les questions explosent sur la langue. Je crois que je t'aime comme ça. » Et les poils soyeux reprennent leur course. La sensation t'électrise, te titille, certes mais il y a autre chose, une sensation d'être au cliffangher d'une histoire. Une impression d'être sur une révélation majeure.

Tu sens que le jeu tremble, s'abandonne : le premier a avoué a perdu. La règle est pourtant envoyée en l'air, assassinée sans un regret. Et t'en trembles. T'en trembles d'anticipation. T'en vacilles, tu oublies. Les jeux de guerres, le cap ou pas cap, l'impression de s'aimer lorsque le danger gronde, lorsque les hanches se rencontrent. Tu oublies et tu le choisis. Encore et encore.

Vivement, brutalement, tu te retournes, tu te relèves. Le torse se fond en lui, le souffle se perd à quelques centimètres de sa bouche, les mains tombent sur les hanches. La passion te crame, la passion plane. D'une voix éraillée, précipité, tu lui glisses dans un bouche à bouche langoureux, tempétueux : " Moi aussi. Je t'aime. " Et tu l'aimeras pour une éternité. Tu l'aimeras sans en avoir jamais assez. Sans jamais, jamais pouvoir te lasser.

Quelques pas et le dos rencontre le mur, ravissant sa bouche, ravissant l'amour à sa source. C'est presque doux, c'est presque si peu vous. C'est un goût de première fois et des promesses de mille autre fois. La langue vient chercher sa comparse, les salives se mélangent et t'es impatient, insolent lorsque tes doigts chatouillent son ventre, sombrent vers l'entrejambe. L'arabesque est tentatrice, tellement un supplice dans sa lenteur, dans sa chaleur. Et déjà le jeu reprend lorsque tu mordilles sa lèvres inférieure, lorsque tu lui décroches un regard de mort de faim, un regard d'homme qui ne peut, qui ne sait vivre sans lui. " Je t'aime comme ça." Tu pianotes, retrouvant ton chemin comme si tu avais composé des milliers de partition sur sa peau. Comme si tu chassais tout l'air de tes poumons alors que tu coules sur lui en baisers, dans une myriade de soupirs, de désirs. Bien vite, tu finis à ses pieds, déjà prêt à l'honorer, à le vénérer alors que t'attaque le bas, dévoilant ce dont t'as envie. " Et je veux tout aimer de toi. " Tes yeux semblent hurler qu'il t'appartient. Qu'au matin, tout le village le saura.

Lentement les caresses reprennent dans le creux de ses cuisses. Elles remontent, chassent, traçant un petit brasier, un désir crépitant, brûlant. Et elles finissent devant l'épicentre de tous les plaisirs. Le regard quémande, demande. Parce que t'es capable d'allumer tous les incendies du monde. Parce que t'es capable de le faire gémir, de lui soutirer la plus désirable des mélodies. Parce que t'es le feu que tout avale, que tout crame. Pourtant ton impatience patiente devant ses grands yeux. Les flammes se tiennent à quelques mètres, toutes prêtes à le dévorer tout cru.
Yi Sôma
Yi Sôma
Pseudo : ái vân / élodie
Pronoms : elle/she
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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Ven 22 Mar - 14:40


Pronom : il

tw nudité, tension sexuelle, préliminaires

Il veut rattraper ses mots.
Dans la poitrine, le cœur bat d'un rythme rapide et lourd, d'un rythme des débuts de bataille et de combats. Et il entend déjà les mots victorieux d'Hira, il voit déjà son sourire en coin satisfait, son regard trop fier. Il s'entend déjà corriger la vérité qui se niche au creux du cœur, comme un trésor précieux, un secret fragile. Il s'entend déjà dire qu'il ne l'aime pas, qu'il ne l'aime plus - même si c'est un mensonge, même si tout dit le contraire.

Pourtant, quand Hira se retourne, il n'y a ni regard fier, ni sourire en coin.
Quand Hira se retourne, il n'y a qu'une fièvre un peu mièvre sur le bord d'une déclaration. « Moi aussi. Je t'aime. » Les mots le renversent, le bouleversent dans leur simplicité. Le baiser l'enivre, le délivre. Le pinceau tombe, s'égare sous un meuble. Mais Sôma ne remarque rien de ça quand ses bras viennent s'enrouler au cou, quand les corps se rencontrent dans une étreinte sans lendemain.

Un gémissement aux syllabes de son nom se perd, se crash sur la valse des bouches qui se dévorent. Et instinctivement, le corps s'approche encore, plus fort ; les hanches se pressent contre les doigts d'Hira, réclament encore de ce feu qu'il allume en lui. « Je t'aime comme ça. » Sôma a la tête qui tourne. Sous les caresses d'Hira, c'est tout son monde qui vrille et vacille alors que la bouche le dévore de baisers et de soupirs, de regards et d'effleurements qui ne sont jamais assez. « Et je veux tout aimer de toi. » « S'il te plaît, Hira » Siffle-t-il, dans un agacement qui trahit toute son impatience, tout ce qui brûle, tout ce qui le consume. Et la main glisse sur la joue, l'amène plus près d'une caresse tremblante alors que les cuisses s'écartent en une invitation explicite.

Il veut qu'Hira le dévore jusqu'à le laisser repu et épuisé de leurs amours.
Il veut qu'Hira le débarrasse des armures, des jeux, et de lui-même.
Qu'il l'amène là où les identités se perdent et s'entremêlent.


whatever
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Hira Allegro
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Pseudo : aries ou lucie
Pronoms : elle
Faceclaim : riz ahmed
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Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 4f08747d5290d1e451dec194d01485a66b69e1f5
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Fragments : 849
Multicomptes : sienna ; vanja ; ariel
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Pronomi : il
Specchio : Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 B9cb6d1850f117e87149cb9646c9d2a3
Specie : INKOMBULI lorsque les plumes d'encre et de sang se dévoile, lorsque l'air te fait tout ressentir, lorsque l'aile blessée te dit que ça en est assez.
Età : 37 ANS.
Lavoro : MUSICIEN ET CONTEUR pour tisser les histoires des passeur.euse.xs, pour ne rien oublier. Pour laisser parler les flammes par d'autres moyens. Pour chasser la mort.
Fazione : ANALOGUE
Capacità : L'âme se divise en deux et dévoile les couleurs du DRACULA PARROT.
Mondo : Enfant des flammes et des cendres, tu es de celleux né.e.xs ici. Tu es de ce village niché dans les montagnes : Coatlinchàn à tout jamais.
Cuore : Tu l'aimes à t'en damner, à en crever - malgré le sel des disputes, malgré les mots malheureux, vous vous enlacez à vous en damner. Et tu l'as dans la peau Ji-Min.
Personnage : Classique
Inkumboli

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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Sam 23 Mar - 11:01

TW : Nudité, tension sexuelle, mentions de relations sexuelles, préliminaires

Peau à peau, coeur à coeur, corps à corps, tu sais comment tout ça fini.
Tu sais comment le caresser, le faire frémir, le faire dérailler. Tu sais comment déclencher ses braises qui virent à l'incendie pulsatile dans les veines. Tu sais comment laisser cette douloureuse appréhension avant la délivrance. Tu sais mais tu ne dis rien, ne pipes rien, à ses pieds. T'attends. Tu attends comme la promesse d'être (faussement) sage, de ne pas laisser de ravages dont Sôma ne voudrait pas, que Sôma ne t'autoriserait pas. Iels prétendent, au village, qu'il est sans doute un des seuls à pouvoir t'arrêter, te stopper, t'empêcher de complétement t'entêter, t'abîmer sur tes conneries. Iels, au fond, connaissent que le faune est le seul à pouvoir retenir, détenir les secrets de ton être ; du mutisme imbécile, à l'aile brisée, en passant par les sourires et les rires, Sôma connaît tout, absolument tout de toi. C'est pour ça que ça a toujours été facile pour lui de craquer l'allumette, de déclencher des feux furieux, prêt à te balayer, à vous balayer.

« S'il te plaît, Hira », qu'il siffle, persiffle dans un agacement rageur, enjôleur à tes oreilles. Qu'il cède dans un de tes sourires plus grands, plus dévorants. Et tes yeux pétillent d'un émerveillement terrible, exquis. Tu veux encore de ce Sôma déchaîné, décharné, défait. Tu veux encore de ce Sôma la pupille dévorée, éclatée par un désir impatient d'être à toi. Rien qu'à toi. La langue passe lentement sur les lèvres, affamée, rêvant déjà de se noyer entre ses cuisses ouvertes. Rêvant déjà de le composer dans une mélodie d'amour et de pulsions assassines, quasi-divines. Pas celle des Solmènes et de leur dieu de pacotille. Pas à supplier l'Autorité comme celleux qui ont oubliés vers quoi se tourner. Là dans le mouvement des corps, dans la vie et sa fin aussi. Dans ce qui pulse dans la nature qui vous a toujours, toujours protégé, qui vous a toujours, toujours garder.

La main sur ta joue est chaude et son odeur tellement appétissante. Un baiser léger se pose sur un de ses doigts avant de mordre doucement, dans une étincelle joueuse, heureuse. Sôma est à toi. Et il ne t'en faut pas plus alors que le visage retrouve son chemin. D'une pression de main, une cuisse passe sur une de tes épaules - pas celle blessée, jamais vraiment retrouvée dans toute sa mobilité, alors que la langue, à la manière d'un pinceau, trouve sa toile. Lentement, doucement elle vient décrire des reliefs tendres, la chaire chaude alors que tu connais son désir par coeur. Que tu sais ce qui le fait vriller, tanguer. A force d'aimer aussi forts que vous deux, on finit par savoir comment tirer les plus accords de vos corps. Et tu sais ce qui le précipitera au septième ciel alors que tu t'appliques à couvrir, découvrir la chaleur d'un plaisir brutal, infernal.

Alors que tu sembles appeler, épeler l'amour de toutes tes lèvres, de toute ta verbe.
Alors que tu attires, attises, captives les flammes pour les faire grimper, pour dévorer l'amour de ta vie. Que Sôma s'embrase, ne s'embarrasse plus de rien. Qu'il brûle si fort que rien ne puisse l'atteindre dans l'amour que tu lui déclames, réclames. Tu veux qu'il gémisse pour toi. Tu veux qu'il n'ait que ton nom dans chaque syllabe expirée, exprimée. Tu veux qu'il soit à toi. Pour aujourd'hui et demain.

Et pourtant alors qu'il menace de s'exploser, se crasher au firmament du désir, tu te stoppes, t'éloignes un peu. Ce sourire en offrande d'une fronde éternelle sur le bord de tes lèvres, sur la promesse qu'il va te tuer de frustration. Tu te redresses, doucement, lentement, déviant sa cuisse autour de ta taille et tu susurres à son oreille : " Est-ce que tu veux qu'on vive ensemble ? Toute en douceur, tu défais les liens du pantalon, du sous vêtement, dévoilant ta nudité, la peau chaude. Est-ce que tu veux de ça tous les jours, mon amour ? " Alors que lentement, très doucement, tu passes ta main entre vous, guidant ta verge vers lui. La caresse est tendre et pourtant tellement mordante alors que tu frottes doucement ton corps au sien. T'es habile, tu refuses le dernier geste, la dernière pénétration qui viendra vous unir. La joie de jouer, de ne pas totalement vous abandonner - parce que c'est ce que vous êtes, c'est ce qu'est votre amour : un feu joueur, voleur. Un feu sur lequel vous vous consommez affamés de l'un et de l'autre, vous vous consumerez, enlacés à tout jamais.  Un feu qui n'a pas de début, ni de fin.

" De quoi as-tu envie, Sôma ? " Tu souffles d'une voix rauque, d'une voix lourde d'envies mais il y a comme une envie d'apaiser la passion, les pulsions pour être ce qu'il veut que tu sois. Pour lui prouver combien tu l'aimes. Pour lui susurrer qu'il n'y a jamais eu que Sôma pour Hira. Qu'il n'y aura jamais rien d'autres.
Yi Sôma
Yi Sôma
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jung ho-yeon, se fixant dans un miroir, le visage trempé d'eau
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Specie : inkumboli
Età : 36 yo
Lavoro : faune
Daemon : aucun
Fazione : analogue (faune)
Capacità : transformation en faucon pélerin
Mondo : coatlinchàn
Cuore : pansexuel‧le . le coeur déjà accroché, lié à Hira - malgré les disputes et les défis qui résonnent dans le village.
Personnage : Classique
Inkumboli

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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Jeu 11 Avr - 0:43


Pronom : il

tw nudité, tension sexuelle, sexe

Entre ses mains, tu te sens cramer, crever.
Sous sa langue, tu te sens tanguer, te naufrager. Et il ne te reste que lui pour unique phare, lui pour seule boussole dans les tempêtes qui s'agitent dans ton ventre, dans les brasiers qui brûlent tes reins. « Hira » Tu l'appelles de tes voeux, entre deux gémissements, entre deux soupirs. Et tout vacille, tout s'éparpille - des jeux aux désaveux. Il ne reste que toi, nu du corps au cœur. Il ne reste que lui dans le reflet de tes yeux noirs. Uniquement lui dans le tréfond de tes pensées embrumées, désarticulées.

Ton monde entier, c'est lui.

Alors tu manques de chuter quand il s'écarte. Tes mains se rattrapent au mur dans ton dos. Sans lui contre toi, tu as brusquement froid et ça tire un grognement entre mécontentement et désespoir d'entre tes lèvres. Ton regard l'interroge jusqu'à ce qu'il te demande, comme un guet-apens : « Est-ce que tu veux qu'on vive ensemble ? Est-ce que tu veux de ça tous les jours, mon amour ? » Tu ne réponds pas, tu n'en as pas le temps. Déjà les peaux se retrouvent, déjà tu soupires à nouveau contre lui, pour lui. Doucement, persuadé que l'amour reprend, tu viens mordre son épaule intacte avant d'embrasser la peau malmenée. Tu veux l'encourager à s'unir à toi dans les caresses de vos corps mais il te refuse, il t'esquive.

Il t'affame.
Il éveille les instincts de chasse, de cette chasse sans proie, ni chasseur•se. « De quoi as-tu envie, Sôma ? » Demande-t-il comme s'il ne savait pas. Comme si tu n'avais pas ce regard qui promet de la dévorer, de l'aimer jusqu'à être repu de lui, de son corps, de son cœur. Comme si tu ne flirtais pas déjà avec le gouffre.

Alors tu grognes et les mains le repoussent, durement, impatiemment, jusqu'à le faire chuter dans le lit. Au sol, les vêtements sont abandonnés, déjà oubliés, alors que tu grimpes sur le lit, que tu le domines de ta hauteur. « Ce que je veux, Hira, ta voix a des accents carnassiers, affamés. Tes doigts viennent s'enrouler à lui, le caresser lentement : C'est moins de bavardages et t'entendre chanter » Et tu gémis quand enfin tu le sens en toi, quand enfin il n'y a plus que vous dans le roulement lent, pesant de tes hanches.



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(#) Re: Let's live this life like there's no tomorrow ; sôra#1 Dim 21 Avr - 20:06

TW : Nudité, tension sexuelle, mentions de relations sexuelles, sexe

Dans ton ventre, le brasier vire à l'incendie. Et il y a un gémissement, un frémissement qui s'étire aux dents de Sôma sur ton épaule. Sa bouche vient bientôt paresser, apaiser la douleur, ne laissant qu'un plaisir manifeste, évident. Ne laissant que ce désir animal, infernal. Ne laissant que l'amour tellement, tellement terrible. Tellement, tellement exquis.

Parce que tu n'as jamais voulu d'un autre que lui. Parce que tu n'as jamais aimé autrement qu'avec Sôma. Il est ta maison. Il l'a toujours été. Et plus rien ne te l'arrachera. Plus rien ne te l'enlèvera. Tu t'en es fait la promesse quand il est revenu ; cellui qui osera te le prendre, iel est mort•e.

Et les caresses sont lascives entre vous, vos deux corps. Les caresses sont décisives, incisives alors que la passion plante plus fort ses dents en toi. Alors que tu te fais plus effronté. Alors que tu deviens plus affamé à chaque frôlement, à chaque fois que ton sexe dérape, affolant l'air, embrasant la tension. Plus fort. Plus vite. Et tu t'en fous. Oh oui, tu t'en fous de te brûler, de voler trop près du soleil. A quoi bon la peur quand il est là pour te rattraper ? A quoi bon l'hésitation quand tes yeux brillent pour ces jeux de feu et de passion ? Tu n'as pas peur ; il est là. Il sera toujours là.

Mais tu sais que tu joues trop avec lui. Tu sais qu'il n'a plus de patience alors que ses yeux se posent sur toi, en promesses de carnages, en oiseau de proie. Tu sais ce qu'annonce le petit air carnassier du faune. Et ça t'excite. Ca se noue dans ton bide, ça menace d'exploser en un grondement content. Et il y a ce serpent de désir, de plaisir qui n'a de cesse de faire des va-et-vient dans tout ton être. Il y a ce feu de forêt que tu as aux reins qui le réclame tout entier, qui te supplie de le prendre sans trembler, sans hésiter. Il y a ces besoins de corps enlacés, de chaleur retrouvée. Parce que tu n'es complet qu'avec lui. Parce que tu ne veux aimer que lui.

Il n'y a jamais eu que Sôma. Le faune te repousse, sans hésiter, sans trembler et les yeux dans les yeux, t'as l'impression d'en retomber encore et encore amoureux. Le sourire un peu dragueur, un peu charmeur ne quitte pas tes lèvres alors que tu chutes sur le lit. Oh oui, il n'y aura jamais que Sôma. Quand il se déshabille, quand il grimpe sur le lit. Quand il te surplombe de toute sa hauteur et que t'es complétement ébloui, séduit. Comment l'amour peut-il être incarné par un seul être ? Comment l'amour peut-il te bouffer autant ? « Ce que je veux, Hira, Un frisson se répand, lui répond alors que les doigts s'enroulent autour de toi, entament une caresse. Tu te mords les lèvres pour ne pas gémir mais le plaisir sur ta face te trahit. Putain qu'est-ce que c'est bon. Putain, qu'est-ce qu'il est bon pour te rendre complétement dépendant de lui. C'est moins de bavardages et t'entendre chanter ». Et cette fois, lorsque Sôma vient s'empaler, se perdre sur toi, ta tête se rejette en arrière, expire un long, un puissant gémissement. " Oh, Sôma, mon amour, tes mains viennent attraper ses hanches, accompagner la course de ses reins. T'as chaud, t'as si chaud. Et tu comprends : c'est Sôma, ton incendie. Encore, encore. Fais-moi chanter. " Qu'il n'est que lui qui compte. Qu'il chasse le tête-à-tête avec la mort. Que le monde ne se résume qu'à vous deux faisant l'amour jusqu'à plus faim, jusqu'à ce que la soif de l'un et de l'autre se tarisse.

Et tu ne caches rien du plaisir qui te brise tout entier, qui te ramène sans cesse à lui. Bientôt, les mains remontent en caresses lentes, agrippent la poitrine, titillent la pointe d'un mamelon dressé et ta bouche vient mordre l'auréole rosé d'un sein. " Crie, crie aussi pour moi. " Prisonnier de lui, de ses entrailles, t'as l'impression de le ressentir tellement profondément, tellement intensément. T'as l'impression que Sôma est partout sur toi, autour de toi. Il n'y a plus que lui. Il n'y a jamais eu que lui. Et pourtant d'une pression de reins, tu inverses la position, te défaisant de lui juste une minute. Même pas en réalité. En un instant, l'analogue est renversé dans le lit : " T'es beau, tu l'expires alors que tu reviens en lui, lentement, puissamment, profondément. Tu es tellement beau. " Alors que son regard se noircit, alors que le désir le bouffe. Et t'espères, égoïstement, qu'il pense qu'à toi. Qu'il ne pensera plus jamais qu'à toi.

Et avant de lui laisser le temps de réaliser, tu reviens encore et encore plus vite, plus fort. Le rythme de tes hanches entre ses cuisses est effréné, brutale. Comme une course contre la montre. Comme une envie que le village l'entend, vous entend. Pour montrer, démontrer, qu'il n'est qu'à toi. Et que tu n'es qu'à lui. Dans cette danse, tu ne le prives pas non plus de tes gémissements, de tes cris. De ce plaisir si fort. Si violent. L'incendie prend tout, prend tellement que ce soit dans la sueur sur ton corps, que les battements frénétiques de ton coeur et cette voix rauque qui se tue dans un ultime baiser dans un : " Je t'aime. Je t'aime tellement. " Je n'aimerai jamais que toi, ainsi.

D'un coup, d'un seul, comme une balle dans le noir, la jouissance te surprend, te fait crier son prénom alors qu'un dernier coup de rein vous emporter. Tu fermes les yeux sous la délivrance, sous la puissance, l'impatience du moment. La vague est si forte et t'emporte si loin en lui. Et tu respires fort contre sa bouche mais déjà la malice s'invite alors que tu rouvres un oeil explosé par l'orgasme : " Tu n'as pas répondu. Un petit silence alors que tu laisses Sôma digérer, encaisser les spectres de ce désir. Un baiser paresse sur la ligne de sa mâchoire. Est-ce que tu veux ça, tous les jours ? "
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