Lindbergh  un nom qui résonne, les mots susurrent les mythes sonnant d’or et de richesse, l’idéal d’une réussite indécente camouflant les vices originels d’une réussite passant par la perfection détruisant les miettes d’une identité propre, annihilant les défauts inhérents à la nature humaine
Astrid les ornements aux sceaux souverains, droit de naissance sur les espoirs et les rêves d’une enfant créer pour servir les impériaux dessins de la destinée, sans accorder à ses pas les prémices d’une bonne fortune. éclatante réussite à la beauté divine, a s t r t h r qui assure avec fierté sa fidélité aux dieux laissant ses ailes emportées dans les salissures pour assurer le reste, archangélique servante
Elle
25 ansannuité qui s’enchaînent, trépidante routine qui emporte les mêmes désillusions dans la printanière espérance d’un renouveau quand le futur après l’écroulement des édifices de croyances et d’aspiration, écrasant les certitudes si rassurantes. les hivers qui s’enchaînent sans qu’ils n’offrent d’alternatives
oxyuranus microlepidotus  les étoiles éclatantes à la rhapsodie bigarrée qui ressort des frétillements des bombes nucléaires qui éclairent le monde sans laisser transparaître le danger mortel qui en émane. La beauté assassine d’un taïpan du désert qui enserre ces dessins écailleux, signe d’une ophiolâtrie étouffante.
(o r i o n) protection, intangible garde qui assure la sûreté d’une princesse aux ailes déjà brûlées par la violence de ce monde. une allégorie de cette dangerosité cachée qui émane de la brillante rubis. mutique présence qui entoure son bras gauche, qui observe pour rapporter, âme damnée pour assurer les arrières d’une vie risquée
Gazzi + Altérienne la supériorité qui règne sans partage dans ses habitudes et ces principes, elle est alchimiste gazzi avant tout. naissance dans la beauté ancienne de la divine ville haute sous la lumière infinie d’un 21 juin de l’an 3
le morceau éclatant qui brille le plus dans son palpitant, la moitié qui l’accepte et la soutien dans le silence dans cette certitude qu’il sera toujours avec elle
Solmène la croyance indéfectible qui jouent sur les voies impénétrables de sa loyauté, les turbulences qui se déchaînent pour couper le lien. Les mystères du poignard subtil qui font briller les prunelles marrons des reflets de bronze et d’or chez astrid. dans ces veines fluaient son attachement aux principes du serpent ailé sans jamais abandonner l’espoir flottant qu’elle pourrait tous les sauver. sauf quand les bactéries du doute s’infiltraient dans ses certitudes, les dérives assassines d’une faction pouvant achever la destruction du monde
Alchimiste la perfection, les dérives camouflées, faisant apparaître un prix sur les désirs. dans le brasier des envies, les limites étaient si clairement établis que les dépasser étaient un choix profond. l’immarcescible règle éternelle gravait dans l’adn même de la matière, strict principe de l’échange équivalent qui dirige le principe. intangible réalité pellucide, voie de devoir qui dirige la vie d’un dogme essentiel destructeur : le sacrifice
Pierre brûlée radiante douleur qui lacère les ventricules encore battantes de cette perte, matière précieuse fondant sous le joug des flammes impétueuses de la tristesse. sur les traits alcyoniens d’astrid, l’espoir s’est éteinte sous les larmes invisibles qui règnent en maîtresses inextinguibles sur ses joues de porcelaine. la disparition de son amour, les sentiments éclot avec éclats dès les prémices de l’adolescence. thymoléon qui fait palpiter sa myocarde, l’amour qui persiste, résistante lumière au parfum d’acanthe
Rubis la reconnaissance dans le pouvoir, les enjeux de cette sensation à laquelle elle s’attache, délicieuse drogue qui emplie ses veines dans une indélicate addiction. la seule chose qui lui reste après le froid hiver gelant tous ces bonheurs dans une cruel tempête, une saison sans fin. seule reste dans les bras de la colère recouverte par la glaciale neige cette réussite, malédiction qu’elle embrasse jusqu’à s’embraser pour éclore à nouveau
Alchimiste élémentaire des flammes + forgeronne ce qu’elle est, la réalité de sa nature qui s’exprime dans les flammes étincelantes, la corruption du soleil purifié dans la violence du brasier rubéfiant les lèvres et les espoirs. les lippes tendus dans le travail acharné des années brûlaient à son travail et à ses recherches. cette passion douloureuse qui animait ses journées depuis la primeur de son enfance, sans jamais lui permettre d’obtenir la primesautière innocence de la jeunesse. la naïveté est un luxe qu’elle a perdu
l’un e de ses recherches, l’un des objectifs de sa vie qui fait palpiter sa myocarde au bord de la rupture. les pressions et nuits blanches de mots tracées qui s’accumulent sur sa nuque jusqu’à risquer de la briser. la maîtrise subtile du métal et du trait de feu qui se mélange pour créer un échappatoire