A bout de souffle, je venais d'amarrer ma barque solidement, prête à tout moment à sauter à nouveau sur les eaux pour m’enfuir, dans le cas où les spectres se multiplieraient. Les lèvres pincées par l’angoisse, je me retournai d’un coup sec pour me forcer à ne pas regretter, à rester la poitrine bombée et fière d’aider toute la communauté. J’avançai à pas apeurés jusqu’à croiser Kassandra, visage amical et famille estimée, qui fit s’apaiser les battements de mon cœur alors que je la suivis en hochant la tête, heureuse d’être enfin vue.
Peu après être entrées dans la brocante, Nicholas nous rejoint dans ce fracas fraternel si proche que celui que mes frères auraient pu entamer, dans l’étreinte protectrice, presque fatigante à bousculer les alentours - et mes épaules - mais teintée de trop d’amour pour ne pas attendrir. « On voulait se rendre utiles, chercher des morceaux de ce fameux poignard qui seraient cachés dans la Cité. Peut-être que parmi tout ce que vous récoltez ici et n’avez pas encore eu le temps de trier, il y a plus de merveilles que vous ne le pensez… ». Dans un sourire un peu mutin, trop au regard de la situation de panique, je leur fis dos pour aller dans la réserve de la brocante, laisser la famille se réunir et se retrouver, mais surtout fouiller dans ces trésors encore inconnus.

En quelques minutes, je sortis de là mille merveilles - une ou deux se glissèrent d’ailleurs dans mes poches à l’improviste pour me donner du courage -, dérangeai les stocks, mais ne vis pas de fragment d’arme, alors je soufflai, « Je ne trouve rien par ici… Vous avez quelque chose de votre côté ? ».

RÉSUMÉ · Pelagia rejoint @Kassandra Covenant dans la brocante, puis @Nicholas C. Covenant arrive, elle commence les fouilles dans la réserve, où les objets ne sont pas encore recensés. Pas de fragment de poignard, mais de jolies babioles qu’elle glisse dans ses poches.

Objectif · Fouiller la boutique des Covenant. (2/3)

Le nimrodien la suit et à trois iels ont vite fait de ratisser le Chemin sans histoires, dans ses moindres recoins (non, en réalité, iels passent rapidement dans les casette, sans savoir où chercher : tout fragment qui pourrait s'y trouver sera forcément dissimulé, et l'urgence n'est pas la meilleure manière de procéder à une fouille méthodique). A la question de Loup, Makeda hausse les épaules, et laisse Téméraire répondre du haut d'une étagère - comment est-ce qu'il est monté ? Mystère.

On a entendu des solmènes en parler, y'a longtemps. Un alchimiste très réputé y demeurait, même si on ne sait plus où, et il s'y passe toujours des choses étranges. Devant le regard dubitatif de Loup, le quokka insiste. Des choses plus étranges qu'ailleurs. De quoi laisser soupçonner qu'un fragment s'y cache, c'était un large pas, mais iels manquaient d'options sûres. Il fallait s'en remettre, quand on avait aucun dieu à appeler à la rescousse, à l'anarchie et à la chance naissant du chaos.

Cependant Makeda devait bien s'avouer qu'elle n'avait rien de plus concret à mettre sous la dent du Loup, et après plusieurs autres minutes frustrantes, dans la tension toujours présente de faire une très mauvaise rencontre (qui, ici, ne serait pas forcément un spectre), elle s'exclama, rageuse. "On trouve rien ici ! Tu as d'autres idées ? Il faut qu'on puisse s'armer contre les spectres, sinon on va tous‧te‧xs crever." Et si elle a pu, autrefois, appeler la mort de ses voeux, ce n'est plus le cas aujourd'hui.

résuméMakeda et @Loup Basilius finissent de checker le chemin sans histoire, sans succès.

T'avais commencé à fouiller la boutique. T'y mettais pas si souvent les pieds que ça, juste suffisamment pour savoir comment tout était organisé. Toi, t'étais plus souvent dehors sur le port ou en mer, t'as jamais voulu prendre la responsabilité de la brocante. C'est tout simplement pas ton domaine. Malgré tout cet endroit familier te rassure. T'as un peu moins l'impression de courir pour ta vie et tu peux enfin souffler. Pelagia reste à tes côtés et elle cherche elle aussi. Tu n'es pas seule. Mercurio est perché face à la porte et il surveille que rien ne pourrait vous déranger. Et là, tu entends le cri de Carine et bien vite tu finis dans les bras de Nicholas. Il va bien lui aussi. Tes frères vont bien. Tu n'as toujours aucune nouvelle de tes autres adelphes, mais au moins Arthur et Nicholas vont bien. Tu le serres contre toi et tu voudrais ne plus jamais le lâcher. "Nico ! Je ne suis pas blessée, et toi ? Arthur est au phare. J'ai aidé Nino à ramener des gazzi là-bas. Pas de nouvelles des autres." Tu ne lui dis pas que ça va parce que ça serait faux. Tu ne vas pas bien et tu te laisses pas le temps de penser. De toute façon, vous n'avez pas le temps. Il faut trouver ce fragment de poignard et tuer i fantasmi. Il n'y a pas d'autres solutions. Pelagia explique succinctement ce que vous faites ici et elle se dirige vers la réserve.

"Je peux pas rester sans rien faire, ça me fait trop penser à... Daphnée. J'ai peur de vous perdre." T'es pas habituée à dire ce que tu ressens à voix haute. La situation te rend plus fragile. T'as ce besoin de le lui dire. Tu cherches un peu dans une vitrine où sont entreposées des armes en tout genre. Tu ne trouves rien. Il semble qu'il en est de même pour Pelagia et Nicholas aussi. "Rien non plus. Peut-être qu'on le trouvera ailleurs. On peut aller à l'Arbre à Vœux ? Avec un peu de chance on croisera Siren ou des Lucioles." Tu voudrais trouver tes autres adelphes aussi. Le poignard reste la priorité, mais il y a toujours cette crainte de ne plus jamais les revoir.

Résumé Kassandra retrouve @Nicholas C. Covenant et l'informe qu'Arthur est au phare. Elle cherche le fragment sans succès et propose d'aller voir à l'Arbre à Vœux, peut-être auront-iels des informations sur Siren.

Objectif Fouiller la boutique des Covenant (3/3)

Les casettes sont retournées, cambriolées que ne soient pris des objets, laissées aux spectres qui passeront par ici. Il n’y a plus rien en ces lieux qui peuvent les intéresser, sinon le petit groupe qu’iels forment, peut-être suicidaires, à fouiller sans espoir ce Chemin sans histoire. Le daemon de Makeda – Téméraire, s’il se souvient bien – s’est perché sur une étagère et lui répond du haut de son perchoir. Malgré son insistance, Loup reste dubitatif et lorsque quelques autres maisons sont fouillées, l’impression de chasser une chimère n’est que plus prégnante.

Il attend que la colleuse prenne la décision d’abandonner cet endroit pour un autre, car après tout ce n’est pas lui qui cherche vraiment ce fragment. Il aide pour celleux qui ne veulent pas mourir, pour que ce monde ne soit pas condamné comme le sien, mais au fond peu lui importe, lui, d’être sauvé par ce poignard. Alors il laisse les rênes, se laisse guider presque docilement, attitude qui jure avec celle dont il a l’habitude. La situation de mort laisse naissance à d’étranges lueurs.

Lorsqu’enfin Makeda décide d’aller chercher ailleurs, Loup ne peut qu’hocher la tête pour approuver l’idée qu’il n’osait prononcer, et puisque son avis est sollicité, il prend la parole pour une suggestion.
« Je crois pas avoir grand-chose contre les spectres, mais on peut aller voir du côté du Décadent. Iels lancent les rumeurs, la rédactrice en chef doit bien savoir des choses. Venez ! »
Et le peintre s’élance, dévale le Chemin sans histoires pour rejoindre les ruelles de la Ville Basse dans lesquelles il suit une route qui pourrait sembler anarchique, comme toutes celles qui serpentent ici. Peu de monde sait où se trouve le quartier général du Décadent et Loup espère seulement qu’iels n’auront pas quitté leurs appartements pour se cacher des spectres. Après tout, être sous les toits protège de ces êtres noirs, non ?
Il s’arrête enfin devant une casette délabrée qui s’élève sur plusieurs étages, penchée comme bien des maisons ici, donnant l’impression de bientôt s’effondrer mais qui tiennent debout depuis des années.
« C’est ici. Dernier étage. »

hrp Loup et Makeda finissent de fouiller le Chemin sans histoire et, ne trouvant rien, décident d'aller interroger la rédactrice du Décadent. Ils arrivent devant le quartier général du journal.

La fatigue se fait sentir et alors que tu reprends ta route pour te diriger vers la centrale ambarique, tu te transformes pour mieux résister. Il faut que tu tiennes. Pour elleux. Il faut que tu tiennes et espérer de tout ton être que ce fragment existe. Que tu vas le trouver. Sans espoir, vous allez tous‧te‧xs mourir. Ces craintes t'agitent de plus belle quand devant toi se dressent deux spectres jetant autour d'eux leurs brumes maléfiques. Tu ne sais d'où ils viennent, de quoi ils sont constitués ni ce qu'ils cherchent, mais tu sais que tu n'aimerais rien de plus que de les poignarder, les faire disparaître un à un.

Tu t'apprêtes à reprendre ta cavalcade mais derrière i fantasmi tu devines des silhouettes qui ne s'éloignent pas assez vite. Ils vont les rattraper, c'est certain, et tu ne peux les laisser à ce triste sort sans essayer de les protéger. Tu reprends forme humaine, seule manière d'attirer leur attention, et les appellent d'un cri. Aucune idée de s'ils entendent les voix humaines, mais il faut mettre toutes les chances de ton côté. Comme attirés par cet humain qui apparaît out of thin air, ils se tournent vers toi, délaissant leurs premières cibles.

"Dégagez de là, vite, je m'occupe de les distraire !

Tu cours, encore. Mettre de la distance entre les fugitifs et toi pour leur permettre de se mettre en sécurité. Quand tu estimes qu'il n'y a plus de risque, c'est avec le souffle court que tu te métamorphoses, encore, et dévie pour reprendre la direction de la centrale ambarique. Il n'est pas trop tard. Pas encore. Il faut y croire.

hrp Nino est arrêté par des spectres qu'il distrait pour permettre à des cittàdini de fuir. Il repart ensuite pour rejoindre la centrale ambarique.
objectif - écrire un post en tu

Asmar contemple ses choix de vie alors qu'il s'enfonce délibéremment sur la Terre Brulée sous sa forme animale sans avoir à se soucier pour le moment des spectres qui pénètrent avec lui la ville. S'il a voulu rester longtemps (quelques heures) hors de ce conflit (l'annihiliation d'un peuple), la rumeur est montée jusqu'aux guetteur‧euse‧xs de ce fragment de poignard maudit, recherché en miracle par tous‧te‧xs. S'il le trouve, ce sera pour le jeter à la mer, mais il faut d'abord le trouver, et quoi de mieux que des pattes griffues habituées à retourner la terre pour explorer les alentours de Cittàgazze ?

Lae guetteur‧euse‧x qui l'a prévenu est déja reparti‧e‧x, vers Coatlinchan sans ddoute, et il prévient à son tour ses collègues qu'il quitte son poste - si les spectres sont attirés par Cittàgazze plus que tout, il ne faudrait pas baisser la vigilance et risquer le village. Le chemin est long, mais il ne reprend pas forme humaine pour courir, pas dans ces conditions. Etre l'ours lui permet également de mettre à distance l'inquiétude qui perce pour ses proches en ville, qu'il tente de réprimer en se rappelant que chacun‧e‧x peut sauver sa peau.

Le feront-iels cependant ? Nil ne brisera jamais sa couverture, Ori aura du mal à laisser des cittadini mourir sous ses yeux. Et puis, il y a elleux. Ces gamins que Asmar n'a jamais vu, mais qui sont son lien coupable avec Cittàgazze. A force de côtoyer Ara, il sait très bien ce que l'incertitude fait aux gens.

A l'approche de la Cattedrale en construction, Asmar rugit pour avertir de sa présence et pousse du museau la porte. Les odeurs qu'il y trouve sont connues, et alors qu'il se transforme, celles-ci ne disparaissent pas. "Nil ? Edoardo ?" La pierre résonne étrangement dans cette cave immense, mais bien vite il retrouve les deux autres inkumboli. "Est-ce que vous avez vu Oya ?" est sa première question, bien que ses yeux s'attardent sur Nil pour lequel il aura toujours de l'affection silencieuse. Ils sont en vie, et c'est déja ça.

"Je peux essayer de flairer le fragment, ou tout endroit où la terre a été retournée récemment. Est-ce que vous en savez plus sur cette rumeur ?" Non qu'il soit pressé par le temps, mais l'idée de passer des heures ici, au risque de rencontrer des ennemi‧e‧xs, ne l'enchante pas.

résumé Asmar se rend à l'Eglise de la Terre Brulée pour fouiller les lieux, et y retrouve @Nil T. Tzara et @Edoardo Salvi.

Le soulagement est intense et apprendre que Arthur (ne va pas bien, n’ira jamais bien) est en vie, protégé par Nino, lui fait pousser un immense soupir de soulagement. La mort de n’importe laequel‧le d’entre elleux serait de trop, et son frère a déjà trop souffert, toute la famille a trop souffert de son absence pour la tolérer à nouveau. « Merci, Kass, tu es la meilleure. » Etre allée au phare, et avoir fait le choix de revenir, ce même choix que lui, quitter l’abri pour la tempête : iels sont bien identiques, il n’y a pas de doute là dessus.

A l’évocation de Daphnée, il lui sert la main, sans cacher son angoisse à ce sujet. Il n’a pas compris à l’époque ce chagrin, il n’a pas su être là pour elle. Il avait ses propres fantômes à gérer, les absent‧e‧xs, les mort‧e‧xs, mais rien n’excuse cet abandon. « On va s’en sortir Kass, on va tout faire pour. Toi aussi Pelagia, tu restes avec nous. » Si sa famille est meurtrie, celle des Greco n’est pas mieux, et il ne laissera pas la relève noénaute disparaître sans rien faire.

Après un temps de recherche, court (malgré la remarque de Pelagia, les Covenant savent exactement ou presque tout ce qui est rangé chez elleux), il faut qu’iels bougent. Outre n’avoir rien trouvé, les spectres finiront bien par s’approcher de la boutique, et l’endroit n’est pas suffisamment sécurisable, même à l’étage. Carine confirme n’avoir rien trouvé non plus, et approuve le plan de Kassandra. Les Lucioles auront sans doute de meilleures idées, iels sont partout. Et l’espoir d’y retrouver Whisper et Siren est trop fort pour être combattu.

Le chemin n’est pas sans encombres, et arrivé auprès de l’Arbre, Nicholas ne se cache pas des spectres (il y a un toit accessible pas loin), tonnant à travers le lieu. « SIREN ! WHISPER ! » Faites qu’iels soient en vie.

résumé Nicholas finit de fouiller la boutique et approuve le plan d'aller à l'Arbre à voeux (1/3), en espérant y retrouver @Siren Covenant ou @Whisper Lovelace

La proposition de retrouver la rédactrice du Décadent est beaucoup plus utile et plausible que son choix du Chemin sans histoires, et Makeda se fustige silencieusement de ne pas y avoir réfléchi plus tôt. La peur l’a paralysée, et Téméraire n’améliore rien en se moquant ouvertement d’elle. Cela dit, ce n’est pas comme si lui non plus y avait pensé plus tôt, et elle se retient donc de réagir à ses piques. « Je ne sais pas si iels seront toujours là bas, mais on trouvera bien des notes ou des infos. » Et si (mais elle n’ose pas encore réfléchir vraiment à l’après, trop risqué) cela leur permet de trouver d’autres choses, et bien tant mieux, personne ne pourra le leur reprocher.

La casette n’est pas si loin, un bâtiment qui ne paye pas de mine comme tout ce que la Ville Basse produit de meilleur. Qu’importe que cela penche si l’on peut y camoufler toutes les pensées bâtardes, les vices et les anarchies du monde. Par réflexe, Makeda annonce son entrée en toquant à la porte, avant de grimper les marches sans se préoccuper d’être silencieuse. Il y a des règles qui, même en plein effondrement, doivent être respectées, surtout au sein d’une même faction. « Il y a quelqu’un‧e‧x ? C’est Carducci, on cherche un fragment du poignard. » Les lieux paraissent vides au premier abord, mais Makeda n’est pas née de la dernière pluie.

« Téméraire, là, cette ouverture. » Et le daemon d’aller chatouiller un autre daemon, bien caché derrière un meuble. Allez, on est dans le même camp, tu vas pas te cacher jusqu’à mourir non ? Où est ton humain‧e‧x ?

Mais le daemon refuse de leur dire où se cache sa moitié. Soit. Sauf si la rédactrice est une sorcière, iel doit les entendre. « Sais-tu où trouver un autre fragment ? Le moindre indice peut sauver la vie de nombre d’entre nous. »

Et l’idée se fait, peu à peu, à son esprit, qu’en réalité, iels ont trouvé la rédactrice en chef : ce daemon.

résumé Makeda interroge le daemon / la rédactrice en chef du Décadent avec @Loup Basilius (2/3)

Tu pensais pas que tu serais si soulagée de savoir que Nico va bien. Il ne vous reste plus que Siren et Whisper à trouver. Tu essaies de te convaincre à chaque instant qu'iels vont bien et qu'iels sont en relative sécurité. "Je suis contente d'affronter ça avec toi. Nino m'a bien aidée tout à l'heure et c'est mieux que d'être seule." Seule, tu n'aurais peut-être pas réussi à bouger. T'étais tétanisée quand tu as entendu l'alerte. Depuis que tu bouges, tu n'as plus le temps de penser que les spectres sont là.

Nicholas reste près de toi et tu te sens mieux. Daphnée est toujours un sujet sensible pour toi, encore plus avec ta famille. Tu n'arrives pas à leur parler de ça, tu as peur qu'iels ne comprendraient pas ou peut-être que tu as peur de leur montrer ta faiblesse. "Oui, on survivra aux spectres." Il le faut.

Vous finissez par vous réunir et constater que vous n'avez rien trouvé ici. Même si il y a beaucoup de bric-à-brac ici, il n'y a pas de fragment de poignard. "J'espère qu'iels sont en sécurité. Iels sont bien trop jeunes pour se retrouver dans ce chaos." Mercurio, de nouveau sur ton épaule, pense à ces enfants qu'il apprécie. Toi, t'aimes bien les observer de loin. Tu suis Nicholas et Pelagia jusqu'à l'Arbre et tu donnes toi aussi de la voix pour retrouver tes adelphes. Tu commences à regarder dans les vœux, peut-être qu'il y a un indice quelque part.

Résumé Kassandra reste avec Nicholas et elle fouille dans l'Arbre à vœux (2/3) tout en appelant Siren et Whisper.