Après avoir sortie les deux pandémoniques de l’eau, tu les reposes sur la terre ferme. Tu te rends compte que tu as bien fait d’agir si vite, plus tard, iels auraient pu ne pas s'en sortir. Les vagues sont de plus en plus violentes et il ne faut vraiment pas s’aventurer sur ce lac. Tu te détournes des pandémoniques pour te concentrer sur le petit groupe qui a l’air de paniquer. Tu les aides comme tu peux à retenir la jeune femme et tu les laisses elleux aussi partir là où iels veulent. Ton objectif n’est vraiment pas de coller aux basques d’inconnu·e·xs. T’aimes les voyages en solitaire, t’y es habitué et c’est comme ça que tu conçois l’exploration. Tu restes encore aux abords du lac, fouillant d’autres caravelles. Et puis, Mithra vient se poser sur ton épaule et il te murmure à l’oreille qu’il se passe quelque chose. Il y a le grondement, oui, mais maintenant il y a des pans de verre et de métal qui s’élèvent du sol pour entourer la ville. Tu regardes ça avec des yeux ébahis. « Il y a moyen de sortir d’ici ? Faut voir si on peut aider des civil·e·xs ou des blessé·e·xs. » Tu dis ça à Mithra mais aussi pour toi-même. Sans tarder, l’oiseau s’envole vers les hauteurs de la ville et toi tu pars vers la Ville Basse. T’aimes pas trop l’idée de t’éloigner du lac, mais faut que tu trouves des réponses. Et puis tu vois ces inconnu·e·xs. Tu comprends bien vite qu’iels sont des spidi. Iels n’avaient donc pas totalement disparu·e·xs. Ta curiosité prend le dessus et il faut absolument que tu ailles leur parler. Tu en alpagues un·e. « Bonjour, je ne pensais jamais rencontrer un·e spidi, d’après les contes, votre cité à été détruite par Quetzalcoatl, mais il semblerait qu’ils ne soient pas totalement vrais. Que pouvons nous faire pour vaincre le serpent ailé ? Je souhaite vous aider et protéger cette cité avec vous. » On sent ta détermination dans ta voix. Tu ne veux pas qu’iels disparaissent dans l’oubli à nouveau. Il vous faut vaincre les monstres qui menacent de détruire tout ce que vous avez connu.

Résumé Jade laisse derrière lui les différents petits groupes qu'il a croisé au lac et observe le miroir fumant s'assembler autour de la ville. Il pense d'abord à aider les autres, puis repère les spidi. Il leur demande ce qu'il peut faire pour aider à vaincre Quetzalcoatl.

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Le dénommé Renard te soupèse du regard et tu comprends qu'il demeure méfiant, malgré vos démonstrations de bonne volonté. Tu te demandes si le Consiglio de Cittàspide est semblable â celui de Cittàgazze dans ses fonctions, et si celui-ci a statué sur la question gazzi. Ont-iels déjà envisagé votre venue ? De toute évidence oui ; gagner leur confiance sera d'autant plus difficile. Les paroles de Renard sont glaçantes lorsqu'il conclut que les lambeaux de Quetzalcòatl sont invincibles. Tu sens tes muscles se figer, ta gorge s'assécher, et tu n'es plus certain d'avoir envie d'en savoir davantage. Le déni ou la fuite sont alors les plus sages et les plus naturelles des pulsions. Quelles chances de survie vous reste-t-il ? Elles semblent infimes. La peur se fraye un chemin tout droit vers ton cœur, celle que tu pensais pouvoir maîtriser. Elle n'est plus cette adrénaline entêtante qui t'a poussé à choisir de rester dans la cité des serpents alors que le Miroir fumant est sorti des eaux.

La seule solution : le Poignard subtil. Tu serres les dents. Cette arme si convoitée et si dangereuse serait donc votre unique perspective de salut. Tous les mondes semblent dépendre de ce poignard, maître des effondrements et des renaissances. Tu relèves les yeux vers Renard, deux yeux où pointe une lueur de défi. Les spidi doivent vous aider, sans quoi vos deux villes sont vouées au néant. « Le Poignard subtil a été détruit. Il n'en reste que des fragments, et nous ne savons pas où ils se trouvent. Pouvez-vous nous aider à les rassembler ? » tu demandes, mais on jurerait à un ordre. Vous n'avez plus le temps de vous perdre en circonvolutions et en apparats, la diplomatie doit porter enfin ses fruits. Votre alliance est votre dernière chance de survie. « Si seule l'arme peut nous sauver, nous devons unir nos forces pour la reforger et vaincre Quetzalcòatl, qui nous menace autant les un.es que les autres. » Tu as conscience de tous obstacles qu'il vous reste à surmonter pour qu'une telle alliance puisse se nouer, mais tu sais aussi l'urgence dans laquelle vous vous trouvez.

Renard vous explique que des sceaux ont été détruits, et tu fronces les sourcils sans comprendre. Ses paroles de plus en plus énigmatiques viennent ébranler tes certitudes. Tu sais que la grotte marine recèle une forge alchimique et un étrange cadran, le Cadran d'Anaximandre, mais tu ignorais qu'il existait des sceaux que vous auriez altérés. La correspondance entre l'effondrement et le retour de Quetzalcòatl te semble floue, tu ne saurais dire lequel a découlé de l'autre, mais une chose est certaine : les deux vous menacent, et cette menace pourrait bien coûter la vie à tout un monde.

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résumé Eluard a peur de ne pas réussir à gagner la confiance des spidi. À la mention du Poignard subtil, il demande si les spidi savent où se trouvent les autres fragments du Poignard ?

Les cheveux couverts de la poussière du voyage, le visage tiré par la marche et le manque de sommeil, Zaher arrive parmi les tardif‧ve‧xs à Cittàspide, juste à temps pour voir se refermer sur elleux le piège du miroir depuis les hauteurs de la ville. Lui qui a déja rempli plusieurs carnets de notes sur le sentier de montagne, à l'affût du moindre vestige humain pour de futures fouilles, s'empresse de fouiller son paquetage à la recherche du moindre bout de papier restant pour immortaliser l'instant en croquis.

Autour d'ellui, analogues et spidi parlent, il aperçoit également d'autres personnes de Cittàgazze qui semblent parlementer - ce peuple continue donc de parler un langage assez proche du leur pour se comprendre, quelles étaient les chances - et le jeune homme se rapproche des conversations, tandis que Nade vient se nicher dans ses cheveux, plissant les yeux pour lire sur les lèvres des personnes les plus proches.

Il consigne tout, les tics de langage, le style des habits, l'apparente santé de la population et la durabilité de leur ville - reconstruite donc depuis des millénaires, mais reste-t-il sous les habitations des vestiges plus anciens ? Ont-iels une académie qui accepterait de le recevoir ? Enfin, il n'arrive pas à se tenir à la posture d'observateur, alors que de toutes les conversations jaillissent des appels à la fuite, à repartir. L'étudiant n'a pas fait autant de kilomètres pour devoir abandonner la cité perdue, pas sans réponses.

Approchant une spidi plus agée, il s'incline, la main tendue sur son cahier pour noter toutes les réponses qu'elle saura lui apporter. "Votre peuple a-t-il eu des contacts avec d'autres depuis la destruction par Quetzalcoatl de votre ville ? Votre parler est proche du notre, pourtant il est connu que des centaines d'années d'autarcie ont des conséquences sur le langage et-" Sa voix s'éteint devant le regard dur de son interlocutrice, et il bredouille. "Enfin, ce n'est pas une critique, les analogues ont espionné Cittàgazze pendant des décennies et tout le monde ne leur en veut pas, enfin, je ne leur en veux pas, je suis très intéressée par la culture gazzi, enfin ! La culture spidi ? Quel nom lui donnez-vous ?"

résumé Zaher perd un peu ses moyens devant Cittàspide, puis devant une spidi, il souhaite savoir si iels ont déja eu des contacts avec d'autres peuples par le passé.

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Carte réussite:

Le singe revient, la queue entre les jambes et les bras frôlant presque le sol, dans une démarche lente et presque funeste. Skye est restée en retrait, écoutant les réponses et les discussions dans un silence de plomb, la tête baissée, songeant à toutes les erreurs qu’iels ont dû faire sans même le réaliser. La culpabilité gonfle, en même temps que la colère.
Des frissons lui parcourent le dos à la mention des lambeaux invincibles, de miracles, et des effondrements qui auraient tout altéré. Dans sa main, elle serre un peu plus celle de Simurgh qu’elle sent s’éloigner d’elle, plonger doucement dans les similarités qu’iel partage avec les spidi. Un faible sourire se dessine alors sur son visage, car iel est comme un rayon de soleil au milieu de toute cette brume, un petit espoir de trêve et de compréhension envers les un·e·s et les autres. Nous sommes avares, nous vous mettons en péril, mais au final : nous partageons la même peur.

En se baissant, Skye permet à Cornelius de remonter lentement sur son épaule. « Désolé, c’est pas très probant… Difficile de leur montrer que nous ne sommes pas responsables de tous les maux des mondes. ». Elle lui caresse tendrement le haut de la tête, en fait de même sur les doigts de son amant·e et se tourne vers ellui et vers la spidi avec qui iel discute, alors que l’orage gronde. « Nous sommes sincèrement désolé·e·s que vous ayez pensé être à ce point en danger en vous révélant à nous… Simurgh, tu es plus proche d’elleux, il y a quelque chose que je voudrais aller montrer à Eluard et à ce Renard, fais attention à toi. », et elle dépose un baiser sur sa joue, frôlant la commissure de ses lèvres.

Le cœur battant, les yeux levés vers le ciel sans nuage, elle a comme une mauvaise impression. Si ce n’est un coup de tonnerre, et si c’était un rugissement ?
Skye rejoint à tout juste quelques pas Eluard et Renard, sortant de ses poches une écaille : « Il y a quelque temps, j’ai récolté ceci… C’est une écaille de ce dieu, n’est-ce pas ? Cela ne veut-il pas dire qu’il est faible, qu’il y a d’autres moyens de le détruire ou au moins de se protéger de son courroux ? Qu’en pensez-vous, toustes les deux ? ». Elle inspire fort, tend l’objet, en espérant toutefois le récupérer. « Elle me protège depuis que je l’ai avec moi, je souhaite la garder. Je voulais juste vous la montrer… Puis vous dire, aussi, que nous avons déjà eu des miracles et qu’ils peuvent se reproduire. L’Ange Balthamos est venu nous secourir contre un des lambeaux : l’Autorité nous surveille, nous ne sommes pas seul·e·s contre Quetzalcoatl. »

Résumé · Cees est tout chamboulé des réponses des spidi. Skye reste un peu avec lui et @Simurgh M. Pavese avant de rejoindre Renard et @Eluard I. Pizzaro à qui elle montre son Ecaille de Quetzal, en essayant de chercher s'il n'y a pas d'autres moyens de battre ou de se protéger du dieu et de ses fragments.

ÉCAILLE DE QUEZTALUne écaille de dieu vous protégeant de l'ire de queztalcoàtl.

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Carte réussite:

À mesure que les minutes s’écoulent, la peur grandit. Le tonnerre dans le ciel a jeté un froid dans ton coeur, et les mots de Renard résonnent lugubrement dans ton esprit. L’impression que tout est déjà joué ­ et perdu ­ d’avance se fraye un chemin dans ton ventre et te donne la nausée. Le Serpent-Ailé est peut-être sur le point de surgir et d’engloutir avec lui toute la ville, pour la seconde fois. Les spidi prennent un risque immense à s’arrêter auprès de vous pour vous prévenir de fuir, plus encore à rester à Cittàspide malgré la menace, quelque sûr soit leur abri. Tu sais combien un foyer est précieux, mais la vie l’est davantage. Cela dit, avoir fait le choix de rester malgré les injonctions à partir pour éclaircir les mystères de cette cité et de ce danger était aussi la meilleure façon de vous condamner à mort, tout comme le fait de ne pas sauter immédiatement dans un dirigeable pour fuir. Quelque chose te retient que tu ne t’expliques pas, une force impérieuse t’intimant de faire le jour sur cette vaste énigme, comme si l’existence elle-même avait peu de poids face à la découverte. Le savoir a toujours été ton horizon, et aujourd’hui celui-ci s’éprouve dans toute son entropie et dans tout son courage.

La réponse de Renard te cloue sur place. Tu relèves les yeux pour croiser les siens, alors qu’il t’avoue que les spidi sont en possession du dernier fragment de l’arme légendaire. Les dents acérées qu’il te présente sont le stigmates de son animal-mémoire, et elles te glacent le sang. Tu ignores s’il te ment ouvertement pour te tester ou si ses dires sont vrais, mais tu n’as pas d’autre choix que de le croire. « Alors la légende disait vrai, vous êtes en possession d’un fragment du Poignard subtil ? » tu répètes d’une voix blanche, comme si la réalité devenait insurmontable. En venant à Cittàspide, tu n’avais pas foi en cette théorie. Le voyage et la découverte de la cité mythique et de ses secrets t’importaient plus que la quête vaine d’un morceau du Poignard. Mais la succession des évènements, la menace grandissante, la rencontre avec les spidi et les vérités déterrées ont rendu inéluctable que reforger l’arme légendaire est la seule solution pour sauver votre vie à tous·tes. « Il n’y a pas de prix que nous ne paierons pas, si c’est pour sauver ce qu’il reste de l’humanité. » tu réponds d’une voix grave, soupesant chacun de tes mots en renvoyant à Renard son regard plein de défi. Vous nargue-t-il ou est-il sincère ?

En gage de ta sincérité, tu tires ta veste de côté pour tirer de ta besace une draconite, roche aux reflets vert d’eau irisée par endroits. « C’est une relique. Elle contient une écaille de dragon. » Tu marques une pause, essayant de décrypter le visage de Renard, tout en déposant la pierre dans sa main. « Avec elle, vous ne pouvez pas être trahi·es. » tu ajoutes, énigmatique quant aux propriétés de la draconite. Les êtres les plus venimeux ne peuvent atteindre celleux qui sont en possession de cette relique, comme si la perfidie elle-même pouvait être repoussée. T’en séparer est difficile, mais tu espères que ce gage de bonne volonté et, d’une certaine manière, de repentance, sera suffisant pour que Renard vous révèle davantage de choses sur le dernier fragment du Poignard. « Elle protège contre les serpents. » Tu espères que le membre du Consiglio saura déceler la symbolique derrière ce présent ; lutter contre le plus terrible des serpents est après tout votre destin commun. « Comment avez-vous obtenu le dernier fragment du Poignard ? Où se trouve-t-il à présent ? » tu finis par demandes après un silence.

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Draconite Relique censée contenir une partie de l'âme d'un dragon, elle repousse les animaux vénéneux et permet de soigner leurs morsures.

résumé Eluard ne sait pas si elle doit croire ou non Renard lorsque celui-ci prétend que les spidi ont le dernier fragment. Elle affirme qu'elle paiera le prix qu'il faudra pour l'obtenir. En gage d'amitié, elle offre à Renard une draconite et demande où se trouve le dernier fragment du Poignard subtil ?

L'analogue que tu interpelles se révèle être un forgeron. Il a son lourd tablier et semble tout juste sortir de sa forge. Il a dû quitter précipitamment son lieu de travail lorsque vous avez débarqué dans la ville. Tu prends un petit temps pour l'observer. Il t'a l'air si confiant. Ce n'est peut-être pas la première fois qu'une telle chose ce produit. T'en comprends que les pans de verre sont là pour les protéger de l'extérieur. De Quetzalcoatl. Seulement, à en juger par les plaques manquantes, leur protection n'est plus suffisante. Il faut laisser la ville derrière vous le temps de retrouver le poignard. T'es pas sûr de tirer les bonnes conclusions, mais c'est ce qui te semble le plus logique. Surtout lorsque tu aperçois le poignard qu'il porte comme un blason sur son tablier. Peut-être que les spidi sont organisé·e·xs en guilde ? Tu hoches de la tête au forgeron. Il te confirme qu'il n'y a rien à faire pour l'instant. « L'arme dont vous parlez, c'est le poignard subtil ? On en a récupéré des fragments, peut-être qu'on peut le reforger ? En fait, je crois qu'il nous manque le dernier. Vous savez travailler le métal qui le compose ? » Réunir les fragments c'est bien, mais si vous n'avez aucun moyen de le reforger vous n'irez pas bien loin. Tu sais que les alchimistes gazzi se croient capable de réaliser l'exploit, mais tu ne leur fais pas vraiment confiance. La plupart sont solmènes et tu n'as clairement pas envie de voir le poignard tomber entre leurs mains. Laisser une force étrangère s'en occuper te parait déjà moins dangereux et vous éviterez par la même tous les conflits inter-faction. « Il y a quelque chose qu'on peut faire pour vous aider à fuir la menace ? » Tu te vois mal laisser les spidi seul·e·xs, iels ont l'air de savoir quoi faire, mais tu pourrais transporter des vivres ou aider les plus fragiles à rejoindre un lieu sûr.

Résumé Jade discute avec le forgeron et se questionne sur l'arme dont il parle. Il en déduit qu'il s'agit du subtle knife et lui demande si les spidi seraient capables de le reforger si on  leur apportait tous les fragments. Il propose d'aider à l'évacuation de la ville.

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C'est vrai que tu n'as pas été des plus doucæ avec la spidi. Toi, t'es plutôt brute de décoffrage et tu voulais des réponses. Tu vois à sa voix tremblante et à sa silhouette recroquevillée sur elle-même que tu y es allé un peu fort. Zola te lance un regard qui veut tout dire. Si le dernier fragment du poignard se trouve ici, il faut que vous ayez de bonnes relations avec les habitants de la ville. Vous ne pouvez pas vous permettre de ne pas récupérer le fragment. Tu respires un coup. T'essaies de calmer tes battements de cœur, t'as l'impression qu'il est dans ta gorge. Il y a de l'impatience qui coule dans tes veines. Tu veux savoir. Tu veux atteindre ce but après lequel tu cours depuis si longtemps. Lorsque le poignard sera reforgé, peut-être qu'enfin tu pourras aller aux pays des mort·e·xs. Malgré ce que t'as confié Eluard, tu n'es pas prêtæ à laisser cette idée derrière toi. Tu sais que ce n'est pas la meilleure, mais tu as au moins envie d'essayer. Après, tu te plieras à toutes les exigences de la cardinale pour atteindre l'immortalité.

Maintenant que tu te sens un peu plus calme, tu peux réfléchir à ce que te dit la spidi. « Ils ? Les lambeaux de Quetzalcoatl vous voulez dire ? Lorsqu’on a trouvé cette ville, on a été attaqué par l’un d’eux dans le ciel. Pour le fragment, tout semblait indiquer cette ville. C’est logique quelque part. Je ne voulais pas me montrer brusque, mais je pense que le poignard nous permettrait de vaincre Quetzalcoatl. » Tu gardes pour toi que tu penses qu’il pourrait vaincre la mort aussi. « Je comprends que vous ne nous disiez rien à son propos, mais comment pouvons-nous gagner votre confiance ? Nous pourrions collaborer. » Tu te montres faussement coopérativæ. Tous les moyens sont bons pour obtenir ce que tu veux.

Résumé Itha se rend compte qu'æl a été trop inquisitricæ dans ses demandes. æl prend le temps de se calmer avant de se répondre et se montre un peu plus poliæ pour obtenir des informations sur le dernier fragment du poignard.

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Nicholas aimerait bien rester avec les spidi pour leur faire la causette plus longtemps, mais leurs réponses le laissent rapidement sur sa faim, surtout quand iels commencent à s'extasier sur deux vieux ouvrages. Les rats de bibliothèque, très peu pour lui. Tout ce qu'il apprend, c'est qu'il y a un danger, prochain, immense, qui pousse vers l'exil une population équivalente à celle de Cittàgazze, et qu'il n'a toujours pas de nouvelles ni de Siren, ni de Whisper.

"Il faut qu'on décolle." chuchote-t-il à Kassandra, regardant vers le port nerveusement. Se raclant la gorge, il montre les dirigeables en hauteur, leur offrant une porte de sortie. "Je comprends votre désir, mais s'il y en a parmi vous qui sont prêt‧e‧xs à nous donner une chance, nous pouvons les emmener par la voie aérienne. Les noénautes les accueilleront comme leur propre famille, je vous donne ma parole." Que faire d'autre, face à de tels propos ? Leur mère n'est pas la seule à vouloir sauver la terre entière.

"Carine, monte sur le toit, essaie de repérer les autres. J'ai une mauvaise intuition, c'est maintenant qu'il faut partir." La main tendue vers Kassandra, il lui laisse le choix : le suivre, ou rester avec les spidi pour obtenir d'autres informations.

résumé Nico propose aux spidi de se réfugier chez les noé, mais son esprit est concentré sur sa famille à récupérer pour se BARRER FISSA.

résumé Mirra discute un temps avec @Faust Lindbergh, puis remonte à la surface et retrouve @Jade Shirazi, qu'elle connait de loin. Elle pose des questions au même spidi forgeron à son tour.

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