CW : Faust est susceptible d'aborder les thèmes de la dépression, de l'apathie, de l'anxiété, de la mélancolie, des troubles obsessionnels compulsifs ou de la mort. Si cela peut te heurter, n'hésite pas à venir me voir en privé.
TW : Je n'ai pas de TW me concernant.
NB : je ne maîtrise pas encore totalement l'écriture inclusive, là aussi si tu y es sensible n'hésite pas à venir en discuter en PV, je suis toujours prête à continuer mes efforts !
Pronomi : Elle
Specchio :
Specie : Alchimiste, niveau VII
Età : 26 ans, 21.08.06
Lavoro : Philosophe ; Biologiste à l'Oliveraie ; Funambule à ses heures perdues avec une troupe d'artistes de rue de la Ville-Basse ; Passeuse pour l'équipe Lugh (Ulama)
Daemon : Marguerite, une dendrobate à tapirer (minuscule grenouille)
Fazione : Solmènes
Capacità : Alchimie florale & Phytospagyrie (contrôle des essences, principes actifs, etc)
Mondo : Monde de Cittàgazze, origines gazzi et alterriennes
CW : Faust est susceptible d'aborder les thèmes de la dépression, de l'apathie, de l'anxiété, de la mélancolie, des troubles obsessionnels compulsifs ou de la mort. Si cela peut te heurter, n'hésite pas à venir me voir en privé.
TW : Je n'ai pas de TW me concernant.
NB : je ne maîtrise pas encore totalement l'écriture inclusive, là aussi si tu y es sensible n'hésite pas à venir en discuter en PV, je suis toujours prête à continuer mes efforts !
Pronomi : Elle Specchio : Specie : Alchimiste, niveau VII Età : 26 ans, 21.08.06 Lavoro : Philosophe ; Biologiste à l'Oliveraie ; Funambule à ses heures perdues avec une troupe d'artistes de rue de la Ville-Basse ; Passeuse pour l'équipe Lugh (Ulama) Daemon : Marguerite, une dendrobate à tapirer (minuscule grenouille) Fazione : Solmènes Capacità : Alchimie florale & Phytospagyrie (contrôle des essences, principes actifs, etc) Mondo : Monde de Cittàgazze, origines gazzi et alterriennes Cuore : Demisexuelle attirée par la féminité Personnage : Classique
Enfermée sous le sol, le bruit n’est ici que tremblements et vibrations. Immobilisée par la peur soudaine que tout ne s’effondre, tu observes l’avion et Mirra, successivement, avant de prendre une grande inspiration. « As-tu une idée de ce que ça peut être ? ». Pire qu’un coup de tonnerre, tu te demandes si le monde ne serait pas en train de se craqueler, et sur ton épaule, Marguerite tapote ta peau en murmurant « Dehors. Dehors. ». En faisant comprendre à la sorcière que vous feriez mieux de sortir, tu fais le premier pas hors de la Torella pour découvrir l’étrange cloche de verre qui vous enferme à présent comme de vulgaires souris, trop attirées par l’odeur délicate d’un beau morceau de fromage.
En peu de temps, tu vois les rues se remplir de spidi qui prennent la fuite, et tu sens la situation commencer à vous échapper. Tu sens le besoin, soudainement, de retrouver les tien·ne·s, de te cacher derrière des alchimistes plus compétent·e·s que toi, avec qui tu pourras partager toutes ces choses que tu as apprises ici. Mais tu sens aussi que tu veux en savoir plus, toujours plus, sur ces symboles et ces alchimies interdites que les spidi semblent maîtriser. En te mettant à courir, tu commences ainsi à retourner sur tes pas, le souffle court, jusqu’à croiser Itha proche de la Torre. Æl te semble quelque peu trop direct·e avec vos hôtes dans la quête du poignard, ainsi tu comptes sur ta douceur pour vous aider lorsque tu læ rejoint. « Je pense que nous ferions mieux d’être aussi subtil·e·s que le poignard, pour avoir des réponses à nos questions… Tu murmures à Itha, un petit sourire au coin des lèvres car la moquerie n’est pas la pour juger, mais pour apaiser les tensions et les craintes du mieux que tu le peux. « Nous ne cherchons pas à amener la destruction et la terreur, nous cherchons à recoller les morceaux, à comprendre et à survivre, comme vous. Vous êtes les seul·e·s à pouvoir nous aider… Plus bas, près de la Torella, il y a des symboles alchimiques qui parlent de sacrifice, de sang, de passage… Ca me laisse croire que vous pratiquez l'alchimie de sang, est-ce là ce qui peut nous sauver ? ».
Dans ton sac, tu commences à chercher de quoi étayer tes questions, un papier où tu aurais recopié les symboles, quelque chose qui attesterait de tes connaissances alchimiques, envers lesquelles pourtant toi-même doutes. Mais ta main qui tremble compulsivement ne fait que se heurter à un petit Masque de Commedia, cadeau de départ d’un·e ami·e de la Ville Haute au moment où tu as embarqué dans le dirigeable, et tu le tends alors d’instinct au spidi à qui tu t'adresses. « Nous sommes capables de belles choses, vous voyez. Prenez-le. Aidez-nous, pas juste à fuir, mais à nous battre avec vous. ».
Résumé · Faust était avec @Mirra d'Este dans la Torella, finit par en sortir et essaye de retrouver les Solmènes parce qu'elle a peur ; elle finit par croiser @Itha Hichkas et tente d'apaiser la situation avec les spidi avec qui æl discute en offrant un masque de commedia et posant des questions sur l'alchimie de sang.
Masque de Commedia
Un ancien masque de Commedia dell'Arte, qui semble dépourvu d'utilité.
“
Il nous aura fallu Beaucoup de force, de courage Pour affronter le naufrage De nos deux pauvres cœurs désœuvrés et sauvages (coline rio)
Le ton et l'attitude des spidi lui hérissaient le poil, mais elle prenait sur elle. Ce serait stupide de se braquer et de louper sa chance de comprendre ce qu'il se tramait ici. Les mécanismes de Vigenère... Ca lui disait rien du tout, mais elle nota mentalement cette information. Ca pourrait lui être utile plus tard. Peut-être que Skye en saurait davantage à ce sujet, après tout, elle avait une culture qui dépassait de loin la sienne quand il s'agissait d'histoires du passé. Quelque peu mal à l'aise, Jana tordait ses doigts, réfléchissant à ce qu'avait dit lae spidi à propos du Miroir ; il ne vous sauvera pas. Mais elleux, se savaient-iels sauvé·e·xs ? Iels paraissaient confiant·e·xs sur leur sort ; prenant quelques affaires, s'accompagnant les un·e·xs les autres... Presque comme si iels s'y étaient préparé·e·xs. Comme si ça c'était déjà produit ; et les trous dans le Miroir attestaient d'une confrontation passée. Alors, si l'histoire se répétait, pourquoi refusaient-iels d'en partager la fin ? La blonde sentait bien leur réticence et leur méfiance ; est-ce que les gazzi étaient responsables de l'effondrement de Cittàspide ?
Beaucoup de questions se bousculaient dans sa tête, mais elle savait qu'elle aurait pas toutes les réponses. Déjà elle était tombée sur quelqu'un qui l'ignorait pas, c'était déjà pas mal. " - Vous partez où ? Vous allez venir à Cittàgazze ? ". C'était pas comme si y avait beaucoup d'autres options aux alentours. Si c'était le cas, leur exil allait remuer beaucoup de choses dans la cité. Elle voyait ça d'ici ; les cassettes pleine à craquer, la milice solmène débordée, le Consiglio déchiré... Ca serait une opportunité de chaos à ne pas manquer, pour sûr. Mais si les spidi subissaient des attaques qui se répétaient, la probabilité que cette menace les suive existait. D'ailleurs, pourquoi iels étaient une cible ? Son esprit allait bien plus vite que de raison, comme quand elle était sur une piste qui demandait qu'à être explorée. Elle rejoindrait les autres plus tard.
Résumé · Jana contient son agacement et se pose beaucoup de questions. Elle demande aux spidi où iels partent et si iels vont venir à Cittàgazze.
Carte jouée:
réussite
Annule un échec aux dés.
Aimé E. Lusignan
“
Pseudo : Kanaï
Pronoms : she/her
Faceclaim : Bangchan
Dialogue : bold & #8b6c42 / bold & #8fbc8b
Crédits : illmatic
Messagi : 937
Fragments : 3779
Multicomptes : Whisper Lovelace & Nam Jae-Min
Triggers : Personnellement, je n'ai aucun trigger.
TW : Tactile
Spoiler:
Mon personnage est naturellement tactile, il se peut qu'il touche votre personnage sans autorisation préalable, n'hésitez pas à me dire si cela pose problème pour vous.
Mon personnage est naturellement tactile, il se peut qu'il touche votre personnage sans autorisation préalable, n'hésitez pas à me dire si cela pose problème pour vous.
Pronomi : he/him Specchio : Palabres : « Comment est votre soif d'aventure, Capitaine ? »
« Insatiable.. » Specie : alchimiste Lavoro : espion Daemon : sangha Fazione : noénaute Capacità : alchimie d'ingénierie/artisanat et alchimie médicale Mondo : gazzi et alterien Cuore : pansexuel - cœur espiègle cogne dans sa cage pour les yeux doux d’un inopiné
“Vous pensez vraiment qu'iels voulaient reformer le Miroir Fumant ? Mais pourquoi ? Iels auraient vu le lambeau de Quetzalcoatl ?” Demande Kassandra, circonspecte.
“Nous n'étions pas si loin de Cittaspide lorsque nous avons croisé le lambeau, peut-être qu'il était déjà passé par là auparavant ?”
Soudainement, la terre se mets à gronder et les fenêtres de la forge à vibrer. Tu manques de trébucher et te rattrapes à un établi. Alerte, tu jettes un regard soucieux à tes camarades, tout comme toi, ils n'ont pas l'air de savoir ce qui se passe. Heureusement, l'agitation n'est pas longue. Tu devines que le tremblement de terre n'était pas d'origine naturel, sinon, les daemons auraient pu le pressentir.
“Qu'est-ce que c'était ?” S'exclame Sangha, effrayé.
“Je ne sais pas, mais on ferait mieux d'accélérer les recherches.” Affirmes-tu, en t'efforçant de garder ta composition.
En farfouillant plus rigoureusement, tu trouves une porte dérobée menant à un atelier. Les nombreux schémas, brouillons, formules et cercles alchimiques attirent ton attention.
“On dirait ton bureau !” Allègue Sangha, en indiquant toute la paperasse d'un mouvement de tête.
D'un bon agile, il quitte ton épaule pour aller fureter sur le grand bureau.
“Une vraie pagaille..” Rajoute-t-il, sans camoufler son quolibet.
Tu secoues doucement la tête, amusé par la malice de ton prolongement.
“Je t'ai déjà dit que c'est un désordre organisé..” Réponds-tu, en accentuant intentionnellement ton intonation sur ton dernier mot.
Tu farfouilles dans tes poches jusqu'à trouver tes lunettes que tu chausses sur le bout de ton nez et tu parcours plusieurs formules du forgeron inconnu, en essayant d'en percer les secrets.
“Tu comprends quelque chose ?” Demande le tamarin, intrigué.
“C'est des procédés alchimiques pour reforger les morceaux du-”
“C'EST QUOI ÇA ?!”
Le simien s'agite devant une lucarne ouverte sur Cittaspide, l'index pointé en direction des astres, te pressant de venir le rejoindre. Tu aperçois l'énorme mécanisme qui a avalé la cité, l'origine du bruit n'est désormais plus un mystère. La structure est abîmée, mais tu crois reconnaître des morceaux de miroirs.
“Il faut qu'on sorte..”
Sans perdre de temps, Sangha saute et s'accroche à ta veste, remonte le long de ton buste, passe sur ton épaule et se niche dans ta capuche.
“Je suis prêt..”
Avant de partir, tu prends quelques uns des manuscrits que tu ne peux pas te résoudre à laisser derrière toi. Ils pourront sans doute être utile un jour ? Même si ça n'est pas pour reforger le miroir, peut-être pour réparer autre chose ?
Finalement, tu précèdes les deux Covenant à la sortie de la forge. Un tas de nouveaux visages arpentent les rues, des visages inconnus, ceux des spidis qui vous avertissent d'un danger imminents. L'apparition du miroir fumant n'a donc rien d'aléatoire et d'après son état, la menace qui pèse sur vous n'en est pas à son coup d'essai.
Un couple de spidi récupèrent quelques unes de leurs affaires dans une casetta. Tu t'approches d'eux afin de leur proposer ton aide, mais aussi pour satisfaire ta curiosité.
“Pourquoi la menace vient-elle ici ? D'après l'état du miroir, vous subissez des assauts répétés ?”
RÉSUMÉ : Aimé et Sangha farfouillent dans la forge, le simien fait remarquer à son porteur l'apparition du mécanisme. Ils décident de sortir de la casetta, Aimé prend avec lui quelques uns des schémas alchimiques. Dehors, la présence des spidi l'intrigue. Ils abordent un couple entrain de récupérer leurs affaires.
carte jouée:
INDICE
Obtention d’un indice sur la prochaine intrigue du forum. Carte à jouer par mp à l'Être caché.
CW : Skye est susceptible d'aborder les thèmes d'extrémisme religieux, d'abandon, de dépression ou d'humilitation. Si cela peut te heurter, n'hésite pas à venir me voir en privé.
TW : Je n'ai pas de TW me concernant.
NB : je ne maîtrise pas encore totalement l'écriture inclusive, là aussi si tu y es sensible n'hésite pas à venir en discuter en PV, je suis toujours prête à continuer mes efforts !
Pronomi : Elle
Specchio :
Specie : Humaine ; Haruspice
Età : 45 ans ; 8 octobre -13
Lavoro : Primat ; Relieuse en cheffe à la Bibliothèque des Quatre Mondes ; Membre du Consiglio
Daemon : Cornelius "Cees" ; Saimiri boliviensis (singe écureuil)
CW : Skye est susceptible d'aborder les thèmes d'extrémisme religieux, d'abandon, de dépression ou d'humilitation. Si cela peut te heurter, n'hésite pas à venir me voir en privé.
TW : Je n'ai pas de TW me concernant.
NB : je ne maîtrise pas encore totalement l'écriture inclusive, là aussi si tu y es sensible n'hésite pas à venir en discuter en PV, je suis toujours prête à continuer mes efforts !
Pronomi : Elle Specchio : Specie : Humaine ; Haruspice Età : 45 ans ; 8 octobre -13 Lavoro : Primat ; Relieuse en cheffe à la Bibliothèque des Quatre Mondes ; Membre du Consiglio Daemon : Cornelius "Cees" ; Saimiri boliviensis (singe écureuil) Fazione : Pandémoniques Capacità : Haruspice ; Graphomancie Mondo : Monde de Lyra Cuore : Pansexuelle
Il n’avait pas dit un mot. Ni lorsque le monde semblait s’être écroulé au-dessus de leurs têtes, ni quand son cœur s’était mis à battre à l’unisson du sien, alors que Simurgh s’avançait dans les ruelles pour la prendre dans ses bras. Il était resté muet, suivant poliment Skye, écoutant Eluard, les spidi, faisant le tri dans son esprit sur toutes les choses qu’il apprenait et toutes les choses qu’il comprenait. Croyait comprendre. Car peu faisait sens, tout s’alignait méticuleusement mais ne faisait aucun sens.
Les cittadinis étaient pointés du doigt comme responsables de leur propre effondrement, voilà ce que Cornelius comprenait de tous ces échanges, de cette quête pour mieux comprendre et se sauver. Se sauver d’elleux-mêmes. Et en voyait les yeux de la spidi se gonfler de larmes, il ne réussit pas à résister à son envie toujours trop forte de crier. C’est comme si l’inkumboli devant elleux pointait du doigt Skye comme responsable ; alors son cœur se gorge d’une rancoeur vive et brûlante. Le singe se retourne vers Eluard qui se trouve juste à côté, la regarde et l’écoute avoir sa conversation avec le fameux Renard. Iels parlent de Carthage, du monde effondré qui apparaît encore clairement dans les souvenirs du daemon, et les places s’échangent lentement. Eluard prend sa place, rejoint Skye au côté de la spidi accusatrice ; Cees rejoint l’animal. « Ce n’est pas notre faute, vous savez. Personne à Cittàgazze n’a fait quoique ce soit pour libérer ces lambeaux volontairement. S’il s’est passé quelque chose, c’est parce que nous n’avons pas les informations dont nous avons besoin. Et vous… si. ».
Il pince ses lèvres, s’enfonce dans le sac de Skye pour aller y chercher le morceau de pierre bleue qu’iels avaient eu dans leurs mains, quelques minutes plus tôt, aux Théâtre-Monde. Alors qu’ils avaient cherché désespérément où il s’encastrait parfaitement, le saïmiri était à présent persuadé de connaître sa place tant attendue : entre les bras des habitant·e·s de Cittàspide. En le tendant au spidi, il ajouta dans une petite voix : « Elle est membre du Consiglio chez nous, elle aussi, comme vous. Alors partagez vos connaissances avec nous, ne faites pas comme si nous étions si différent·e·s de vous. Dîtes nous comment nous avons éveillé les lambeaux, afin d’éviter de le faire à nouveau une fois que nous aurons réussi à les détruire. ».
Derrière lui, Skye se trouve muette, la main portée à sa bouche, la culpabilité est en train de lui ronger l’âme au point que c’est Cees qui ferme les yeux pour s’empêcher de pleurer.
Résumé · Skye est totalement muette. C'est Cees qui agit, rejoint @Eluard I. Pizzaro auprès du spidi Renard, défend Skye, et lui offre le morceau de mosaïque de Cocteau qu'iels avaient essayé de placer dans le Théâtre-Monde sans succès en demandant comment iels ont réveillé les Lambeaux s'iels sont les coupables.
Mosaïque de Cocteau
Un pan de mosaïque bleue qui semble dépourvu d'utilité.
“
je vais prendre ma colère souveraine, la tenir entre mes mains lui dire que les jours étaient forts et durs avec elle mais vivre ainsi c’est croire que tout est voué à s’effondrer et aujourd’hui j’ai besoin de construire une éternité à ma mesure. (cécile coulon)
“Mon frère est là ? Hm, c’est pas vraiment étonnant. Tu l’as vu ?”
Whisper acquiesce silencieusement, traversé par une pensée similaire. Connaissant Lior, il est impossible qu'il ai renoncé à une telle expédition. Lui qui, pour une simple rumeur, disparaît parfois pendant plusieurs jours.
“Attends, tu le connais ?... Mais, ça veut dire qu’il doit être seul, en danger. Il faut qu’on parte d’ici… Toustes, avec lui.”
À nouveau, le sorcier opine du chef. Pelagia quant à elle, s'efforce de reprendre du poil de la bête. Encore agitée par son cauchemar, elle s'arme d'une pagaie qu'elle serre fermement entre ses deux mains et elle s'assure de ne pas être seule pour la poursuite de sa quête. Sa détermination à retrouver son frère est touchante à voir. Le Lovelace l'imagine sans difficulté sous les traits d'une amazone, prête à livrer bataille pour les siens.
L'inquiétude de la brune trouve son écho chez le sorcier, également soucieux pour sa fratrie qu'il a vu descendre du dirigeable noénaute. Il tente de se rassurer comme il le peut, en se répétant inlassablement que son adelphie est familière des expéditions dangereuses, ils ont combattu bien plus redoutable : Ils vont s'en sortir.
Le petit groupe s'éloigne du lac de la question, dans les ruelles, ils croisent des habitants de la cité des serpents, ils ont tous le même discours : Un danger approche. Les nombreuses mises en garde rendent l'atmosphère anxiogène et le sorcier prend sur lui pour ne pas succomber à la panique.
Pelagia, toujours effrayé à l'idée qu'une attaque de spectre survienne, interroge un groupe de spidi au sujet d'ifantasmi. Le Lovelace reste à ses côtés, mais il jette de vifs regards à chaque nouvel individu qui entre dans son champ de vision avec l'espoir de reconnaitre l'un de ses proches. Un peu plus haut, il aperçoit une chevelure de jais, mais ce qui l'interpèle, c'est surtout la ligne des épaules particulièrement prononcé. Il en est convaincu, c'est Lior.
“Lior...il est là !”
Whisper se précipite en direction du pandémonique, par expérience, il sait qu'il vaut mieux se hâter, le pêcheur a la mauvaise manie de se volatiliser. Arrivé à sa hauteur, le sorcier le hèle par les biceps, puis d'une gestuel maladroite, attrape son visage entre ses deux paumes. Il vérifie rapidement que le Greco n'a rien et relâche sa prise.
“Tu vas bien ?! Je suis avec Pelagia, il faut qu'on parte !”
RÉSUMÉ : Whisper accompagne Pelagia afin de retrouver Lior. Il espère également croiser sa fratrie afin de s'assurer qu'ils quittent tous ensemble la cité des serpents.
Pronomi : He/Him Specchio : Specie : Originali memoria Età : 23y Lavoro : Pêcheur Daemon : Aucun Fazione : Pandémonique Mondo : ? Cuore : à côté de ses basquets Personnage : Classique
Sa course effrénée est ralentit par le grondement de plus en plus considérable, puis arrêté lorsque se dévoile le mécanisme de Cittàspide. Il tourne sur lui-même, agité, le nez en l'air il regarde au nord, à l'est, à l'ouest, au sud. La conclusion est terrible ; les bras de fers sont partout, ils encerclent la ville et portent un dôme de verre brisé par endroit qui finit de la recouvrir. La respiration déjà rapide du jaguar s'accélère, il y a quelque chose au fond de lui qui tord ses tripes, qu'il ne reconnait pas, mais qu'il a pourtant souvent expérimenté. Il s'agit d'un sentiment : la peur.
Lior n'a jamais supporté d'être enfermé, encore moins d'être pris au piège et même si la ville est grande dans cette configuration, elle n'est rien d'autre qu'une prison. Il attrape sa tête entre ses mains, s'accroupi et se recroqueville contre lui-même, le regard rivé sur la terre. Il ne s'en rend pas compte, mais il lutte, il lutte contre une crise de panique. De ce fait, il ne voit pas immédiatement les spidis, alors même qu'ils sont tout ce qu'il recherche depuis son arrivée. Le tête dans un étau, il ne discerne pas leurs ombres vives sur le sol, leurs démarches pressées et solides, leurs voix qui mettent en garde. C'est seulement quand l'un d'eux pose sa main sur son dos, le secouant gentiment pour le prévenir du danger, qu'il lève enfin les yeux sur ces êtres qu'il n'a entendu qu'en légende, mais qu'il brûlait de rencontrer depuis presque toujours.
Il cligne des yeux, découvre lentement ses oreilles puis se redresse d'un bond, manquant de mettre un coup de l'arrière de son crâne au pauvre inconnu venu le prévenir. Le nuage anxiogène balayé de son ciel. ''Vous êtes un spidi !'' Il s'exclame, un peu fort, ignorant la mise en garde. Il observe tout autour, constate qu'ils sont plusieurs à être apparut d'il ne sait où et formule tout ce qui lui passe par la tête à voix haute. ''Où étiez-vous caché ? Je vous cherche depuis mon arrivée..'' Il fait une pause, puis poursuit. ''Qui remonte a pas très longtemps, mais je vous cherchais.'' Son attitude brusque a de quoi décontenancer l'inkumboli, le jaguar ne s'en soucis guère et continue sur sa lancé. ''Vous connaissiez l'existence de Cittagazze ? Pourquoi n'avez-vous jamais essayé d'entrer en contact avec nous ?'' Sa véritable question était en fait ; pourquoi n'avoir jamais tenté de me trouver moi.
La silhouette d'une connaissance apparait soudainement dans son champ de vision, s'appropriant d'abord ses bras puis son visage, coupant le contact visuel qu'il maintenait avec le spidi. C'est Whisper. Il sourit presque en le voyant, mais les spidis sont partout tout autour et il a une tonne de questions a leurs poser. En réponse à la première question du sorcier, il hoche la tête distrait par la présence des inkumboli, puis attrape les épaules du zutique pour le pousser sur le côté, essayant de discerner l'inconnu. Le prénom de sa soeur est prononcé, il le répète, son attention enfin détourné des habitants de cittàspide. ''Pelagia ?" Ses billes font un rapide aller-retour sur celle du plus vieux. Le mal de ventre qui le rongeait s'amoindri, il en déduit naturellement qu'elle va bien et c'est l'inquiétude qui se dissipe. ''Oui vous devez partir. Je vous rejoins plus tard. Tu fais attention a ma soeur d'accord ? J'essaierais de lui apporter un souvenir.'' Le Greco a la fâcheuse tendance à ne jamais se sentir concerné et à minimiser la gravité des évènements.
résumé : Lior n'apprécie pas l'apparition soudaine du miroir, qui lui provoque presque une crise de panique, seulement l'arrivée des spidis est plus importante. Il veut en savoir plus sur eux et peut-être sur lui. Il engage la conversation avec l'un d'eux, mais Whisper s'interpose.
CARTE JOUE:
REUSSITE
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Dernière édition par Lior S. Greco le Lun 25 Déc - 21:38, édité 2 fois
Un léger attroupement se fait autour de la Tour puis, tout change rapidement. Bruits, sensations étranges, rien de normal. Gabija le sent. Elle s'envole pour voir plus haut ce qui se passe. Cela continue d'être étrange : des personnes sortent d'un peu partout. Cachées suppose-t-elle. Personnes qu'elle n'a jamais vu avant. Les spidis, cela semble être la seule réponse logique. Réponse qui amène des questions. Pourquoi se cachaient-elles ? Plusieurs questions qui ne peuvent qu'être répondues si elle les pose. Elle se pose dans un coin où personne ne semble s'être cachée pour éviter de les surprendre, entend quelques questions et réponses qui ne se font que mystérieuses. Aussi douée que les sorcier•ères pour répondre sans le faire vraiment. Elle s'approche près d'un duo doucement, Kasparas pas très loin d'elle dans les airs, les surveillant au cas où. C'est bien louche tout cela pour lui. Il se dit qu'iels doivent préparer un sale coup. Se cacher. Quelle idée. « Bonjour, je suis désolée que notre arrivée vous ait tant effrayé. » fait-elle, s'inclinant légèrement. « Comment peut-on vous aider ? Même si cela semble être impossible de le faire, dites-le. » demande-t-elle, doucement. Peut-être que les étoiles ou les feuilles de thé ou les galets ou les os ou l'invisible vont pouvoir le savoir.
Résumé : Gabija approche un duo de spidi et leur demande comment peut-elle les aider
Carte réussite:
réussite
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L'Être caché
“
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Messagi : 24286
Fragments : 74301
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Specchio :
Palabres :
« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Renard vous soupèse du regard. « Cardinal ? Vous m’en direz tant. » Il ne semble pas impressionné. Le regard de l’autre spidi est chargé de tristesse. « Les lambeaux sont invincibles. Il faudrait un miracle. » Elle vous contemple avec des yeux où ne perce pourtant pas le désespoir. « Seul le Poignard subtil est en mesure de vaincre Quetzalcóatl, maintenant que le Miroir fumant est en partie détruit. »
« Cette alchimie est tabou. Vous ne devriez pas poursuivre sur cette voie. Elle ne vous sauvera pas de la colère de Quetzalcóatl. » Lorsque vous plongez la main dans votre sac, le spidi se recule brusquement, par peur de ce que vous allez en sortir. Finalement, il reçoit le présent, d’abord méfiant, puis reconnaissant. « Merci pour votre cadeau. Nous ne sommes pas si différent·e·xs. Comment vous appelez-vous ? » Il ajoute, d'une voix plus basse : « Ne persévérez pas dans vos recherches. Qui sait ce que vous pourriez découvrir… »
La spidi échappe un étrange rire à la mention de Cittàgazze. « Nous avons nos abris, loin sous la surface. Jamais nous ne mettrons un pied à Cittàgazze, vous ne savez pas ce qui s'y camoufle. Au-delà des cittadini. »
Tout d’abord soupçonneux, le couple de spidi finit par accepter votre aide pour rassembler leurs affaires. À votre question, l’un d’elleux échappe un sourire amer : « L'hydre ne supporte pas notre survie, c'est son orgueil qui l'oblige. Ça fait des mois qu'elle nous attaque. »
Renard échappe un soupir amer. « Il est trop tard pour vous poser cette question, les lambeaux ont été réveillés et ils viennent pour nous détruire. » Il vous regarde avec des yeux sans orgueil et pourtant défiant : « Comment pourrais-je le savoir ? Les sceaux ne se sont pas détruits tout seuls. Vous avez découvert la grotte d’Æsahættr, n’est-ce pas ? » Il ajoute d’une voix où perce l’inquiétude : « Les effondrements dont vous parlez ont altéré le cours des choses. »
Le spidi, quelque peu brusqué, finit par vous répondre d’une voix calme : « Jeune homme, nous vous avons observé toutes ces années. Vous n'étiez pas prêt·e·xs. »
Le duo de spidi se redresse à votre arrivée. « Vous êtes une menace pour nous autant que Quetzalcóatl. » lance l’une d’entre elleux. « Nous ne pouvons plus rien contre les lambeaux. Les failles nous ont conduit à notre perte. » répond l’autre, plus calme.
Specie : INKUMBOLI ✖ varanus komodoensis (varan de Komodo).
Età : 34 YO ✖ mais le temps d'ores et déjà suspendu sur le vide ; à demi-mort‧e, à demi-endormi‧e, l'existence immobile depuis la mort d'⠁⠗⠁. Douze ans d'un long coma dont tu ne te réveilleras jamais.
Lavoro : créateur·ice de masques pour le MUNSTRUM THÉÂTRE. ✖ combattant·e à la NEF DES FOUS. ✖ organiste à la CATTEDRALE.
Daemon : aucun.
Fazione : PANDÉMONIQUE ✖ la foi s'est frayée un chemin dans tes entrailles comme une lame, a creusé tes bras de sanglots rouges, marqué tes flancs de cicatrices, et la ferveur a doublé ta vie d'une éternelle pénitence.
Mondo : CITTÀGAZZE ✖ gazzi à l'arrogante pureté, enfant des cimes et de l'effondrement, dernier angelo d'une lignée immémorielle.
Pronomi : IEL/THEM ✖ dépourvu‧e d'identité de genre. Specchio : Palabres : [saïmour]
simurgh ― #5F709D » moodboard » playlist Specie : INKUMBOLI ✖ varanus komodoensis (varan de Komodo). Età : 34 YO ✖ mais le temps d'ores et déjà suspendu sur le vide ; à demi-mort‧e, à demi-endormi‧e, l'existence immobile depuis la mort d'⠁⠗⠁. Douze ans d'un long coma dont tu ne te réveilleras jamais. Lavoro : créateur·ice de masques pour le MUNSTRUM THÉÂTRE. ✖ combattant·e à la NEF DES FOUS. ✖ organiste à la CATTEDRALE. Daemon : aucun. Fazione : PANDÉMONIQUE ✖ la foi s'est frayée un chemin dans tes entrailles comme une lame, a creusé tes bras de sanglots rouges, marqué tes flancs de cicatrices, et la ferveur a doublé ta vie d'une éternelle pénitence. Mondo : CITTÀGAZZE ✖ gazzi à l'arrogante pureté, enfant des cimes et de l'effondrement, dernier angelo d'une lignée immémorielle. Cuore : ENDEUILLÉ·E ✖ pansexuel·le, polyamoureux·se.
Les paroles des spidi te traversent. Tu ne sais plus où tu en es, ce que tu fais ici, si tu devrais t’enfuir ou rester. La seule constante est Skye, dont tu tiens la main serrée dans la tienne. Tu es ailleurs au point de ne pas sentir le malaise dans cet étrange tableau : une évêque main dans la main avec l’organiste de la Cattedrale, à côté du Cardinal. On croirait le début d’une fable ou d’un comble. Toi, tout ce qui t’importe, c’est d’être auprès d’elle et de la savoir en vie. Quant à vous mettre en sûreté, c’est encore là une autre histoire. Une part de toi voudrait emmener Skye avec toi dans le premier dirigeable, une autre voudrait douloureusement rester pour en apprendre davantage sur les spidi et leur ville miraculée. Comme si l’Autorité l’avait préservée sous un couvercle tout ce temps. Le Cardinal t’aide à faire un choix en demandant à Skye de rester pour aider ce nouveau peuple, et la question se résout d’elle-même dans ton esprit. Si elle reste, alors tu restes aussi. Silencieusement, tu écoutes la conversation entretenue entre une spidi, la Cardinale et Skye, jusqu’à ce qu’un surprenant personnage ne vous rejoigne.
En apercevant un renard s’approcher de vous, tu comprends sans mal qu’il s’agit d’un inkumboli, qui ne tarde pas à reprendre forme humaine. Il s’appelle – sans surprise – Renard, et tu ne peux t’empêcher de songer au conte du Petit Prince, avec cet animal qui sera pour toi unique au monde*, penseur et songe à la fois, le seul éclat sur une Terre sans amour. Ton cœur se serre à la vue de cet inkumboli qui peut comprendre, au fond de lui, ce qu’est ta condition. Tu te sens si semblable et si lointain en même temps. En vérité, dans toute cette quête irréelle, tu n’es pas seulement venu·e trouver ta propre mort. Tu es venu·e trouver ta place, et cet inconnu peut-être peut en éclaircir le mystère. Tu écoutes la discussion entre la spidi, le Cardinal, Skye et Renard avec attention, n’osant pas prendre la parole. Tu es traversé·e pourtant par mille questions, mais tu juges qu’elles n’ont pas leur place entre leurs mots plus nobles que les tiens, et plus conscients du danger que tu ne l’es vraiment.
Tu finis par interpeler un·e spidi qui écoutait iel aussi la conversation. « Je suis un inkumboli, moi aussi. Je m’appelle Simurgh. » tu commences par te présenter, selon la convenance, en espérant que l’inconnu·e t’accordera un peu de sympathie. « Si vous aviez connaissance de notre cité, pourquoi n’avoir jamais donné signe de vie ? Nous vous avons longtemps cherché. » Tu espères que tes mots ne seront pas pris comme une accusation. Tu essayes seulement de comprendre comment vos deux cités ont réussi à s’ignorer l’une l’autre pendant près de mille ans, selon les contes. « Vous représentez un espoir pour un grand nombre d’entre nous. » Tu ne songes pas aux cittadini. Tu songes aux analogues. « Est-ce qu’il existe un Cirque de la Solitude, chez vous aussi ? » Tu sais que la question n’a rien à voir avec la lutte pour votre survie, qu’elle sera sans doute jugée anecdotique, voire déplacée, mais tu dois savoir. Tu dois en apprendre plus sur elleux, comme s’iels recelaient un secret qui t’a toujours échappé. Le secret de la mort d’Ara.
Skye et Cees offrent aux spidi deux objets d’art d’une grande beauté, et tu espères qu’ils sauront trouver grâce à leurs yeux. Les questions du daemon semble réveiller l’amertume chez Renard, et instinctivement, tes poings se serrent. Rejeter la faute sur votre dos est particulièrement facile, pour une cité se faisant passer pour morte depuis des centaines d’années, emportant avec elle nombre de précieuses connaissances. S’iels vous avaient mis·es en garde plus tôt, peut-être qu’un tel drame ne serait pas sur le point de se produire, que les lambeaux n’auraient jamais été réveillés. Les spidi ont fait le choix de protéger leur cité avant tout – ce qui ne manque pas non plus de noblesse. Mais le reproche perd de sa légitimité. Tu n’as pas le temps de rétorquer quelque chose qu’un immense grondement se fait entendre dans le ciel, comme un coup de tonnerre. Un nouveau mécanisme s’est-il activé ? Non, cette fois-ci, on croirait entendre le début d’un orage. Mais le ciel est désespérément clair.
* Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry.
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Obtention d’un indice sur la prochaine intrigue du forum. Carte à jouer par mp à l'Être caché.
résumé Simurgh reste auprès de @Skye Eirhart et @Eluard I. Pizzaro. Iel se sent proche des spidi par sa condition d'inkumboli, et demande à l'un‧e d'entre elleux pourquoi iels ne sont pas venu‧e‧xs rencontrer les cittadini avant. Iel leur parle ensuite du Cirque de la Solitude.
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Nous ne sommes pas de ce monde nous sommes des justes. (a. camus)
L'Être caché
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Pseudo : L'être caché
Pronoms : n/a
Faceclaim : n/a
Dialogue : /
Crédits : (av) hel (icon) hel
Messagi : 24286
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Multicomptes : /
Specchio :
Palabres :
« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Lae spidi semble plus méfiante que ses camarades. « Car votre peuple est avare. Vous aimez vous approprier ce qui ne vous appartient pas. Nous révéler aurait été une immense prise de risque, nous aurions mis notre cité en péril. ». Votre dernière question semble l'intriguer et son visage s'adoucit : « Nous l'appelons : le Mont Dual. » Et iel pointe du doigt un sommet au loin, derrière le lac de la Question.
Isle se décide à sortir de cette bâtisse, afin d'aller voir ce qu'il se passe un peu plus loin avec le bruit qu'il y a eu. Une sorte de miroir sort des flots. Sif se met ensuite à pousser quelques hululements de surprise avant de s'exprimer. « Les spidis sont sortis. » fait-elle. C'est ce qu'elle entend. La noénaute se retourne et constate, qu'effectivement, il y a un peu plus de personnes dans les alentours qu'un peu plus tôt. Elle s'approche vers celle-ci, voit qu'elles semblent toutes faire leur bagage. Partir. Avec elleux ? Fuir plutôt. Oh. C'est vrai. Tout est la faute de Cittàgazze. Cette manie de l'accuser de tout les maux alors qu'il y a bien des habitant•es différent•es depuis plus de trente ans qui n'ont rien à voir avec ce qui est arrivé il y a des centaines d'années. Touxes coincé•es dans le passé. Même ancêtres que les analogues, comme quoi vivre loin d'elleux n'a pas fait grand-chose au niveau de l'évolution de pensée. Ce n'est pas pour rien que ça ne fait que tourner en rond dans les réponses. Iels semblent aimer être cette situation. Rien de clair. « On dirait qu'iels ont appris à dire que les mêmes mots. » que fait sa chouette : danger, on ne peut rien y faire, ne pas chercher ce qu'il y a ailleurs, iels sont dangereux•ses, la ville est dangereuse. Pas de véritables réponses au final. Elle s'approche de quelques personnes, afin d'essayer d'ouvrir le dialogue un peu plus sans obtenir de réponse floue. Bon, elle n'a pas grand espoir. « Excusez-moi, je suis loin de connaitre votre histoire en général comme je viens d'un autre monde... » Et elle a appris qu'il y en avait bien d'autres, assez ? « ...alors si le poignard est reforgé et qu'une nouvelle faille est ouverte, est-ce que vous seriez en sécurité là-bas ou bien c'est un danger inhérent à tous les mondes ? » demande-t-elle. Réponse floue et incomplète dans trois, deux, un...
Résumé : Isle va à la rencontre de quelques spidis et leur demande si le poignard est reforgé, iels pourraient être en sécurité dans un nouveau monde ou si le danger est dans tous les mondes.
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Yiwài Sian
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Pseudo : Mahad
Pronoms : SHE / HER
Faceclaim : Cha Eunwoo
Dialogue : Bold & #D8BFD8 / Bold & #FF7F50
Crédits : Avatar : rathmore Icon : awaregei
Messagi : 1178
Fragments : 4528
Multicomptes : Taron L. Harding & Lior S. Greco & Andréas Naumenko
Pronomi : He/Him
Specchio :
Specie : Haruspice Vulgar
Età : 24 ans - 16 Juillet de l'an 8
Lavoro : Copiste expert illustrateur
Daemon : Imeros - Renard roux
Fazione : Pandémoniques - Foi émergente, doucement apprivoisé et conquise.
Capacità : Enterré sous les cryptes, retourné à l'état de poussière, cendres cloitrées dans leurs jolies bocaux : Les voix des défunts, parole des enfers résonne et déraisonne à son tympan.
Mondo : Géniteur : Gazzi / Génitrice : Altérienne
Cuore : Demisexuel - Palpitant en proie à la balade d'un intrigant
Petit Prince
Pseudo : Mahad Pronoms : SHE / HER Faceclaim : Cha Eunwoo Dialogue : Bold & #D8BFD8 / Bold & #FF7F50 Crédits : Avatar : rathmore Icon : awaregei Messagi : 1178 Fragments : 4528 Multicomptes : Taron L. Harding & Lior S. Greco & Andréas Naumenko Pronomi : He/Him Specchio : Specie : Haruspice Vulgar Età : 24 ans - 16 Juillet de l'an 8 Lavoro : Copiste expert illustrateur Daemon : Imeros - Renard roux Fazione : Pandémoniques - Foi émergente, doucement apprivoisé et conquise. Capacità : Enterré sous les cryptes, retourné à l'état de poussière, cendres cloitrées dans leurs jolies bocaux : Les voix des défunts, parole des enfers résonne et déraisonne à son tympan. Mondo : Géniteur : Gazzi / Génitrice : Altérienne Cuore : Demisexuel - Palpitant en proie à la balade d'un intrigant
Le Sian n'en croit pas ses yeux, après l'apparition du miroir, c'est l'apparition des spidis qui le laisse pantois. Il a l'impression que toute son énergie a été drainé ; par le voyage, par les potions, par les évènements, mais il n'est pas temps d'abandonner, pas alors que les réponses à toutes leurs questions sont a portée de main. Il remercie encore le sorcier, lui souris et décide d'embarquer Jill avec lui, la tirant brièvement par la main avant de la libérer, conscient qu'elle est encore moins adeptes des contacts physique qu'il ne l'est et surtout pas des obligations. Si la professeure veut continuer l'aventure avec lui, elle le fera et si elle veut s'éloigner rien ne l'en empêchera. Simplement, il espère qu'elle restera loin du danger et qu'elle décidera de fuire, si la situation devenait trop.. redoutable. Sa peau frissonne de froid, tandis qu'il laisse dans son sillage des traces d'humidité, il est trempé jusqu'à l'os. Son regard vogue d'un visage spidi a un autre, ne sachant pas vraiment comment intéragir avec ceux qui n'était jusqu'à présent que des murmures aux coins du feu. Le violoniste reconnait une chevelure blonde et plus encore son éclat de voix, sûr d'elle, volontaire. C'est Jana Eirhart. Une amie d'enfance qu'il a perdu de vu depuis quelques temps déjà, mais qu'il souhaiterait retrouver sans savoir comment procéder. Ce qu'il entend l'intéresse et les circonstances lui donnent le courage de se tenir près d'elle. Les billes de charbons croisent ses lagons incisifs, il les dépose rapidement sur le spidi qui lui fait face. Il sourit poliment, s'incline pour le saluer. ''Bonjour, je m'appelle Yiwài et ça c'est Iméros.'' Il pointe du doigt le renard dégoulinant, qui a perdu de sa superbe dans cet état. ''Je n'ai pas pu m'empêcher de vous entendre parler d'abris.. D'abris sous la surface.'' Qu'il répète l'air songeur. ''Depuis combien de temps vous cachez-vous ?" Bien que l'information l'intéressait, l'autre chose que l'inconnu avait ajouté le titillait d'autant plus. ''Et que craignez-vous a Cittagazze ? Qu'est-ce qui s'y camoufle ?'' Le renard se place face au violoniste et lui donne conseil. ''Que dirais-tu d'offrir un présent a cet homme ? Pour le remercier des réponses qu'il va nous apporter ?'' à cela Yiwài s'exclame. ''Ah oui !'' Il dépose son sac au sol et en déniche une toile qu'il a ficelé pour son transport. ''Tenez !'' Il tend le présent et rajoute lorsque celui-ci n'est plus entre ses mains. ''Sinon je peux également vous jouer un morceau ?'' L'illustrateur désigne l'étui a violon qu'il porte dans son dos et n'attend pas de réponse pour le déballer. Peut-être qu'il est un peu trop enthousiaste, en tout cas l'instrument se trouve rapidement sur son épaule, à demi enlacé, ses cordes pincés et l'archer coulissant. Le violoniste a seulement joué quelques notes lorsque le coup de tonnerre retenti, ce qui l'effraie et le fait louper sa mesure dans un bruit strident. Il s'arrête, examine rapidement le ciel puis s'excuse, rouge de honte.
Résumé : Yiwài est désemparé, mais il reste au fond de lui l'espoir de trouver des réponses pour Cittagazze. Il décide d'interagir avec les spidis, mais ne sait pas comment s'y prendre. Il profite de voir @Jana Eirhart en pleine conversation avec l'un d'eux pour s'y mêler. Il offre un cadeau en posant plusieurs questions a l'inconnu. Quand l'orage retenti, il s'effraye et se trouve ridicule.
CARTES JOUEES:
TABLEAU D'ANNONCITATION
Un tableau de Luca Giordano représentant la scène de l'Annonciation. Il semble dépourvu d'utilité.
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something wrong with me
“C'est grâce aux astres nonpareils, Qui tout au fond du ciel flamboient, Que mes yeux consumés ne voient Que des souvenirs de soleils.”
Nil est d'accord avec moi, c'est sûrement une spidi qui nous a aidé. Pourquoi si loin de chez elle ? Dans tous les cas, des spidis sont devant nous à présent et ne savent pas ce qu'est Coat. Un village que répond le jeune homme. « Coatlinchàn. » Un long nom. Coat c'est mieux. Plus rapide à dire. Plus facile. J'ai autre chose à faire que de prononcer tout le temps presque toutes les lettres de l'alphabet. Je donne ensuite l'anneau et Nil me demande où je l'ai eu. Je fais un sourire innocent. « Je l'ai trouvé... » que je fais. Il faut bien que tout le temps que je passe dans le labyrinthe serve à quelque chose. Et on me répond, je pense. Pff. L'histoire ne fait que se répéter. On partage bien les mêmes ancêtres. Tout aussi coincé dans le passé que les analogues. Je lève les yeux dans les airs, soupire. « Si vous savez qui est arrivé, on peut le changer en ne refaisant pas les mêmes choses. » que je fais. C'est à ça que cela sert de savoir le passé : ne pas le répéter. « Alors, qu'est-ce qui est arrivé pour pas qu'on refasse pareil ? » C'est pourtant simple, non ? Puis bon, mon extraordinaire présence n'était pas là dans le passé. Je peux sûrement faire une différence. J'opine ensuite de la tête, oui oui, le mont Analogue existe.
Mon ami continue de parler, il pose des questions, et l'inkumboli qui nous a aidé est là. « Ooh, madame rouge-gorge ! Merci encore de nous avoir aidé ! » que je fais, montrant que je la reconnais. « Des ennemis ?! Où ça ? » je me mets ensuite en position de combat. « Peut-être qu'avec de la colle vous pouvez le reconstruire. » Une colle spéciale faite avec je ne sais trop quoi. Un peu de magie et d'alchimie. Une collaboration entre les espèces et les factions. Quelque chose de plus grand que juste nous. Coat, Citta et Citta. Villes ennemies devant surpasser leurs mésententes, les conflits pour vaincre l'Ennemi. Ennemi qui se fait introduire par un coup de tonnerre ? Il va en falloir plus pour m'effrayer !
Résumé : Dot continue de parler et raconte un peu n'importe quoi avec sa très grande compréhension et son immense savoir. Elle demande qu'est-ce qui est arrivé pour pas qu'on refasse pareil ? pour essayer de comprendre.
Les spidi interrogé‧e‧xs se montrent curieux‧se‧xs de votre monde d'origine, mais la question amène sur leur visage une même expression résignée. « Il n'est nul monde où le danger ne nous suivra pas. Fuir ne ferait qu'amener davantage de malheur sur tous‧te‧xs », vous explique un homme d'une quarantaine d'années, avant de se transformer en chouette hulotte pour saluer Sif en voltiges.
La spidi appelle d'un mot que vous ne connaissez pas d'autres habitant‧e‧xs, qui se regroupent autour du tableau offert et qu'elle déroule dans un sifflement d'appréciation. « Merci pour cette œuvre, elle représente votre religion, c'est cela ? Nous avons perdu le compte des siècles, se cacher est dans notre nature désormais, tout comme la méfiance envers votre cité. Je ne peux vous dire ce qui s'y trouve, sinon vous enjoindre de la quitter, au plus vite. Cittàgazze vous dévorera, comme tant d'autres. » La femme hésite, puis vous attrape une main, en chuchotant. « Ce n'est pas à vous de payer pour les crimes des gazzi. »
La grande rousse éclate d'un rire franc devant votre volonté d'aider, très avenante. « Vos conteur‧euse‧xs ne vous ont pas raconté ? Il y a longtemps, nos peuples se sont affronté‧e‧xs, et Quetzalcoatl est né de cet hubris. Et désormais, voilà qu'il revient. » Elle s'apaise, vous fixant avec gravité. « Que tu le veuilles ou non, Dot Belley, l'histoire est en train de se répéter. »
Triggers : Personnellement, je n'ai aucun trigger.
TW : Tactile
Spoiler:
Mon personnage est naturellement tactile, il se peut qu'il touche votre personnage sans autorisation préalable, n'hésitez pas à me dire si cela pose problème pour vous.
Mon personnage est naturellement tactile, il se peut qu'il touche votre personnage sans autorisation préalable, n'hésitez pas à me dire si cela pose problème pour vous.
Pronomi : he/him Specchio : Palabres : « Comment est votre soif d'aventure, Capitaine ? »
« Insatiable.. » Specie : alchimiste Lavoro : espion Daemon : sangha Fazione : noénaute Capacità : alchimie d'ingénierie/artisanat et alchimie médicale Mondo : gazzi et alterien Cuore : pansexuel - cœur espiègle cogne dans sa cage pour les yeux doux d’un inopiné
D'abord méfiant, le couple accepte finalement que tu les aides à réunir leurs affaires. Tu prends soigneusement les effets qu'ils t'indiquent et les rassemble devant la casetta. Accommodant, les spidis répondent à ta question et tu en apprends plus sur le danger qui menace cittaspide. La bête qu'ils évoquent semble dôté de conscience, mais aussi sciemment malveillante, le péril qu'elle représente n'est donc pas à prendre à la légère.
“Avez-vous réussi à déterminer le point faible de cet hydre ? Ensemble, peut-être que l'on pourrait le vaincre !?”
D'un naturel optimiste, tu ne te laisses pas facilement abattre. Pour toi, il y a toujours une solution, toujours un moyen de résoudre et vaincre l'adversité. La preuve, malgré les nombreux obstacles, Cittagazze est toujours debout. Cittaspidi aussi, malgré les attaques répétées du lambeau, reste victorieuse. Ce sont d'ailleurs ces attaques répétées qui te donne l'espoir que les spidis ont déterminé la vulnérabilité de leur assaillant.
D'abord attentif aux deux inkumboli, le son lointain d'un instrument à corde t'arrache à leurs révélations. Le singe aussi, d'abord larvé dans ta capuche laisse apparaître son minois, subitement intrigué. À ta connaissance, il n'y a qu'une seule personne prête à jouer du violon quel que soit les circonstances. La présence de Yiwài ne t'étonne pas, du moins, elle ne t'étonne plus. Dommage que sa méfiance ne s'accompagne pas d'une absence totale de courage.
“Merci beaucoup et bonne chance..” Lances-tu distraitement.
Ni une, ni deux, tu t'affaires en direction de la mélodie. Ton pas accéléré devient rapidement une foulée de course, attiré par l'harmonie comme le serait un aimant avec une force magnétique. Par chance, tu ne te perds pas dans le marché de tachikardie, composé d'un enchevêtrement insensé de marches, et tu arrives à la frontière avec le porto nuevo. Là, tu aperçois un amas nombreux d'individus et tu distingues presque immédiatement le Sian, ta course effrénée peut enfin s'arrêter.
Tu reprends ta respiration et observe à distance les agissements du pandémonique. Il est absorbé par la mélopée des cordes, plongé dans son monde à lui, loin, au bout du ciel et de la terre, dans un ailleurs que lui seul connait. Malheureusement, son éden est interrompu par un bruit sourd qui déchire le ciel. Tu sursautes également, tes orbes s'élèvent en direction de la voûte céleste, malgré le miroir fumant, un éclair aurait été visible.
Tout à coup investi d'une nouvelle mission, tu te précipites en direction du copieur. Une fois à sa hauteur, tu n'évoques même pas ses rougeurs, une occasion que tu n'aurais habituellement pas laissé te glisser entre les doigts.
“Tu es trempé..” Souffles-tu, sans manquer de remarquer de léger grelottement. “Qu'est-ce que tu as fais ?” Demandes-tu, d'une voix plus autoritaire que soucieuse.
Tu extirpes une couverture de ton sac à dos et enveloppe le séminariste, tu prends également une orbe ambarique dans ta main que tu frictionnes rapidement contre les bras du copiste pour le réchauffer, avant de la lui décerner.
carte jouée:
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ORBE AMBARIQUE
Une orbe capable d'alimenter un petit foyer et de disperser de la chaleur.
Les deux spidis ne reculent pas lorsque Gabija s'approche et qu'elle leur adresse sa question. C'est une bonne première étape. Rien ne les oblige à répondre, surtout pas à une inconnue. Iels sont une menace. Hum. Les analogues pensent pareil. Ce n'est pas très important non plus, pas avec ce qui est rajouté par la suite. « Les failles ? C'est-à dire ? » demande-t-elle, surprise. Elle se doute bien que les failles puissent avoir amené certains inconvénients, mais amener leur perte ? Peut-être quelques mauvaises personnes ou créatures des autres mondes, elle veut bien le croire. Cependant, leur perte complètement ? Il est vrai qu'elle ne s'est jamais vraiment intéressée aux failles avant d'arriver à Cittàgazze, même si elle en avait entendu parler avant un peu. Elle est donc prête à en apprendre plus sur les failles... bien que ce ne soit pas le bon moment pour cela. D'autant plus qu'il vient d'y avoir un coup de tonnerre. Elle regarde le ciel, surprise, n'ayant pas senti un changement drastique dans la météo, aucune approche de pluie qu'elle pourrait contrôler.
Résumé : Gabija demande aux spidis pourquoi les failles les amènent à leur perte ?
Carte réussite:
réussite
Annule un échec aux dés.
L'Être caché
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Pseudo : L'être caché
Pronoms : n/a
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Messagi : 24286
Fragments : 74301
Multicomptes : /
Specchio :
Palabres :
« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Le couple se fait plus avenant devant votre affolement et votre souhait d'aider manifeste. « Son point faible, c'est la lance. Vous lui donniez un autre nom, autrefois. Mais nous ne pouvons pas le battre maintenant. » Sur ces paroles, iels rangent le reste de leurs affaires et partent en hâte.
Les deux spidi échangent un regard, puis pointent vers le lac. « Sans nos navigations sur les mers des autres mondes, tout ceci ne serait sans doute pas arrivé », avance l'une des spidi. L'autre lui donne un coup de coude, et se fait plus succint‧e‧x, tout en tirant son amie vers une porte. « Les failles ont amené les spectres. Ils signent la fin de tout. »
Specie : {a l c h i s m i s t e} le prix à payer, cette équivalence dont elle connaît chaque détail de la balance qui retient et pousse sa main
Età : {2 8} la jeunesse qui périt lentement sans ouvrir la porte à la sagesse que les expériences accumulées offrent
Lavoro : {a i l e g a u c h e} la responsabilité qui l'étreint, ourobouros étouffé dont les traits se tirent
Daemon : {o r i o n} taïpan du désert représentant le partenaire de sa vie, une moitié sans laquelle elle ne peut vivre
Fazione : {s o l m è n e} fidèlité qui est ancrer, qui l'a fait évoluer et grandir à laquelle elle donnerait son essence vitale
Capacità : {f l a m m e s et f o r g e s} le métal fondu qui se retrouve dans les veines, le brûlant bûcher qui est ardent contre l'épiderme
Mondo : {g a z z i} malgré ces origines, c'est son monde et sa maison où ele se sent bien malgré les épreuves
Cuore : {f i a n c é f a n t ô m e} la solitude, la disparition qui déchire son cœur sans qu'elle ne puisse rien faire, abandonnée à la recherche d'un second souffle
Pronomi : elle Specchio : Specie : {a l c h i s m i s t e} le prix à payer, cette équivalence dont elle connaît chaque détail de la balance qui retient et pousse sa main Età : {2 8} la jeunesse qui périt lentement sans ouvrir la porte à la sagesse que les expériences accumulées offrent Lavoro : {a i l e g a u c h e} la responsabilité qui l'étreint, ourobouros étouffé dont les traits se tirent Daemon : {o r i o n} taïpan du désert représentant le partenaire de sa vie, une moitié sans laquelle elle ne peut vivre Fazione : {s o l m è n e} fidèlité qui est ancrer, qui l'a fait évoluer et grandir à laquelle elle donnerait son essence vitale Capacità : {f l a m m e s et f o r g e s} le métal fondu qui se retrouve dans les veines, le brûlant bûcher qui est ardent contre l'épiderme Mondo : {g a z z i} malgré ces origines, c'est son monde et sa maison où ele se sent bien malgré les épreuves Cuore : {f i a n c é f a n t ô m e} la solitude, la disparition qui déchire son cœur sans qu'elle ne puisse rien faire, abandonnée à la recherche d'un second souffle
La cité était le miroir distordu de sa propre réalité. Chaque demeure et chaque recoin ressemblaient à sa propre ville, édifice connu dans lequel pourtant elle se perdait. Ses repères se mélangaient, multiples couleurs de peintures qui tourbillonnaient sans qu’elle ne réussisse clairement à en identifier une nouvelle. Ces pérégrinations loin des réflexions terrestres s’interrompirent en entendant un bruit de cliquetis. Astrid n’était pas certaine qu’appuyer sur des boutons au hasard était une idée si lumineuse qu’elle dépassait tout doute tous les risques possibles. Malgré sa curiosité maladive, en bonne responsable, elle opérait selon un principe de précaution si similaire à la raison de réfléchir aux conséquences avant d’agir.
Le vrombissement souhaitait lui donner raison, la rubis attrapa du coin de l’oeil la chute dramatique de Afanen. Passablement d’accord avec elle. Croisant le regard de Taron, elle hocha la tête posant sa main sur la main de Taron pour signifier son accord. Alors que son ancien mentor se tournait vers la nouvelle apprentie qu’il guidait sur les chemins ardus des sciences alchimiques. Avant de quitter le reste des solmènes, la Lindbergh s’arrêta d’un air grave et passablement dramatique. « Vous n’avez qu’une mission : rentrez en vie pour rapporter ce que nous avons trouver dans la cité. Et dans le doute, préparez une défense. ». L’annonce était cataclysmique, bien trop théâtrale pour son goût habituel mais elle n’était que peu à son aide dans la cité retrouvée. D’un geste assuré, la rousse retira quelques mèches rousses qui bloquait son visage, envoyant un potentiel dernier regard sur le reste des émissaires solmènes. « Tu as fait bien trop dramatique ». Astrid décida, sciemment d’ignorer les persiflages d’Orion pour observer un gigantesque mécanisme de fer qui renvoyaient des myriades d’éclat de l’astre solaire. Derrière le groupe, la Tour brille d’une lumière sinistre, rouge carmin qui semblent être le signe des avènements des flammes sur le monde. « Commençons pas la forge. Mais la Tour est probablement un arrêt à faire aussi ». Par réflexe, la rubis sentait ses doigts prêts à claquer pour enflammer le monde elle aussi. La Poussière semblait commencer à s’agiter devant ses prunelles. Les particules se mêlaient, courants d'énergies qui semblaient indomptables.
Avant même qu’elle ne puisse retournait pour en parler à Taron et Ennà, elle sentie une présence tombant face à face avec d’autres êtres vivants. Astrid sentait son palpitant tambouriner bien trop rapidement dans son abdomen, étreinte devant la découverte des crimes passés de son peuple. Les restes des tâches dans leur histoire qui avait mené des mondes entiers dans les abysses. D’une voix basse, elle chuchota à Taron. « Je m’en occupe d’abord ». Si elle n’était pas une professionnelle de la diplomatie, l’imprévisibilité de Taron ne la rassurait pas et la jeunesse enthousiaste d’Ennà n’était pas non plus une voie privilégiée. Les questions se mélangeaient dans son esprit, sans qu’elle ne sache par où commencer, elle savait que le signe alchimique sur sa main l’identifier clairement. « Enchantée, je suis Astrid Lindbergh. Je vous prie d’excuser notre entrée cavalière sur la cité malgré les crimes passés, les légendes semblaient nous la conter détruite ou disparue. Est-ce que les miens sont à l’origine du vol de fer de ciel ? ». Sa voix se faisait la plus douce possible alors qu’elle laissa tomber sur le sol une potion pour apaiser l’air et les tensions. Les pas suivant étaient complètement inconnus mais elle voulait tenter. « Est-ce que nous avons une possibilité de nous unir pour vaincre à nouveau le Dieu-Serpent ? Il y a dans cette ville des traces d’alchimies que je ne connais que peu mais avec nos forces communes nous pourrions réussir. Si nos peuples ont réussi à construire l’arme des armes une fois, nous pouvons recommencer ». L’orgueil avait toujours été son péché mortel. Elle aurait aimé poser des questions sur le fragment. Mais ces informations demandées à ce qu’iels survivent et l’agressivité n’était probablement pas le meilleur moyen de gagner la confiance après des siècles de légendes noires.
CARTES JOUÉES:
INDICE
Obtention d’un indice sur la prochaine intrigue du forum. Carte à jouer par mp à l'Être caché.
lyre ensorcelée
Faite d'acajou serti d'argent, cette lyre à treize cordes était l'instrument de la reine d'un clan sorcier. La mélodie de cellui qui en joue charme les personnes qui ressentent pour ellui de profonds sentiments d'affection.
[i]résumé :[/ia] Astrid accompagne Taron et Ennà jusqu’à la forge après avoir ordonné aux autres solmènes de survivre. Elle tombe sur les spidi comme tout le monde. Après s’être excusée, elle demande si ils n’ont pas conservé des connaissances alchimiques pour tenter de battre une nouvelle fois Quetzou. Elle demande si : « Est-ce que nous avons une possibilité de nous unir pour vaincre à nouveau le Dieu-Serpent ?
Les minutes s'étaient étirées, infiniment inquiétantes, pour que Pelagia reprenne enfin connaissance. Le trouble dans ses yeux reflétait celui de son coeur ; c'était comme si elle se réveillait d'un intense cauchemar, soulagée de discerner à nouveau la réalité. Tomas connaissait bien cette sensation, elle l'avait accompagné de nombreuses années. Soulagé qu'elle semble reprendre ses esprits, il eut un sursaut d'affection et la serra contre lui. Il n'était pas du genre à s'inquiéter pour rien, mais il était assez réaliste pour savoir que l'inconnu s'entremêlait souvent au danger, et pour l'instant c'était bien tout ce qu'était cette immense citée oubliée sur un flanc de montagne. Rassuré par les propos de Whisper, il nota mentalement l'information concernant cette potion cependant. Il ravala des larmes produites par un mélange complexe d'émotions, et les yeux brillants, il se râcla la gorge : " - Non je ne l'ai pas vu... Pas encore. Il ne doit pas être loin. Il reporte son regard sur Whisper. C'est leur mère qui est venue me voir pour me dire que Pelagia et Lior n'étaient pas rentré·e·xs. Je suis certain qu'il est là. ". Ce n'était pas un mensonge, mais ça n'était pas non plus toute la vérité. Il se souvenait de leur sortie à l'Università, de Lior qui exprimait son intérêt pour Cittàspide, et qui lui avait clairement dit qu'il embarquerait pour l'expédition. Il avait tut cette information, ne voulant pas alarmer les autres ; aussi par pure compassion. Il avait été à sa place, en quête de réponses sur ce qu'il était et n'était pas. Lior avait besoin d'aller au bout de son voyage, et il ne l'en empêcherait pas.
Avec la force de caractère qui la portait bien au-delà de ses propres doutes, la dernière des Greco se releva, prête à rentrer chez elleux, prête à chercher Lior. Il posa une main sur sa joue " - Bien sûr que je viens, ne t'en fais pas. On va le retrouver et filer d'ici. " Iels traversèrent alors le port, le tenancier jetant des regards interloqués au grand mécanisme qui s'était étiré dans le ciel pour se refermer comme une cage translucide. Tout cela les dépassait, le dépassait lui, sur le moment. Mais il ne perdait pas de vue qu'iels vivaient un de ces moments qui semblaient marquer l'Histoire ; la découverte de Cittàspide et de son peuple allait avoir un impact. Il ne savait pas encore lequel. Un bruit sourd, comme un coup de tonnerre, déchira l'atmosphère ; pourtant, aucun signe d'un orage dans le ciel. Ca ne présageait rien de bon. " - LIOR ! " appela-t-il, espérant que les reliefs de la ville porteraient l'écho assez loin. Contrairement aux autres, il ne cherchait pas à discuter avec les spidi ; non pas par désintérêt ou mépris, mais parce qu'il n'était pas là pour ça. Il était persuadé qu'il aurait le temps de le faire dans d'autres circonstances. Et comme s'il avait été entendu, le jeune homme fut reconnu par Whisper, qui se dépêcha d'aller à sa rencontre. Il lui emboîta le pas, espérant pouvoir lui glisser quelques mots discrets ; mais il semblait déterminé à rester. Le prenant par les épaules pour le détourner de l'attention des autres, Tomas chuchota : " - S'il te plaît, rentre avec nous. C'est trop... imprévisible ici. Je sais que c'est tout ce que tu as toujours cherché, mais tu pourras revenir. Il désigna les spidi, affairé·e·xs à partir. S'iels partent, s'iels quittent leurs foyers, c'est qu'il y a une bonne raison. Tu auras tes réponses plus tard. Et avec une sorte de dureté dans le regard, il ajouta. Les mort·e·xs ne parlent pas. ". Le sous-entendu était clair ; s'entêter et mettre sa vie en péril maintenant pourrait lui être fatal.
Résumé · Tomas rassure Pelagia et il se met à la recherche de Lior. Il ne s'adresse pas aux spidi, concentré sur le fait de retrouver Lior et de quitter les lieux le plus rapidement possible. Whisper parvient à le trouver, et il en profite pour essayer de le persuader de rentrer.