Un navire s'est échoué à proximité du port empêchant tout départ. Et tu pouvais pas ne rien faire, il faut que tu agisses et que tu libères le chemin. Comment partir pour de longues pêches sinon ? Et les explorations ? Il faut absolument dégager la carcasse retourner du bateau. Alors t'es là, accompagné d'Odalys et de Pelagia pour faire exploser le bateau et ramener les morceaux à terre. Tu sais que ta force sera utile et tu ne pouvais pas ne rien faire. T'écoutes attentivement les deux pilotes, t'étais là quand le bateau est entré dans le port, mais t'as pas encore connaissance de tous les détails. T'avais d'autres choses à t'occuper, une montagne de paperasse qui n'en fini pas à gérer. Pas le temps. Alors tu l'as pris pour que la vie reprenne son cours. Parce que le port est trop calme, trop vide coupé de la haute mer comme ça.

"Je vois, j'espère qu'il y avait rien d'illégal dans sa cale sinon j'irais en toucher deux mots à lae Capitaine Almanzàr." Tu souris lorsque l'un‧e des pilotes vient tâter ton biceps. Avec ta force de sorcier, draguer la carcasse devrait pas être bien compliqué. Et puis ça te changeras d'être enfermé dans ton bureau. T'as besoin de sentir le sel sur ta peau et l'air de l'océan.

Tu t'avances pour te préparer, enfiler combinaison de plongée, masque et palme. Vous êtes interrompu‧es par la première pilote. "Un trésor ?" Que tu lui murmures en retour. On croirait presque voir des étoiles dans tes yeux. Tu te tournes vers Pelagia et Odalys comme pour jauger de leur excitation à cette nouvelle. Pour toi, la décision est prise, tu le trouveras ce trésor et tu le remonteras des entrailles de ce navire s'il le faut. "On va le chercher !"

Tu finis de te préparer et tu plonges donc. Le bateau est retourné et il faut que tu passes par-dessous pour pouvoir accéder à la cale. Tu sais retenir ton souffle longtemps donc tu pourras économiser ton air sans problème. Les fonds marins sont toujours aussi beaux et tu passes quelques instants à les contempler avant de faire signe à Odalys et Pelagia de te suivre. Vous le trouverez ce trésor.

en cale sèche

La mention de taon Dada par Jade t'arrache un frisson - un peu comme à chaque fois que tu imagines ou assistes à une réprimande de taon parent‧e. A tes côtés, Lirong acquiesce d'un claquement de bec sec : ni lui, ni toi n'aimeriez être à la place de lae capitaine du navire une fois présenté‧e à Eliseo.

A la suite de Jade, tes mains se saisissent du matériel de plongée. Contrairement à tes deux comparses, tu mets un peu plus de temps à tout enfiler, peu habituée et, surtout, curieuse du travail de couture qui a été fait sur la combinaison. Après tout, tu as encore en tête cette idée de plongée oxygénée que tu as promise à Pelagia. « On va chercher le trésor ! » Répètes-tu à la suite du sorcier. L'exclamation te vient naturellement, avec le ton de l'évidence joyeuse et enthousiaste. Avec Pelagia et Jade à tes côtés, tu te sens pousser des ailes alors bien sûr que vous allez trouver ce trésor ! « Qu'est-ce que tu aimerais que ce soit ? » Demandes-tu, excitée comme une puce, à la Greco.

Une fois dans l'eau, tu nages un peu autour de Jade et de Pelagia - cherches à évacuer l'impatience qui court déjà dans tes membres, plus qu'à t'habituer à l'environnement aquatique. « A tout de suite, Lirong ! » Tu lances joyeusement au daemon, resté sur la barque, avant de plonger immédiatement après Jade. Malheureusement, le lien de vos âmes tire vite et la douleur t'oblige à remonter, plus que le manque d'oxygène : « Lirong, rapproche-toi, s'il te plaît » demandes-tu au daemon qui, de bonne grâce et tout en grâce, quitte la barque pour atterrir dans l'eau, juste au-dessus de l'emplacement de l'épave : « Tu sais que je déteste l'eau salée » « Promis, je t'offrirai des poissons en plus ce soir ! » Et ton rire flotte encore dans l'air alors que tu as déjà disparu de nouveau dans l'eau.

Ca faisait pas bien longtemps, mais ma lubie de cette année 34 se situe non plus sur mais sous l’eau. Je crois que c’est d’avoir vu ce Lac incroyable à Cittàspide et ce qui s’y trouvait qui m’a fait réfléchir : quels trésors, monstres et merveilles, se cachent dans cet inconnu qui se situe juste-là, à seulement quelques brasses ? La curiosité a commencé à piquer, et depuis j’embarque régulièrement sur L’Oiseau pour aller jeter l’ancre au milieu de nulle part et plonger, aussi longtemps que mon souffle me le permet. Alors une histoire de navire bloqué, de trésor sous-marin, forcément, cela vient me titiller juste où il faut… Et puis maintenant, j’ai de quoi rester plus longtemps sous l’eau.

Toute sautillante, j’arrive au point de rendez-vous en saluant Odalys et Jade, tenant quelque chose dans mes mains. J’imagine déjà la tête d’Eliseo quand il a eu l’information à propos de ce navire. Je me faufile dans la combinaison, et puis j’avale l’étrange et visqueuse chose que je traînais avec moi : c’est une algue des profondeurs, et on raconte qu’une fois mangée, elle permet de respirer sous l’eau et d’y voir comme si on était directement sous un grand soleil ! Le goût étrange et la texture mollassonne me fait grimacer, mais je me secoue dans tous les sens pour éviter de trop y penser. A la place, je regarde Odalys et lui répond, « J’espère que ce sera un trésor avec une histoire derrière, qu’on puisse la raconter et qu’on fasse un conte entier sur notre aventure ! ».

Vint enfin le moment de vérité ; je regarde Jade et Odalys disparaître lentement, puis je me lance confiante et terrifiée à la fois - de peur qu’un jet de branchies me pousse autour de la nuque, probablement. Une fois sous l’eau, me tenant toujours à la barque, j’ouvre la bouche et… C’est étrange. Comme si l’eau qui entrait dans ma bouche se filtrait automatiquement pour se transformer en air, comme si quelque chose coincé dans ma gorge, sans que je ne le sente, venait magiquement extraire tout l’oxygène et faire disparaître le reste. Je hurle de joie sous l’eau, me dandine, et me laisse ainsi finalement tomber avec joie dans les profondeurs, que je perçois aussi distinctement que s’ils s’agissait d’une ruelle éclairée. En quelques battements de jambes, puisque l’algue ne nage pas non plus à ma place, je me retrouve vers la coque et commence lentement à entrer, l’oeil grand ouvert en quête de mystères et de secrets.

Algue des ProfondeursEn manger permet de respirer sous l'eau pendant 2h et de voir comme en plein jour dans les profondeurs. Le risque d'addiction est toutefois élevé et une consommation répétée mène à l'apparition de plaques ressemblant étrangement à des écailles.

Les deux autres plongent à ta suite et c'est tous ensemble que vous vous approchez de l'épave. Pelagia avale une algue des profondeurs qui permet de respirer sous l'eau, elle n'aura pas besoin de remonter à la surface avant un moment. Toi tu sais qu'il faudra peut-être que tu fasses un aller-retour. L'oxygène finira bien par te manquer. Tu nages vigoureusement avec de larges mouvements. Tu plongeais souvent sur Terre. Il y avait toujours milles choses à observer. Les poissons, les coraux, les plantes marines et tu as même exploré quelques épaves. L'expédition n'est donc pas totalement nouvelle pour toi, mais tu comprends totalement l'excitation dont font preuve tes deux comparses. Tu es a peu près dans le même état. Et puis peut-être que vous trouverez ce trésor.

Vous parvenez à rentrer dans le vaisseau. Il est retourné et vous êtes donc passés dessous pour parvenir jusqu'à la cale. Il y a là des caisses et des tonneaux à moitié renversé. Tu n'oublies pas votre objectif premier et tu cherches des points faibles là où vous pourrez placer les explosifs pour faire sauter le raffiot. Il reste que tu veux trouver le mystérieux trésor alors tu ouvres l'œil et le bon. Tu fais signe à Pelagia que tu vas vers la droite pour qu'elle ne s'inquiète pas de ne plus te voir et tu t'avances vers un autre coin du navire. Tu t'imagines déjà trouver un coffre rempli de pièce d'or, ou peut-être d'une arme ancienne et toute puissance. C'est ton innocence et ta naïveté qui prennent le dessus, mais la perspective de trouver un trésor en appelle vraiment à l'enfant qui sommeille encore en toi. Tu te sens l'âme d'un aventurier dans une quête périlleuse. Il reste que tu dois toujours te montrer prudent. Tu sais que bientôt tu devras remonter chercher de l'air. T'espères que t'auras pas à chercher cent cinquante ans.

J’inspecte la coque, le bois, les patelles et les berniques collées et cachées sous les algues, comme si ma vie en dépendait. Je suis à la recherche d’un signe, d’une porte, de n’importe quoi qui pourrait nous aider à découvrir ce trésor. En relevant la tête doucement, je constate que la troisième personne qui nous accompagnait est en train de retourner à la surface et de s’en aller lentement, probablement appelée par quelque chose de plus important, j’en déduis que nous ne restons plus que Jade et moi et je sens ma poitrine se mettre à trembler. Je ne peux pas paraître stupide et incapable devant le Doyen, lui qui a si souvent tapis mes rêves à vouloir me retrouver sous ses ordres pour mener à bien des expéditions : ce trésor est ma chance.

Alors je plonge de plus belle.

Jade me fait signe qu’il se rend d’un côté, je lui fais un signe pinçant mon pouce et mon index pour lui faire comprendre que j’ai bien compris et que je me dirige ainsi de l’autre côté. Intérieurement, je prie Poséïdon et toutes les Naïades pour que le trésor se trouve de mon côté et qu’il puisse voir que mes instincts d’aventurière sont bons à suivre. Etant petite, j’arrive à me glisser entre deux planches pour continuer les fouilles, et je réalise comme le fait de ne pas avoir besoin de remonter pour respirer est une aide que je ne peux pas mesurer. Je me sens dans mon monde, ici, au milieu des courants troubles et ondoyants. J’aimerais y rester, encore et encore. Explorer la beauté des océans dans ce calme ambiant qui, contre toute attente, me convient bien mieux que l’agitation permanente des rues de Cittàgazze. J'aimerais être un poisson, une créature des mers, fouiller ainsi entre les anémones et les tentacules des pieuvres que je soulève avec tendresse tandis qu’elles s’échappent naturellement, terrifiées par la présence humaine. Elles ne comprennent pas que je suis un peu des leurs. Que moi aussi, je voudrais ne jamais remonter vraiment.

RéussiteAnnule un échec aux dés.

Tu continues de t'enfoncer dans le bateau à la recherche du trésor, mais de ton côté tu ne trouves rien. Par une porte à demi-enfoncé, tu parviens à entrer dans le gros de la cale. Il y a des trous dans la coque du bateau qui diffuse une faible lumière qui t'aide à t'orienter. L'un des rayons finit sur un baril de poudre. Tu regardes plus attentivement ce qui t'entoure, des explosifs, beaucoup d'explosifs. La solution proposée par les marins t'apparait alors dans toute son horreur. Vous aller faire sauter le Porto Vecchio si vous faites exploser toute cette poudre. Tu ressors à toute vitesse et tente de trouver Pelagia. Tu lui fais signe que tu vas remonter à la surface et qu'elle peut venir avec toi si elle le souhaite. Tes gestes sont saccadés et tu montres trois fois la surface de façon insistante. Il faut que tu fasses vite.

Tu pousses avec tes jambes et tes bras et bientôt tu émerges à l'air libre. Tu repères vite le bateau du quel tu as plongé tout à l'heure. « Le bateau est bourré d'explosif et de poudre. On peut pas le faire exploser ! Je peux tenter de remonter les barils un à un mais ça risque de prendre du temps. Ou alors il faut qu'on les répande dans l'eau, à l'humidité, la poudre ne pourra pas prendre feu. » Tu en informes sans tarder les pilotes et réfléchit déjà à des moyens d'éviter la catastrophe. Il faut libérer l'accès au port, mais vous ne pouvez pas prendre de risques inconsidérés.

indice Obtention d’un indice sur la prochaine intrigue du forum. Carte à jouer par mp à l'Être caché.

Je regarde Jade, expert de ses mains fines, réussir à ouvrir le trésor ; avant de déchanter devant les grenades rouillées, les barils menaçants. Je récupère quelques rondelles dorées pour décorer la péniche de souvenirs et deux perles noires étranges, mais en dehors de cela, notre trésor nous apparaît davantage comme une malédiction. Dans les gestes de l'explorateur, je décèle la panique et qu’il va remonter, alors instinctivement je le suis, sans perdre des yeux le navire qui s’éloigne de nous.

Arrivée en haut, j’écoute Jade expliquer la situation et comprend en effet les problèmes que ces trouvailles posent - et en même temps, Poséidon nous protège, je n’ose même pas imaginer ce qu’il se serait passé si nous n’avions pas insisté pour fouiller et découvrir le contenu du coffre… Puis, en réfléchissant à ce que j’ai dans mon sac qui nous attend sur notre bâteau flottant, je me demande si je n’ai pas une solution pour nous aider plus encore. « Jade… Je-J’ai une idée, mais je ne sais pas si ça va marcher. On m’a donné un petit sac magique qui contient un Vent d’aeolus... On raconte qu’il ramène n’importe quel navire à la ville. Tu crois… Tu crois que la magie serait assez puissante pour élever celui englouti hors des flots ? Peut-être même le ramener au Porto Vecchio, mais au moins le sortir du fond des océans ? J’y pense depuis tout à l’heure. Mais je crois que je rêve, n’est-ce pas ? ».

Tout ce que je me dis, c’est que cela nous permettrait de poursuivre notre expédition plus facilement, notre fouille, sans nécessiter de tout faire exploser ; et de sortir les dangers et les explosifs de ces planches trempées et recouvertes de mousse. Alors je grimpe chercher mon petit sac magique, et tout ce que j’attends, c’est le feu vert de mon supérieur pour retourner dans la cale du navire englouti, libérer la magie et me laisser porter où ce vent sous les eaux daignera bien me guider.

Vent d’AeolusUn sac magique contenant un vent ramenant tout navire à Cittàgazze.

Tu fais tout pour garder ton calme, mais ce n'est pas des plus aisé alors que le bateau englouti est une véritable bombe. Et si ne vous pouvez pas le dégager du port, alors plus d'expéditions possibles, plus de pêches en mer haute. C'est toute la vie du port et de la faction qui pourrait se retrouver en danger. Il faut absolument que vous trouviez une solution. Ce que tu proposes pourrait fonctionner, mais ça prendra du temps, beaucoup de temps. Il vous faut quelque chose de plus rapide, de plus efficace.

Tu te creuses la cervelle, mais tu ne penses à rien d'autres. Puis Pelagia se fait entendre. Elle t'explique qu'elle a un sac qui contient un vent qui ramène les navires au port. Tu n'es pas vraiment familier de ce genre de sortilège, piètre sorcier que tu es, mais tu te dis que ça pourrait suffire. Il vous faut bien de la magie pour y arriver. Alors tu prends ta décision, tu ne te laisses pas le temps de douter. Au pire, ça ne fonctionnera pas, mais vous vous devez d'essayer. « On tente ! Si ce vent peut ramener tous navires au port, il pourra remonter celui-ci à la surface. Faut juste espérer que ça ne secoue pas trop la poudre. Et si ça ne fonctionne pas, on trouvera un autre moyen. » Ta voix se fait sûre, même si tu doutes encore. Tu veux y croire, parce que tu ne voudrais pas avoir la responsabilité des dégâts que feraient une telle explosion.

Au rythme d'un métronome engourdi et assourdi par l'eau, mon coeur bat et palpite alors que nous commençons lentement à fondre dans l'océan. Mon idée n'était pas mauvaise, même si elle n'était pas parfaite et que l'état du navire endormi était bien trop endommagé pour survivre au sortilège. Lorsque le sac magique a commencé à se rabattre, se vider tout entier, j'ai bien compris qu'il serait possible que nous n'y arrivions pas... Mais j'avais tout de même l'espoir de nous en sortir, avec l'aide et la sorcellerie de Jade, avec le soutien de l'équipage qui était en alerte - comme nous - de voir le bâtiment remonter planche à planche. Mais la trahison, je ne l'avais pas anticipée.

Mains et pieds attachés, commençant à glisser sous l'eau, je crois que mon Algue des profondeurs fait encore effet et me permet de ne pas me noyer. A ma ceinture se trouve un petit fleuret de ciel, si léger qu'il flotte presque et qu'en me tordant suffisamment, de quelques mouvements qui me sont encore possibles, j'arrive à couper les liens qui me retiennent prisonnière. Je le saisis, défais mes chevilles de leur emprise, et je remonte à la surface en tentant d'attraper Jade avec moi pour qu'il reprenne sa respiration. « Jade ! Jade, ça va ?, je le regarde paniquée, brisant ses attaches à lui aussi, et en voulant par la suite remettre la fine lame à mes hanches, ma main butte contre ma poche légèrement bombée. Jade... J'ai une idée. Fais-moi confiance, et surtout, toi, ne change rien. ».

Il faut tenter le tout pour le tout si on ne veut pas mourir ou que ces brigands détruisent tout le Porto Vecchio en faisant exploser les barils. Alors je sens mon courage se décupler, poussé par l'adrénaline, et ma main venir sortir de ma poche la petite montre de mnemos qui s'y trouve. « Un... Deux, trois... Quatre ? ». Ca devrait suffire, quatre tours, une poignée de minutes. De quoi revenir juste avant que le navire ne s'effondre, juste avant que nous découvrions que ce sont toustes des traitres.

***

Je sens mon corps assister à un retour en arrière, remonter le temps, et je réalise que ce sont ce genre d'évènements et d'objets gorgés de magie qui nourrissent toute ma frustration de, moi, n'être qu'une simple humaine qui n'a pour survivre que ces quelques gadgets. Puis la scène défile à l'envers, on remonte des eaux, nos assaillant·e·s défont nos liens, rangent leurs armes, et le bateau, lentement, se reforme. Puis le temps retrouve sa place. Devant nous, le navire est sorti de l'eau et il commence à s'éparpiller. Les pilotes ne vont pas tarder à se retourner contre nous, nous devons agir vite. « C'est un piège. Prépare-toi à attaquer. », je murmure à l'oreille de Jade qui doit sûrement rien comprendre ; puis je m'avance vers l'un·e des pilotes en piochant dans la poche intérieure de ma veste un petit papier, toujours plus ensorcelé que le reste des merveilles que je cache un peu partout dans mes affaires. « Dites, et maintenant, est-ce qu'on doit suivre ces consignes-là ? ». Je tends le papier à lae contrebandier·ère·s, et lui lis les premières phrases qui se trouvent sur le message, un poème dada. « Maintenant, on va ligoter vos compagnon·ne·s, et faire très attention avec ces barils, hein. Allez, vite ! ». Et je le regarde, s'éloigner, obéir, en reprenant mon souffle. Sentant toujours mon coeur battre sur le rythme d'un métronome effréné.

Fleuret de cielEpée délicate forgée en fer de ciel, réputée pour sa légèreté et sa discrétion. Certain‧es prétendent même que les blessures qu'elle inflige ne laissent aucune trace, tout en étant fatales.

Montre de MnemosUne montre à gousset en argent permettant de remonter dans le temps de quelques minutes.

Poème DadaPoème qui, une fois lu, permet d'ensorceler la personne à qui il est adressé. Le charme dure environ 3 heures, durant lesquelles la‧e victime obéit au doigt et à l'œil.

RéussiteAnnule un échec aux dés.