Le ciel. L’étendue voilée et l’aspiration secrète de la foi. Tu n’as pas hésité un seul instant, lorsque les dirigeables furent achevés, pour t’enrôler dans le Galilée. Ce voyage, s’il devait être le dernier, serait aussi le plus proche de tout ce en quoi tu crois. Le vertige de la foi, le courage, les rêves de grandeur et d’éternité, la recherche effrénée de savoir, et le ciel immense, le ciel-éclat. Balthamos lui-même vous a promis sa protection, et après les larmes échappées de son apparition, ce fut une détermination fiévreuse qui te souleva le cœur. Rien ne pourrait vous arriver. Les dragons meurent dans le ciel, ne cesses-tu de te répéter alors que tu t’apprêtes à monter à ton tour dans le dirigeable. Un pied sur la passerelle, tu te retournes une dernière fois, non pas pour contempler la ville, mais croiser le regard de Skye, qui finalement, ne partira pas. « Es-tu sûre de ton choix ? » demandes-tu de ta voix calme qui n’appelle qu’aux tendresses. Si l’Autorité l’avait convaincue de rester ici, c’est que d’autres desseins l’attendaient à Cittàgazze – et d’autres vies la retenaient. Tu redescends de la passerelle pour t’approcher de ton amie et la prendre timidement entre tes bras. Tu la serres un instant contre ton corps, avant de t’éloigner, les mains sur ses épaules, les yeux plantés dans les siens : « Nous reviendrons. » tu lui assures, avant de remonter sur ton épaule ton sac en bandoulière, remplis de livres, et de disparaître à l’intérieur de la nacelle.

Dans le ciel, tu es heureuse de retrouver Yiwài, dont cette expédition n’aurait pas pu, selon toi, se passer, quoique en doute le jeune homme. Seuls ses traits et ses peintures sauront rendre grâce à cet étrange et imprévisible voyage dans lequel vous vous embarquez, et tu n’as pas manqué de lui demander d’illustrer l’aventure pour compiler un maximum d’archives à la Bibliothèque des Quatre Mondes. « Bonjour Yiwài. » le salues-tu en le croisant sur le pont. « Que penses-tu d’une dernière estampe de la cité des cimes, au loin ? Nous ne l’avons jamais vu si lointaine. » tu songes en regardant par le hublot. Tu te retournes vers ton disciple après quelques secondes. « Merci d’être venu. » Un respectueux signe de tête vient appuyer tes paroles. Tu ne tardes pas de croiser le chemin d’une de tes élèves, Salomè, dont tu ignorais qu’elle s’embarquerait elle aussi dans cette aventure peut-être sans lendemain. « Salomè. Je ne m’attendais pas à vous voir. Et en même temps, cela ne m’étonne qu’à moitié. » Tu t’approches pour poser une main sur son épaule. « Je suis très fier de retrouver mes élèves dans ce voyage, vous faites preuve de beaucoup de courage. »

résumé Eluard embarque après des derniers au revoir avec Skye, avant de retrouver Yiwài et Salomè après le décollage.

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C'est l'heure du grand départ. Tu ne pensais jamais quitté Cittàgazze. Tu ne pensais jamais t'aventurer dans les airs. Et pourtant. Te voilà, accompagnée de Nicholas et de Siren, prêt·e·xs à braver les dangers. Tu ne sais pas où te mèneras cette expédition. Tu ne sais pas ce que vous allez trouver là-haut, près de l'anomalie. Non, tu sais pas. Tu observes le dirigeable qui vous accueillera pendant ce voyage. Tu espères que rien ne vous arrivera et que l'expédition ne sera pas soldée par un échec.

Tu te retournes pour étreindre ta mère, Arthur, Nino. Celleux qui resteront au sol à vous attendre. Il faut que vous reveniez entier, les Covenant ne s'en remettront pas sinon. Un dernier regard pour celleux que tu laisses derrière toi et tu montes sur l'Arche, le dirigeable Noénaute. Il ne vaut mieux pas que les au revoir s'éternisent selon toi. Tu n'es de toute façon pas très douée pour tout ça. Toi, t'as l'habitude d'être seule. Tu t'es un peu enfermée dans cette solitude pendant quelques temps. Mercurio est perché sur ton épaule, comme à son habitude. Ses yeux ne quittent pas le ciel.

Tu es bientôt rejointe par tes adelphes. Le dirigeable décolle. Il n'y a plus de retour en arrière possible, direction l'anomalie. L'Arche est en tête, vous serez les premiers à voir les dangers. À vous de rester prudent·e·xs.

Résumé : Kassandra embarque sur le dirigeable noénaute après avoir dit au revoir aux Covenant restant à Cittàgazze. Elle reste silencieuse à côté de Siren et Nicholas pendant le décollage.

Carte indice:

Ta joie avait éclaté en de grands cris de victoire lorsque le dirigeable zutique fut achevé. Vous alliez découvrir le ciel, c’était tout proche, c’était réel. Tu te retournais dans ton lit toutes les nuits, les yeux ouverts dans le vide et un sourire enfantin sur les lèvres, ne parvenant pas à trouver le sommeil tant l’excitation et les rêves éveillés te secouaient. Le jour, tu travaillais sur tes paravoiles et tes planeurs en espérant pouvoir les embarquer dans la soute de l’avion et profiter de l’altitude pour t’envoler loin, et peut-être ne jamais revenir. Tu n’as pas vraiment envie de quitter Cittàgazze, ni même de mourir, mais tu veux voler. Tu veux voler pour l’éternité, dans des paysages encore jamais vus, tu veux voler et si le ciel décide qu’il s’agira de ton dernier vol, alors tu t’y plieras. Tu n’as pas peur de la mort, ni de la chute. La chute est la preuve que tu es vivant, la chute est ce qui a fait qu’Icare était mortel, la chute est le début et non la fin. Tes mains tremblent d’impatience sur tes outils, que tu peines à manier alors que tu ajoutes les dernières modifications à ta dernière paravoile, d’un rouge fuyant, sur laquelle tes doigts maladroits ont dessiné à la peinture noire le sceau de ton père ; deux dunes au-dessus desquelles luit une étoile.

Tu embarques presque en courant, la paravoile repliée dans ton dos comme un étrange et encombrant sac à dos. Tu frétilles, cherchant du regard Gabija alors même que tu arrives sur le pont du Navire d’Argent. Lorsque tu l’aperçois, tu te précipites vers elle en la saluant de grands signes de la main, excité comme seul·e·xs peuvent l’être et le comprendre les enfants. Tu as choisi un signe pour signer le prénom de Gabija : il s’agit du signe pour montagne, légèrement modifié, en référence à votre première escapade dans les airs, loin de Cittàgazze, avant que l’anomalie et son champ magnétique n’empêche les sorcier·ère·xs de voler. Gabija, je suis tellement heureux que l’on s’envole à nouveau ensemble ! Tu signes, les mains tremblantes, avant de te retourner pour montrer à la sorcière la voile repliée dans ton dos. J’ai confectionné une nouvelle voile pile pour le voyage ! Et l’air un peu plus sérieux, tu ajoutes : Si cela devient trop dangereux et que tu ne peux pas voler, viens avec moi, on pourra sauter du dirigeable. Mais ton sourire enfantin revient presque immédiatement sur tes lèvres.

résumé Grimm est super heureux et impatient d'aller dans le ciel, sa paravoile comprise, ce qu'il ne manque pas de dire à Gabija après le décollage.

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Tu regardes les dirigeables. Tu sais toujours pas ce que tu veux faire. Aller face au danger. Rester au sol. Deux propositions qui te semble aussi bonnes l'une que l'autre. Tu n'as rien à perdre. Tu n'as personne, Itha. Il n'y a que toi et Zola. Baba a disparuæ, t'as plus de famille, t'as jamais vraiment eu d'ami·e·xs. Qu'est-ce que tu perdrais en allant explorer le ciel ? Faut bien que quelqu'un·e·x y aille, non ? Zola ne semble pas sereinæ. Æl pense que vous serez mieux à Cittàgazze, tu læ regardes. Tu t'abaisses à son niveau. "On pourrait découvrir un autre monde. On pourrait comprendre comment les failles fonctionnent. Zola, c'est une grande opportunité." Æl te regarde de ce regard qui veut dire qu'æl est perplexe. Un mouvement imperceptible de la tête. Æl ne veut pas y aller. Tu veux y aller. Vous n'êtes pas d'accord.

Après une conversation silencieuse, æl hoche de la tête. Tu lui as promis d'être prudentæ, vous ne sortirez pas les premièræ, vous laisserez d'autres ouvrir la marche pour vous protéger. Tu te redresses, poses ta main sur le cou de Zola et toutæ deux vous vous avancez jusqu'au dirigeable des solmènes. Tu montes, sans un regard en arrière. Il n'y a personne à qui tu dois dire au revoir.

Résumé : Itha hésite entre rester à Cittàgazze et embarquer. Æl en discute avec Zola, æls parviennent à s'entendre et décident d'embarquer. Æls embarquent sans un regard pour la cité des cimes.

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Il aura suffi de peu de temps à Salomè à bord du dirigeable pour apprendre deux choses. La première c’est que, contre toute attente, elle n’a pas le vertige. Cela serait une merveilleuse nouvelle, si la seconde n’était pas que, par contre, Salomè a le mal de l’air. Cela ne devrait pas vraiment être une surprise. Après tout, elle n’a jamais mis un orteil ailleurs que sur la terre ferme.

Adossée à la paroi de la nacelle, elle arrive à capter un courant d’air qui soulage légèrement sa nausée. Peut-être que c’est un test de sa foi. Ou juste qu’elle n’est définitivement pas faite pour l’aventure, après tout, la dernière fois qu’elle s’est lancée dans une expédition de ce genre, cela s’est terminé par l’attaque des analogues sur la Terre Brulée. Salomè n’a pas exactement envie de réitérer l’expérience.

Pour la centième fois (en vérité elle a arrêté de compter) depuis le décollage, elle se répète qu’elle aurait dû rester au sol. C’est bien, le sol, c’est stable, c’est naturel et ça ne risque pas d’exploser en vol, de s’écraser ou seule l’Autorité sait quoi d’autre. Non définitivement, niveau prise de décision, celle-ci ne figure pas dans les meilleures.

Elle ne sait pas trop quoi faire de sa peau. Elle a déjà organisé l’infirmerie, fait un inventaire de tout ce qui s’y trouve. Le besoin de personnel médical s’est rapidement présenté, sans savoir ce qui leur fait face, s’en passer aurait été un risque inconsidéré. Et si sa spécialité est la maïeutique, elle sait également soigner les maux les plus courants. Les soins à l’hôpital du Capitello et dans les dispensaires doivent continuer et ils n’ont pas pu se séparer de beaucoup de soignants pour le Galilée. Il faut juste espérer que les blessures seront principalement constituées d’échardes et d’ampoules.

Elle n’a dit au revoir à personne, à quoi bon. Personne ne va vraiment regretter son départ, mieux vaut la perdre elle que quelqu’un d’autre. C’est plus simple ainsi, de ne manquer à personne. Elle était parmi les premières, pour ne pas que ses nerfs lui jouent des tours et qu’elle ne change d’avis, elle n’a même pas osé regarder en arrière après être montée à bord.

Des pas la sortent de sa rêverie et elle se relève rapidement. « Bonjour Professeur Pizzaro. » S’il remarque sont teint plus verdâtre qu’à l’accoutumé, il ne dit rien. Elle acquiesce doucement, pas certaine encore de s’il s’agit de courage ou de bêtise. Elle sursaute presque, au geste bienveillant, à la main sur son épaule. Salomè lui sourit. « L’Autorité veille sur nous, nous accomplissons sa volonté. Balthamos nous protège. » Et c’était suffisant, n’est-ce pas ?

indice
Obtention d’un indice sur la prochaine intrigue du forum. Carte à jouer par mp à l'Être caché.

Spriggan ne s’est pas attardée sur le tarmac. Elle n’a personne à qui dire au revoir, même pas Siren. Parce qu’elle ne croit toujours pas qu’elle ne viendra pas. Sa capitaine, rester à terre ? Impensable. La seule personne à qui elle aurait pu envoyer un baiser n’est pas dans la foule, non. Pour la simple et bonne raison que sa grand-mère ne sait pas que la jeune sorcière a embarqué. « Je t’aurais bien envoyée la prévenir, si j’avais pu » qu’elle adresse à Mag, le ton plein de mépris. La pie reste interdite, tiraillée. Elle comprend sa sœur d’âme et la soutient, mais la jeune femme a déjà tant à porter, elle ne supporterait pas de la voir vivre avec d’autres bêtes regrets. Alors elle garde le silence, tout comme sa moitié d’âme qui regarde avec une pointe de jalousie la si nombreuse famille Covenant se dire au revoir.

La nacelle de l'Arche est spacieuse, de quoi se cacher facilement dans un coin. La jeune femme n'est pas persuadée que la cinquantaine de personnes qui pourrait tenir à son bord va embarquer, mais c'est peut-être mieux s'il reste un peu de place. Au cas où le dirigeable des zutiques, moins résistant que l'Arche, se crasherait et qu'il faudrait les récupérer. Ou encore s'il fallait accueillir les naufragé‧e‧s d'un autre monde. Parce que c'est bien pour ça que la luciole a embarqué. Aucun‧e scientifique n'a réussi à établir si oui ou non l'anomalie est une faille. Alors il reste encore de l'espoir. Un mince, minuscule, microscopique espoir que son père revienne. Elle n'avouera pas ses véritables intentions, surtout pas à Siren qui vient de monter à bord, sa silhouette entre celles de ses adelphes. Elle ne comprendrait pas. Ou peut-être bien que si, mais que c'est la sorcière qui ne veut pas en parler. Dire un souhait à voix haute l'empêche de se réaliser, non ? C'est bien pour ça que l'arbre à souhaits croule sous les papiers.

Le signal est donné, on gonfle le ballon et doucement, le paysage par la fenêtre se met à changer. Ça fait quelque chose, un mélange de papillons dans le ventre et de plomb dans le cœur. Finalement, elle aurait peut-être dû dire quelque chose à sa grand-mère au lieu de disparaître comme ses parents. Mais sa sirène ne lui laisse pas le temps de se flageller. « On y croit » accompagné d'un sourire un peu forcé. Des yeux, Spriggan passe en revue ses compagnon‧e‧s de fortune. En plus de Kassandra et Nicholas qu'elle connaît, voisinage et copinage avec leur sœur oblige, elle aperçoit un homme qui casse déjà la croûte et une nimrodienne. Son ombre qui la suit ne laisse aucune place au doute et il faut à la jeune femme une bonne inspiration pour garder son calme. Est-ce qu'elle est là parce qu'elle sait quelque chose à propos de l'anomalie ? Est-ce là une preuve que Nimrod ne s'est pas effondrée ? Spriggan se promet de la garder à l'œil, regrettant amèrement sa rapière de vent. Avec un peu de chance, sa mauvaise humeur passera pour de l'inquiétude.

Résumé : Spriggan embarque à bord de l'Arche sans avoir prévenu sa grand-mère, elle y retrouve les Covenant et, remarquant que Kay est aussi du voyage, décide de la garder à l'oeil.

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Le regard dévasté d'Arthur et celui, accusateur, de Nino, restent gravés dans son esprit, comme les cris qu'avait poussé son frère à leur départ vers l'Isola Famiata. Les remords lui rongent le corps mais il se refuse à baisser les yeux, à capituler face à leur douleur et abandonner ce qui le porte : l'exploration. Alors il conserve un sourire brave pour ses autres adelphes, embrasse une dernière fois Eco et enlace ses deux sœurs aventurières, jusqu'à ce que le dirigeable décolle et que Siren impulse un mouvement vers l'avant.

Il lève les yeux au ciel à sa remarque mais la suit sans lâcher Kassandra, qu'il sait moins à l'aise dans ces situations à risque. "On ne fonce pas vers le danger, on ... Oui bon, vu leur vitesse iels foncent tout à fait vers l'inconnu. se rapproche assez pour une observation plus complète."

Même Carine n'y croit pas et elle rejoint d'autres daemons pour cancaner. Après quelques minutes de discussion avec Solana, que Nicholas salue avec une grimace - pourquoi faut-il toujours qu'un‧e‧x Scorta soit présent‧e‧x à chacune de ses explorations majeures - il s'écarte du groupe pour venir observer le ciel et la terre, si lointaine, à travers un hublot. Heureusement pour lui, le vertige ne l'affecte pas et il reste ainsi, fasciné par ces nouvelles perspectives, pendant un temps indéfini.

Grosse utilité de Nicholas qui ne fait rien à part contempler ses choix de vie.

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Spoiler:

Le vaisseau décolle et bientôt Cittàgazze n'est plus qu'un lointain souvenir. Tu observes la ville disparaître avec un pincement au cœur. Tu ne peux t'empêcher de penser que c'est la dernière fois que tu vois cette île qui t'as vu grandir. T'es pas vraiment optimiste, Kass. Tu connais les risques des explorations, Arthur en est la preuve. Il ne faut jamais prendre l'inconnu à la légère. Une grosse bourrasque pourrait casser votre dirigeable. Une mauvaise manœuvre pourrait vous faire sombrer.

L'anomalie là-haut vous guette. Elle est effrayante. Tu es partagée entre curiosité et peur en la regardant. Elle vous attire comme des papillons. Et les papillons finissent brûler lorsqu'ils s'approchent trop de la lumière des lampes ambariques. Tu ne veux pas être comme ces papillons. L'anomalie vous menace, il faut que vous soyez prudent·e·xs.

C'est sur cette pensée que les premières secousses se font sentir. Tu t'accroches par réflexes à une chaise pour ne pas tomber. Les cris de douleur et de surprise emplissent l'aéronef. Il faut aider là où tu seras la plus utile. Attacher les provisions dans la soute ou aider à tenir le cap ? Tu t'y connais en navigation, mais sur l'eau, pas dans les airs. Pourtant c'est là-bas que tu te diriges. Tu observes ce qu'il se passe devant toi, mais tu te rends compte que c'est bien différent de ce qu'il se passe en mer. Tu ne trouves pas de repère et tout tangue, pourtant tu persistes. Une carte du ciel pourrait vous être utile.

Résumé : Kassandra observe la cité disparaitre avant d'être surprise par les premières secousses. Elle tente de déterminer la trajectoire à suivre.

succès : elle parvient à capter un peu comment ajuster la trajectoire
échec : elle comprend rien et ne serre pas à grand chose  

Carte indice: