Multicomptes : Taron L. Harding & Lior S. Greco & Andréas Naumenko
Pronomi : He/Him
Specchio :
Specie : Haruspice Vulgar
Età : 24 ans - 16 Juillet de l'an 8
Lavoro : Copiste expert illustrateur
Daemon : Imeros - Renard roux
Fazione : Pandémoniques - Foi émergente, doucement apprivoisé et conquise.
Capacità : Enterré sous les cryptes, retourné à l'état de poussière, cendres cloitrées dans leurs jolies bocaux : Les voix des défunts, parole des enfers résonne et déraisonne à son tympan.
Mondo : Géniteur : Gazzi / Génitrice : Altérienne
Cuore : Demisexuel - Palpitant en proie à la balade d'un intrigant
Petit Prince
Pseudo : Mahad Pronoms : SHE / HER Faceclaim : Cha Eunwoo Dialogue : Bold & #D8BFD8 / Bold & #FF7F50 Crédits : Avatar : rathmore Icon : awaregei Messagi : 1180 Fragments : 6549 Multicomptes : Taron L. Harding & Lior S. Greco & Andréas Naumenko Pronomi : He/Him Specchio : Specie : Haruspice Vulgar Età : 24 ans - 16 Juillet de l'an 8 Lavoro : Copiste expert illustrateur Daemon : Imeros - Renard roux Fazione : Pandémoniques - Foi émergente, doucement apprivoisé et conquise. Capacità : Enterré sous les cryptes, retourné à l'état de poussière, cendres cloitrées dans leurs jolies bocaux : Les voix des défunts, parole des enfers résonne et déraisonne à son tympan. Mondo : Géniteur : Gazzi / Génitrice : Altérienne Cuore : Demisexuel - Palpitant en proie à la balade d'un intrigant
La main qu'il tenait fermement s'échappe et lui se retourne à la hâte, pour découvrir le visage fermement décidé du noénaute. À ce moment-là, il n'a pas besoin de prononcer quelconque phrase, l'haruspice sait déjà qu'ils ne s'enfuiront pas ensemble, qu'ils ne quitteront pas la place tous les deux comme il le désir ; parce que le Lusignan a un autre objectif et lui n'a pas les armes pour l'en dissuader. Ça n'est pas le poids des paumes homologue sur ses épaules qui les lui font baisser, mais l'abdication. L'intriguant s'adresse à son daemon plutôt qu'à lui avant de disparaître et il n'a pas la force de s'en plaindre. À présent, que faire ? Etait-il seulement en mesure de se sauver lui-même ? Une silhouette traverse les airs par dessus sa tête, c'est celle d'un.e sorcier.ère lancée à toute allure et il ne peut faire autrement que de suivre des yeux sa trajectoire et d'écarquiller ses sclères lorsqu'il constate qu'une toge entièrement pourpre est le point d'impact. Eluard.Sa cardinale. Sa professeure. Sa confidente. L'objet de l'une de ses passions passée. Et ça lui fait comme un électrochoc dans le crâne, ce que cette vision a eu l'effet d'un poison ; il n'est peut-être pas courageux, mais n'a jamais été lâche ! Cette idée, lui fait comme une impulsion, à farfouiller dans son sac. Un sac qu'il s'enquiquine à transporter toujours trop lourd, pour ce genre d'évènement que l'on redoute en silence, parce que Cittagazze a déjà trop vécu. Iméros l'observe avec curiosité, commence à prononcer. "Aimé m'a di-.." Il est coupé par son porteur, qui s'écrie, frustré. "On s'en fiche de ce qu'a dit Aimé !" Aimé était parti, il avait prit une décision et lui venait d'en prendre une également. Le pandémonique attrape une parangon, qu'il n'hésite pas une seule seconde avant de l'ingurgiter. Il attrape encore une Salamandra à laquelle il réserve le même sort, car la millice est tout autour et qu'il ne veut pas être piégé par leurs flammes. L'effet est instantané, l'haruspice se rue à travers la foule, se crée un passage par la force et déjoue tous les obstacles. Lorsqu'il arrive enfin, il constate la présence de la primat, protégeant sa cardinale, aboyant des ordres, prononçant des regrets ; ça lui enhardi davantage le coeur, parce que si elle est capable de tout ça, c'est que malgré tout : elle va bien. Le Sian profite de la protection de la Eirhart pour s'agenouiller auprès de sa cardinale et lui faire boire une potion subsistance. "Eluard ?" qu'il questionne, toujours aussi timidement en dépit des évènements. "Il faut partir.. On part ensemble.." Le benjamin lance un regard à la primat et s'exprime encore. "Tous les trois. On part tous les trois." Là, il profite de l'effet de la parangon pour aider sa supérieure à se relever, garde l'un de ses bras en travers de ses épaules. "Skye, dis-moi que tu as un plan ?" Il prononce, presque implorant.
CARTES JOUEES:
Parangon
Potion rouge chatoyante décuplant votre force physique et votre courage durant une demi-heure.
Salamandra
Potion vous immunisant pour toujours au feu.
Subsistance
Potion capable de soigner n'importe quel mal en une journée.
résumé : @Aimé E. Lusignan s'en va et Yiwài se retrouve seul, prit au dépourvu. Il voit @Eluard I. Pizzaro se faire attaquer et miraculeusement (désespérément), il reprend du poil de la bête. Il prend une PARANGON & une SALAMANDRA et s'élance pour sauver sa cardinale. Il retrouve @Skye Eirhart prêt d'elle et donne une SUBSISTANCE à la Pizzaro. Il veut fuir la place avec sa cardinale et sa primat et demande à Skye si elle a un plan, qu'il est prêt à suivre à la lettre.
something wrong with me
“C'est grâce aux astres nonpareils, Qui tout au fond du ciel flamboient, Que mes yeux consumés ne voient Que des souvenirs de soleils.”
Pronomi : He/him Specchio : Specie : Haruspices vulgar. Età : 23 ans. Lavoro : Combattant de la Nef des Fous + Ange Déchu. Daemon : Noarah, une femelle mamba noir. Fazione : Zutique. Capacità : Présage funèbre, |r e s s e n t| la mort. Mondo : Possède du sang alterrien de part sa mère. Cuore : s o l i t a i r e Personnage : Classique
L'appel retentit, franchissant la barrière de ses lèvres une seconde et demie avant que la fiole ne s'écrase sur le sol, alors que, dans les airs, un faucon s'était élevé avec entre ses griffes, une fiole destructrice. Tendant le bras dans la direction du serpent, posté non loin sur l'estrade, il la vit filer sur le sol tel un éclair, mais alors qu'il effleurait ses écailles sur le bout de ses doigts, une vague tonnante déchira l'espace, le projetant violemment au sol. Ses bras s'enroulèrent sur la daemon et autour de lui, les gens tombèrent comme des mouches, des cris d'effroi fusant de partout. J'aurais dû me barrer quand j'en avais encore l'occasion. Déboussolé, Haakan tenta de se redresser. Cependant, l'onde de choc vibrait encore dans sa tête, secouant les cellules nerveuses comme un nid de fourmi, venant titiller des RETOUR rugissants dans sa tête. Il entendit vaguement Fureur reprendre la parole, quand brusquement, une douleur tranchante et glaciale vint se planter dans son abdomen. Suivie d'une deuxième, comme une lame froide, calculée, assassine. Le coup fut à couper le souffle, et, effaré, Haakan tenta de recouvrir les plaies de ses mains...seulement pour trouver sa propre chair intacte. La réalisation le frappa en plein fouet : Fuir. Peu importaient les mots des Sans-Factions, peu importaient les solmènes. Il devait se sortir d'ici au plus vite. Brandissant un couteau de la poche d'une ceinture, il entreprit donc de se frayer un chemin entre les coups et les cris. Quitte à choisir, il préférait être celui qui administrerait la mort que celui qui la recevrait en cadeau.
Mais dans le tumulte, il sentit une épaule venir cogner la sienne, une silhouette le dépasser, qui éveilla des bribes de la nuit passée dans ses souvenirs. « Cioran ! Tu... » Il ne termina pas sa phrase. Son regard s'accrocha à l'objet dans sa main, et, dans une fascination sordide, il observa le mouvement, observa le métal venir se loger dans le ventre d'un homme qui n'était autre que l'Absent·e zutique de l'Ambrume. « Cioran qu'est-ce que tu fous » Les mots sont formés par les lèvres, pourtant aucun son n'en sort. Contre toute attente, le jeune homme se retourna, brusquement, trop brusquement. Dans l'éclat d'un soleil trop blanc, un rayon vint se refléter dans le coin de son oeil, et Haakan sentit sa main, machinalement, bouger en un éclair, comme les crocs de Noarah dans l'arène, jusqu'à sentir le contact chaud et poisseux du sang sur ses doigts. Pourtant, il n'y avait aucun couteau, aucune lame pour le menacer. Non, celle-ci était restée logée dans le corps de l'Absent. Hein ? Il l'entendit hurler de douleur, appeler Hyacinth à l'aide. Hyacinth ? Pourquoi ? Rien n'avait trop de sens. Tout trop étrange pour être vrai. Une vision ? Un rêve ? À côté de lui, un·e zutique s'était attaquée à une néonaute, dont le couteau s'était également plongé dans l'Absent. Tout autour de lui, c'était comme une guerre qui s'était déclenchée. FUIR Les mains tremblantes, Haakan dévoila ainsi une fiole translucide et la jeta énergiquement au sol. Une FIOLE-NUIT. « Mon pote, tu t'es fourré dans un sale pétrin. » Ses doigts s'étaient agrippés à la mâchoire de Cioran, et penché vers l'avant pour mieux voir dans ses yeux devenus aveugle, il laissa sa colère éclater. Mais en colère contre qui et pourquoi ? Il n'en avait rien à faire que l'Absent·e gisait à présent dans son propre sang, après tout, il avait été assez incompétent pour laisser le marché aux mains des néonautes. Rien à faire que Cioran en soit l'assassin, lui-même avait probablement plus de sang sur les mains que son "camarade" n'en aurait jamais. Alors pourquoi ? Le visage crispé, Haakan se saisit alors du blessé sous l'épaule, attrapant lae autre zutique par le col. « Embarque-la, et suis-moi. » Bien qu'également aveuglée, cellui-ci parvint quand bien même à traîner la néonaute à sa suite et ensembles, ils s'engouffrèrent dans la plus proche ruelle. Cependant, alors qu'ils allaient tous·tes quatre disparaître dans un Tiers-lieu, Haakan sentit une pointe glaciale lui transpercer le dos, le forçant à terre.
Résumé : Pressentant qu'un assassinat est sur le point d'avoir lieu, Haakan tente de s'enfuir. Mais il se retrouve nez à nez avec @Cioran Tombeor , qu'il voit tuer l'Absent·e et qu'il poignarde plus par panique que dans un geste volontaire. À côté de lui un·e autre zutique s'attaque à @Nell Covenant. Haakan lance alors une Fiole-Nuit pour semer la confusion, et décide d'embarquer avec lui les deux néonautes grièvement blessés. Avec l'autre zutique, tous les quatres tentent de disparaître dans un Tiers-Lieu mais Whisper parvient à lancer un couteau dans le dos de Haakan qui tombe à terre.
FIOLE-NUIT
Fiole transparente, en apparence vide, qui une fois brisée aveugle pendant quelques minutes toute personne à moins de deux mètres.
TIERS-LIEU
Carte permettant de disparaître dans une ruelle imaginaire sans laisser de traces. On prétend que la Salle éteinte se trouve dans un tiers-lieu.
Dernière édition par Haakan Z. Miszczuk le Mer 19 Juin - 15:36, édité 3 fois
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« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Specie : HARUSPICE VULGAR, l'être aux songes annonciateurs et aux futurs innés. Tu aurais pu être PROPHÈTE si le destin ne t'avait pas pris à ton propre piège.
Età : 28 YO, le sort impi de la jeunesse griffé sur ta gueule de chien triste. Meurtrier d'un autre temps, vestige par ta mélancolie, tu as de ces âmes vieillies que provoquent les pensées noires.
Lavoro : Les possibles au bout des doigts, liseur de bonne aventure pour le compte des SOLMÈNES et prostitué de la NEF DES FOUS.
Daemon : Le creux dans ton ventre et le typhon dans tes veines. INESPÉRÉE, tortue marine aux écailles rouges. Celle par qui tu es mort et revenu à la vie, cette part de toi inavouable et pourtant constante.
Fazione : Ecailles sous la carne et servitude au flanc, tu n'es rien d'autre qu'un paria caché sous les dorures glaçantes des SOLMÈNES. Autrefois respecté, la vie joue de ces tours étrangleurs, et te voilà serviteur condamné aux bas larcins et aux fausses prédictions.
Capacità : Lire l'avenir dans les écailles de serpents. SERPENT en filature, tu débusques les possibles dans le toucher tremblant des écailles, cherches dans le froissé des mues ce qui va prendre fin et ce qui s'apprête à être.
Mondo : moitié gazzi, moitié alterrien.
Cuore : attaché et détaché selon la volonté des autres
Pronomi : ᴉᴌ Specchio : Palabres : kafka ▻ #616c94
inespérée ▻ #744454 » playlist Specie : HARUSPICE VULGAR, l'être aux songes annonciateurs et aux futurs innés. Tu aurais pu être PROPHÈTE si le destin ne t'avait pas pris à ton propre piège. Età : 28 YO, le sort impi de la jeunesse griffé sur ta gueule de chien triste. Meurtrier d'un autre temps, vestige par ta mélancolie, tu as de ces âmes vieillies que provoquent les pensées noires. Lavoro : Les possibles au bout des doigts, liseur de bonne aventure pour le compte des SOLMÈNES et prostitué de la NEF DES FOUS. Daemon : Le creux dans ton ventre et le typhon dans tes veines. INESPÉRÉE, tortue marine aux écailles rouges. Celle par qui tu es mort et revenu à la vie, cette part de toi inavouable et pourtant constante. Fazione : Ecailles sous la carne et servitude au flanc, tu n'es rien d'autre qu'un paria caché sous les dorures glaçantes des SOLMÈNES. Autrefois respecté, la vie joue de ces tours étrangleurs, et te voilà serviteur condamné aux bas larcins et aux fausses prédictions. Capacità : Lire l'avenir dans les écailles de serpents. SERPENT en filature, tu débusques les possibles dans le toucher tremblant des écailles, cherches dans le froissé des mues ce qui va prendre fin et ce qui s'apprête à être. Mondo : moitié gazzi, moitié alterrien. Cuore : attaché et détaché selon la volonté des autres
Le chaos qui s’est emparé de la place te glace le sang, alors que les mots de Fureur résonnent en boucle dans ton esprit. Vous avez choisi la discorde. Tu as l’impression d’avoir déjà entendu ces mots, comme si ta chair s’en souvenait. Comme si tout ne pouvait conduire qu’à cet instant terrible, qu’il n’y avait jamais vraiment eu d’issue. Fureur savait-elle comment tout allait se terminer ? Pourquoi avoir joué le simulacre des conseiller·es si ses prémonitions l’avaient déjà conduite jusqu’ici ? Elle savait. Tu en es persuadé. Tout comme elle sait qui ou quoi est sur le point de revenir, se gardant bien de transmettre cette information au reste de la cité. Le savoir, c’est le pouvoir. Tu l’as toujours su, c’est bien la raison pour laquelle tu as été torturé par les solmènes. Parce que tu savais, tu en savais trop. Fureur ne joue pas carte sur table, parce que sa vie en dépend ; et qu’une vie vaut parfois plus qu’une ville entière. La cheffe de la Guilde des haruspices mérite-t-elle encore d’être en vie ? Ses prophéties peuvent-elles tous·tes vous sauver ? Tu es tétanisé à l’idée qu’elle connaisse déjà le dénouement, et que son sourire cynique signifie en réalité je vais tous·tes les abattre. Les questions se bousculent en toi, mais tu n’as pas vraiment le temps de les étudier, bousculé, presque piétiné par la foule.
Tu es pris dans la discorde. Tu voudrais t’enfuir, mais l’assemblée prise d’effroi, attaquée de toutes parts par les sans-factions, est si dense qu’il t’est presque impossible de bouger. Tu aperçois @Astrid Lindbergh de l’autre côté de la place, et le regard de Fureur se tourner vers elle, menaçant. « Astrid ! » tu hurles, tentant de te frayer un chemin dans la foule pour la rejoindre. Elle est en danger, et toi, minuscule, tu ne sais pas comment lui venir en aide. Tu es misérable. Tu vois le mur de flammes qu’elle érige pour se protéger, mais tu n’en es pas rassuré pour autant. Les sans-factions comptent aussi des alchimistes, qui pourraient se protéger du feu, ainsi que des sorcier·es, qui pourraient le survoler. Tu entends confusément ses mots, sa tentative de calmer Fureur, qui demeure vaine. Elle aura tout tenté pour apaiser le chaos, mais on ne peut pas défaire ce qui a été fait. On ne peut pas aller contre les envies de massacre. Bientôt, son mur de flammes ne suffira plus à la protéger.
Alors que tu progresses lentement vers elle pour lui venir en aide, sans avoir de plan bien structuré dans ton esprit, tu reçois un violent coup de crosse dans la tempe, qui te fait tomber brutalement à terre. Très vite, tu te fais piétiner par la foule effrayée – soulagé pourtant de ne pas avoir pris de coup de feu – jusqu’à entendre un grand crac qui te fait pousser un couinement de douleur. L’os de ton avant-bras piétiné, alors que tu tentais de te relever en t’appuyant sur tes mains, semble avoir rompu sous le poids de quelqu'un‧e. Tu arrives à te relever, l’adrénaline pulsant dans tes veines, le souffle court, désorienté. C’est à ce moment-là que tu croises un regard familier. @Aimé E. Lusignan se traîne péniblement vers toi, et tes yeux se posent immédiatement sur la large blessure à son abdomen. « Non… non, non, non… » tu répètes en le prenant dans tes bras pour le soutenir, paniqué en comprenant l’ampleur des dégâts. Tu le traînes un peu jusqu’à pouvoir le déposer lentement au sol, avant de fouiller dans ta sacoche de ta main valide, tremblante, pour en tirer une potion Subsistance, et lui administrer sans hésiter. Tu ne t’aperçois pas que des larmes baignent tes joues. « Pitié, reste avec moi… »
résumé Kafka cherche à venir en aide à @Astrid Lindbergh mais se prend un coup dans la tempe et finit piétiné au sol. Il parvient difficilement à se relever, l'avant-bras brisé, avant qu’@Aimé E. Lusignan ne lui tombe dans les bras, grièvement blessé. Kafka, en pleurs, lui administre une potion Subsistance en espérant l’avoir sauvé.
subsistance
Potion capable de soigner n'importe quel mal en une journée.
✹
Une aube affaiblie Verse par les champs La m é l a n c o l i e Des soleils couchants (verlaine)
Dernière édition par Kafka S. Lindbergh le Mer 19 Juin - 10:54, édité 3 fois
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« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Carte à gagner en intrigue ou en mission. Elle se substitue à une carte réussite, une carte échec, une carte indice, une carte fantasmagoria ou une arme non-magique. Elle octroie un avantage si jouée lors d'une animation. Usage unique.
Au milieu de l'attroupement, Whisper se déplace avec une moue anxieuse. Il ressemble à un agneau egaré en train de fuir un effrayant prédateur. Aujourd'hui, le grand méchant loup se couvre des traits de l'impressionnant Hyacinth, l'atmosphère est déjà bien assez pesante, mais lui ne cesse de vociférer des élocutions qui lui font froid dans le dos. Le messager a beau s'éloigner et pousser des petits cris d'effrois, où qu'il aille, il a l'impression d'être poursuivi par les affreux échos du puissant sorcier. Bien heureusement, le cauchemar finit par s'arrêter et lui par essuyer la sueur qui coule sur son front.
“Je me sens pas bien Rune, il y a trop de monde.. j'crois que je vais m'évanouir.” Avoue-t-il, mélo-dramatique.
“Arrête de pleurnicher Whis, tu vas très bien. On doit rester, tu ne peux pas être le seul à ignorer ce qui se trame.” Réplique le volatile, qui sait se montrer intransigeant.
Au fond, il admet sans peine que son daemon a raison, alors il se fait violence, triture ses doigts, observe d'un regard alerte l'enchaînement rapide qui a lieu sur l'estrade. Il reconnait une fois encore la vaillance et le courage de Kassandra et Nicholas qui prennent la parole contre la Furie dressée devant eux. La tension grimpe, grimpe et il a peur pour ses adelphes, parce qu'il sait qu'ils ne fuiront pas lorsque la dissenssion émergera. Bientôt, elle éclate et la foule se déchaîne comme des vagues scélérates sur des versants abrupts et escarpés.
“Whisper ! À gauche ! Nell !” S'exclame le toucan, dont la voix exprime une urgence sans pareille.
Les pupilles dilatées d'inquiétude cherche les contours de la gémelle, celle sur qui il a veillé avec discrétion et pudeur lorsque la vision s'est manifesté comme une épidémie. Lorsqu'il la voit, une lame s'abat sur l'épaule de la brune, elle pénètre violemment la chair et même si la blessure n'est pas sienne, le sorcier croit sentir la morsure virulente de la douleur s'en prendre à lui. Il hurle son nom, expire tout l'air de ses poumons et se précipite vers elle. Il se débarrasse de son aissaillant, use sans contrôle sa force surhumaine pour l'éjecter à plusieurs mètres et enlace le corps esseulé de Nell avant qu'il ne touche le sol.
“Ça va aller Nell, ça va aller.. je suis là..” Expire-t-il, d'une locution bouleversée.
Ses rivages verdoyants se voilent d'une pellicule humide, tandis que d'une gestuelle maladroite ses mains trouvent la poignée de la dague meutrière qu'il retire d'un coup sec, sans pouvoir éviter à sa soeur une pénible convulsion.
“Désolé.. désolé..” Qu'elle peut l'entendre geindre hâtivement.
Le Lovelace appuie ses mains fermement sur la plaie ouverte de l'haruspice, ses paumes sont bientôt tâchées d'un sang qu'il veut absolument contenir. Agité, il arrache le tissu qui recouvre sa manche et il s'empresse de bander l'épaule blessée. Il est si concentré qu'il ne remarque pas lae sorcier‧ère‧x zutique qui s'approche dans son dos et le repousse à son tour plusieurs mètres plus loin. Lorsqu'il se retourne et qu'il s'élance à nouveau en direction de sa soeur, il remarque qu'elle est emportée par des zutique, tirée dans une ruelle étroite et le châtain sait pertinemment ce que ça signifie. Il se baisse à la hâte, ramasse l'arme acérée encore par terre et la lance en direction d'un des preneur d'otages, mais c'est déjà trop tard et son adelphe disparaît, malgré sa paume tendue dans sa direction et son nom qu'il crit à sans rompre la voix. Whisper tombe à genoux, furieusement, il martèle le sol de ses poings.
Résumé : Whisper fait pipi culotte à cause de @Hyacinth Brennan, il a envie de partir, mais Rune l'enjoint de rester. Il constate avec horreur que @Nell Covenant se fait attaquer, aveuglé par l'urgence, il se il précipite à son secours. Il n'arrive cependant pas à empêcher son enlèvement, même s'il réussit à blesser @Haakan Z. Miszczuk.
Seule la surprise retient sa langue, ça et le frisson de peur qui lui attrape la colonne vertébrale à entendre la voix d'Ori surpasser toutes les autres. Toute cette agitation est un cauchemar pour ses sens d'ours, les vibrations de la foule, leur odeur de peur et d'excitation, les cris, mais il ne sera jamais assez déboussolé pour ne pas reconnaitre le tattoueur où qu'il soit.
Dans son étreinte, la milicienne se débat et il resserre sa prise sur sa gorge, ne portant pas d'attention au sifflement qu'elle émet, à sa blancheur de strangulation. Il y a plus urgent. L'homme qui lui fait face, ce zutique proclamé, Asmar le connait sans l'avoir jamais vu ; s'il ne peut être persuadé de rien, il y a des filiations qui sont aussi éclatantes que le sang sur la neige. Et à en croire sa colère, sa gronde, lui aussi a des doutes, lui aussi comprend ce qui se trame. "Je ne fais pas ça pour toi, cittadini." Ce n'est pas aujourd'hui qu'il le reconnaitra, pas tant que les sien.ne.xs ne seront pas tous.tes libres et protégé.es.
La réponse de Fureur le fait grincer des dents, mais il n'a pas le temps d'aller plus loin, de trouver des mots, qu'il sent sur sa tempe le poids d'une arme. La milice ne travaille jamais en solo, et voilà donc que le chien de garde accourt à la sauvegarde de sa portée. Asmar n'a pas peur : toute arme portée contre lui est une arme de moins contre ses proches, et il n'hésite pas à rire de l'empressement de son otage à le faire tuer. "Si je meurs, toi aussi. Un ours ne lâche jamais sa proie." C'est en fixant @Taron L. Harding qu'il s'exprime, laissant de coté ce frère pour se concentrer sur le danger réel. "Il faudra plus qu'une balle pour nous arrêter."
Dans le chaos qui s'ensuit, l'inkumboli se déchaine, doublant de taille et de volume pour décocher à Taron un revers de la patte. La milicienne en profite pour s'échapper mais ses griffes sont plus rapides et de l'autre patte, il a le temps de la balafrer au flanc. Retombant lourdement sur ses quatre membres, Asmar devient le pire cauchemar de ces gazzi, l'inkumboli au milieu des proies, et pousse un grondement qui résonne avant de charger dans la foule sous sa forme de grizzly. Sa seule préoccupation est Ori, et les analogues prisonnier.ère.xs et blessé.e.xs tombé.e.xs de l'estrade.
résumé Asmar papote cordialement avec son frère, puis frappe Taron (bisous) et griffe profondément Dragon, avant de chercher à rejoindre @Ori Gallo. Si vous êtes dans son chemin, bon chance.
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Messagi : 24400
Fragments : 75427
Multicomptes : /
Specchio :
Palabres :
« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Specie : petite { sorcière } aux balbutiements de son apprentissage, la volonté de s'élever qui jaillit
Età : { 23 printemps } dans la belle Cittàgazze, une jeunesse qu'elle porte sur son visage, dans son apprentissage et derrière ses yeux
Lavoro : { confectionneuse de talismans } pour les lucioles avec les trésors qu'elle collectionne pour exaucer les vœux de celleux qui les déposent dans l'arbre
Daemon : { Magdala, pie bavarde } qui dit tout haut ce qu'elles pensent tout bas
Fazione : exploratrice { noénaute } aux ambitions de gardienne de la mémoire et protectrice
Cuore : une vision ambivalente de l'amour et une inexpérience qui la font flotter au gré du vent, en perpétuel { questionnement }
Pronomi : { elle } Specchio : Palabres : spriggan { #8FBC8B }
magdala { #D4AF37 } Specie : petite { sorcière } aux balbutiements de son apprentissage, la volonté de s'élever qui jaillit Età : { 23 printemps } dans la belle Cittàgazze, une jeunesse qu'elle porte sur son visage, dans son apprentissage et derrière ses yeux Lavoro : { confectionneuse de talismans } pour les lucioles avec les trésors qu'elle collectionne pour exaucer les vœux de celleux qui les déposent dans l'arbre Daemon : { Magdala, pie bavarde } qui dit tout haut ce qu'elles pensent tout bas Fazione : exploratrice { noénaute } aux ambitions de gardienne de la mémoire et protectrice Cuore : une vision ambivalente de l'amour et une inexpérience qui la font flotter au gré du vent, en perpétuel { questionnement } Personnage : Classique
La réponse de Fureur donne envie à Spriggan de lui cracher au visage. Elle a envie de hurler. Aucune parole ne vaut plus que la vie de qui que ce soit. Et sûrement pas celle d’une manipulatrice qui préfère exciter les foules plutôt que d’aider les cittadini à se préparer contre ce qui les menace. Parce qu’elle sait. Elle l’admet. Mais elle préfère garder le silence. Si la parole d’une haruspice est si précieuse, qu’elle la partage. Mais le silence est d’or, et la noénaute est prête à en faire un silence permanent.
Elle sent un soupir de soulagement s’échapper de sa poitrine lorsque Fureur ordonne de relâcher Isle. Au moins, son intervention aura permis d’alléger son cœur de la potentielle disparition d’un visage bien connu. Mais le répit est de courte durée, parce qu’une autre conseillère s’est libérée et, pleine de colère et de peur, elle lance une nuée de corbeaux contre les sans factions. Inquiète pour les noénautes sur l’estrade, Spriggan se penche, tentant de distinguer ce qu’il se passe derrière le bal de plumes. Avant qu’ils ne se retournent vers le peuple aux ordres d’un.e sans-faction. La noénaute arrache sa toge qui dissimulait son carquois et son arc, la rage déformant ses traits. Alors voilà comment sont traités les dissidences ? Et elle ose parler de simulacre de démocratie ? Qu’elle balaie devant sa porte. Les cittadini n’accepteront jamais de suivre une leader qui s’en prend indistinctement à son peuple. Iels préfèrent quand les élites font des préférences.
Son arc bandé, la sorcière se met à viser les oiseaux, Nicholas en fait de même à son côté. L’arc magnétique de ce dernier permet d’abattre le plus gros, l’arc sagittaire de la sorcière s’occupe de ceux qui restent. Et c’est là, le regard glissant le long de sa flèche encochée, qu’elle aperçoit le faucon qui s’élève, une fiole entre les serres. Aucune pensée n’a le temps de se frayer un chemin dans son esprit que la fiole choit et éclate sur l‘estrade, envoyant voler les corps et les cris. L’onde de choc finit de disperser les corbeaux, et les deux noénautes se retrouvent à contempler, ahuri.e.s, la scène. Des esprits plus vifs que le sien se précipitent déjà pour aider les conseiller.ère.s blessé.e.s, mais Spriggan a remarqué une chose. Fureur est toujours debout. Et la menace, c’est elle. Même si elle n’a pas provoqué l’explosion, ni invoqué la nuée d’oiseaux, elle en est responsable. Et ça se confirme quand elle reprend la parole, son rire affreux résonnant plus fort encore que les plaintes des cittadini.
Son appel à détruire les factions de l’intérieur fait monter un frisson dans le dos de la noénaute. Parce que les noénautes c’est la famille de sa famille. Où est saon Capitaine ? Elle l’avise sur l’estrade, aux côtés d’Isle et aux pieds de Fureur. Si près. Si vulnérable. La figure de proue de la faction. Les noénautes lui survivront, mais affaibli.e.s, iels pourraient devenir la cible des autres factions, de celles qui sauront protéger leurs têtes. « Je te couvre » qu’elle hurle à Nicholas pour couvrir le vacarme de la foule. Son regard est fixé sur le dos du garde, son attention est concentrée sur saon Capitaine, au loin. Peut-être que des gens qu’elle aime sont dans la foule. Siren. Djinn. D’autres lucioles. Rhialea. Sa grand-mère. Mais elle ne peut pas penser à elleux. Parce que la vraie menace, c’est celle qui pointe de son doigt des cibles parmi elleux. Parce que protéger lea Capitaine c’est protéger toustes les noénautes. C’est s’assurer que l’équilibre si précaire des pouvoirs dans la cité des pies reste tel qu’il est. Alors elle endure, les coups qu'elle prend, volontaires ou non, sa vue qui se trouble de larmes quand un coup dans sa cheville lui fait presque échapper un cri de douleur, quand quelque chose percute Mag de plein fouet et qu'elle s'écrase sur elle, l'aile douloureuse, et le fantôme de cette douleur dans le bras de la noénaute.
Les deux nonautes arrivent près de la doyenne et de lea Capitaine, de qui Spriggan se rapproche immédiatement. « Capitaine, il faut partir » qu’elle lea presse, alors qu’iel sait très bien quoi faire et est déjà bien mieux entouré qu’elle ne pourra jamais le faire. Nicholas s'occupe d’Isle, les gardes de lea Capitaine, et Spriggan sent cette boule lui coincer la gorge. Elle est encore faible. Inutile. « Fais quelque chose » lui hurle Mag en se posant en catastrophe sur son épaule « t’es une sorcière non ? » Le regard éperdu, Spriggan fixe sa daemon. « Mais bouge » qu’elle braille, sautant sur sa sacoche de hanche. Toujours dans un état second, sur-stimulée par la foule, le regard happé par les flammes de l’aile gauche solmène, la jeune noénaute farfouille de son bras non blessé à la recherche d’une bonne idée. Son verre de rubis ne lui a été d’aucune utilité, elle tend une poignée de bloodmoss à « Nicholas » et tombe sur deux fioles. L’une, glacée dans ses doigts, est censée protéger du feu pour toujours, l’autre, brûlante contre sa paume, permet d’en ériger un mur. « En espérant qu’elles sont bien étiquetées » souffle Spriggan avant d’en déboucher une, l’avaler d’une traite, puis déboucher l’autre pour la verser entre les sans faction et leur groupe. « Capitaine, il faut partir » qu’elle répète, plus assurée.
résumé : Spriggan est soulagée de voir Isle relâchée, mais doit protéger @Nicholas C. Covenant et elle avec son arc sagittaire de la nuée furieuse. Après l'explosion, elle se rapproche de l'estrade avec Nicholas, se foulant la cheville gauche et Mag se blessant l'aile droite sur le chemin. Pour protéger lea Capitaine et Isle, elle donne de la bloodmoss a Nicholas et elle utilise une potion salamandra pour se protéger des flammes qu'elle crée avec sa potion dragorium pour créer un mur de flammes entre les noénautes et les sans faction sur l'estrade.
cartes utilisées:
arc sagittaire
Arc long d'une légèreté étonnante, on dit que chaque flèche tirée avec cet arc atteint systématiquement sa cible.
bloodmoss
Une pommade à appliquer sur des plaies superficielles pour les guérir instantanément.
salamandra
Potion vous immunisant pour toujours au feu.
dragorium
Potion à verser. Allume un mur de flammes qui ne peut être éteint. L'effet dure une heure.
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Dernière édition par Spriggan Scorta le Mer 19 Juin - 14:46, édité 3 fois
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« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Pronomi : Il hésitant et déprécié Specchio : Palabres : #566e85 | Azur &
#6a819d | Maia Specie : Alchimiste Età : 26 ans Lavoro : Combattant à la Nef des Fous, Pianiste et Distributeur de tracts au Munstrum Théâtre Daemon : Maia, une panthère nébuleuse Fazione : Zutique Capacità : Alchimie de l'air plus particulièrement sur le son Mondo : Mi-altérien, mi-analogue Cuore : Pansexuel, polyamoureux Personnage : Classique
Tu plonges tes yeux dans ceux de l'inconnu. Pourquoi t'as cette impression qu'il pourrait être ton reflet dans un miroir ? Pourquoi il est là ? Pourquoi maintenant ? Ça te donne mal au crâne, ça te fait peur. Il y a tellement de choses que tu savais pas et là il ne reste que la colère. T'es pas prêt à faire face à ça, pas encore. C'est un choc bien trop gros. Tu savais pas qu'il y avait quelqu'un‧e pour toi dans cette vie. T'as pas le temps d'y penser plus que ça. Tu veux pas y penser plus que ça. Alors tu détournes les yeux quand il te lâche qu'il est pas venu pour toi. Il répond à ta colère par des mots acérés, blessants. Pourquoi il y a une pointe d'espoir, là, tout au fond de ton cœur ? Qu'est-ce que tu crois ? Il n'est qu'un inconnu. Il ne doit rien signifier pour toi, même si votre ressemblance est frappante, même si t'aimerais croire qu'il peut être ce frère que tu n'as jamais eu. Alors tu l'ignores superbement. Même si le chef de la milice a son arme pointée sur sa tempe. Il n'est pas venu pour toi. Il saura se débrouiller seul.
Quand l'onde de choc secoue l'estrade, tu es projeté par terre et tu vacilles avant de réussir à te redresser. L'analogue a lâché la milicienne qui n'a à peine le temps de s'éloigner avant d'être cueillie par un coup de griffe. Il a pris la forme d'un grizzly et Maia à côté de toi te fait signe que vous l'avez déjà vu. "Il était là à l'attaque de la Terre Brûlée. Je suis sûre qu'on pourrait réussir à le vaincre, il est plus grand, mais peut-être pas si rapide." Et toi d'hocher de la tête. Certainement qu'elle a raison, mais là n'est pas le moment de se poser ces questions là. Fureur donne l'ordre d'attaquer les chef‧fes de chaque faction. Tu sais que tu pourrais être cibler si seulement ton identité de Juste venait à être publique. Tu ferais peut-être mieux de te barrer, mais il y a du chaos partout et du sang. T'as l'impression d'être vivant, comme dans les arènes. Là où il n'est plus question que de vivre ou mourir et rien d'autre. Peut-être que tu mourras aujourd'hui, peut-être que tu n'apprendras jamais à connaître cet inconnu qui te ressemble tellement.
Tu te décides à te mettre en mouvement, il ne fait pas bon de rester immobile dans tout ce chaos. "Bye le grizzly ! On se reverra !" Que tu lances à l'analogue avec un sourire moqueur et tu t'approches de lae prochain‧e sans-faction sur ta route. Tu veux partir de cette place, mais tu refuseras pas un peu de baston. Usant de tes poings et d'un couteau, tu te fraies un chemin. Tu fais des dégâts, mais t'écopes aussi de nombreuses blessures mineures. L'avant-bras droit lacéré par les griffes d'un inkumboli serval, une estafilade sanguinolente sur le torse et l'arcade sourcilière ouverte. Et des brûlures à cause des murs de flamme qui s'érigent de partout. Pas grand chose, rien que tu n'aies pas déjà subi, mais la fatigue s'accumule et tu es de moins en moins attentif, de moins en moins rapide. Maia t'aide à t'orienter et te préviens des dangers qui surgissent dans ton dos. Pourtant, vient un moment où elle non plus n'est plus assez vive. Après avoir mis hors d'état de nuire trois adversaires, un‧e alchimiste sans-faction vient te cueillir. Tu ne lae pas vu arriver. Iel est passé‧e dans ton dos et tu te retrouves avec une lame sortant de ta poitrine. Tu ne comprends pas ce qu'il se passe. Tu tombes à genoux, les jambes incapables de porter ton poids et tu t'affaisses. Comme dans un mirage tu vois ta vie défiler devant tes yeux. Du sang monte dans ta gorge, manque de t'étouffer et tu craches violemment, emporté dans une quinte de toux. Maia tombe à tes côtés, elle aussi est blessée, brûlée. Tu pensais pas que tu finirais ici, comme ça. Tu bascules vers l'avant, la lame bouge, ressort en partie de ton corps, et t'arraches un râle de douleur. Ta conscience se fait fébrile et tu te sens partir. Est-ce vraiment la fin ? La mort est prête à te cueillir et tu pensais avoir plus de temps. Tu devrais avoir plus de temps. Tu fermes les yeux alors que s'échappe de tes lèvres un dernier souffle.
résumé Azur décide de laisser @Asmar Tahrir se débrouiller avec les milicien‧nes, mais il reste quand même dans le coin. Maia reconnait le grizzly qu'iels avaient combattu pendant la bataille de la Terre Brûlée. Azur fini par se barrer, laissant Asmar derrière. Il cherche à s'échapper de la place et se bat avec quelques sans-factions. Un‧e alchimiste le poignarde dans le dos et il tombe. He's dead.
Dernière édition par Azur R. Parisi le Mer 19 Juin - 18:31, édité 1 fois
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« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
Età : ⌜152yo⌟ des décennies à tenter d'échapper aux terreurs.
Lavoro : ⌜dragonologue⌟ spécialiste de Quetzalcóatl et ⌜dealer·euse de peyotl⌟ à temps perdu.
Daemon : ⌜kuzco⌟ un grand et énigmatique condor des Andes.
Fazione : ⌜solmènes⌟ à corps et à cris.
Mondo : ⌜mi-altérien·ne⌟ clan issu du Nippon de l'Alterre et ⌜mi-gazzi⌟ mère alchimiste.
Cuore : ⌜désorienté·e⌟ un cœur qui ne va à personne et à tous‧tes à la fois.
Personnage : Classique
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Pseudo : solomonsuaire Pronoms : il/iel Faceclaim : kosei kudo Dialogue : #6B709E Crédits : HOODWINK Messagi : 447 Fragments : 606 Multicomptes : kafka, simurgh, grimm, arthur, nil, eluard, tsoar Pronomi : iel Specchio : Palabres :
Nobu ― #6B709E
Kuzco ― #5B5E86 » playlist Specie : douloureusement ⌜sorcier·ère⌟ Età : ⌜152yo⌟ des décennies à tenter d'échapper aux terreurs. Lavoro : ⌜dragonologue⌟ spécialiste de Quetzalcóatl et ⌜dealer·euse de peyotl⌟ à temps perdu. Daemon : ⌜kuzco⌟ un grand et énigmatique condor des Andes. Fazione : ⌜solmènes⌟ à corps et à cris. Mondo : ⌜mi-altérien·ne⌟ clan issu du Nippon de l'Alterre et ⌜mi-gazzi⌟ mère alchimiste. Cuore : ⌜désorienté·e⌟ un cœur qui ne va à personne et à tous‧tes à la fois. Personnage : Classique
Les conciliabules ne furent que paroles vaines. Alors qu’une déflagration assomme l’estrade où se trouve une partie du Consiglio, tu ne sais plus comment agir, comment dégoupiller l’escalade de violence que la cheffe de la Guilde des haruspices alimente de son fiel. Rapidement, le chaos qui s’empare de la foule, s’empare en vérité de toute la cité, et malgré les paroles d’apaisement qu’Astrid tente d’insuffler à Fureur, les sans-factions se sont précipité·es sur elle. Elle érige un mur de flammes qui te protège un temps, mais immédiatement, tes pensées vos aux conseiller·es encore sur l’estrade, en danger de mort. Alors tu t’envoles, et tu tentes de gagner le proscenium, mais tu te fais percuter de plein fouet par un·e sorcier·e qui t’envoie valdinguer quelque part dans la foule. Tu heurtes le sol un peu violemment, mais tu n’as rien. Tu ne demeures pas longtemps intact·e.
Il ne se passe pas longtemps avant que tu ne croises un regard presque animal. Tu as tout juste le temps de voir le canon du pistolet se pointer sur toi que le coup part dans un fracas dégueulasse, à bout portant. La balle se fiche dans ton épaule, te faisant perdre l’équilibre sous la violence, et tu finis à terre. Alors que le pistolet te vise de nouveau, cette fois-ci posé presque trop délicatement sur ton front, ton assaillant est percuté de plein fouet par un structure en pierre érigée par un alchimiste pour te protéger, qui l’envoie valdinguer à plusieurs mètres. Tu t’effondres, de douleur et de soulagement, celui d’avoir survécu, une main sur ton épaule où abonde le sang. Tu en appelles à tes pouvoirs pour tenter de conjurer le saignement, mais tu peines à te concentrer. Il te faut de longues minutes pour que l’ichor cesse de goutter au sol, mais la balle toujours fichée dans ta chair te lance atrocement, comme une décharge électrique qui n’en finirait pas de te fusiller. Tu t’en préoccuperas plus tard, il faut que tu trouves un moyen de t’échapper.
C’est en relevant la tête, t’apprêtant à t’envoler, que tu le vois. Et t’as l’impression de crever. Azur.Le sang qu’il crache, la lame qui s’arrache de sa poitrine, lentement, comme si le temps était en train de se suspendre. Son corps qui s’effondre. Tu entrouvres les lèvres mais tu ne t’entends pas crier, alors même que tu hurles à t’en éclater la gorge. Un bourdonnement terrible résonne dans ton crâne, tu ne comprends plus rien. Tu te précipites, sans égard pour la douleur dans ton épaule, jusqu’à parvenir au chevet de celui que tu n’as jamais avoué aimer. « Azur… Azur… » tu répètes, et tu ne t’aperçois pas non plus que des larmes ont éclaté de tes yeux et baignent tes joues, gouttent sur son corps immobile, qu’aucune respiration ne soulève plus. Tu le secoues, tu l’appelles, encore et encore, son sang imbibe tes vêtements, tes mains en sont recouvertes. Tu pisses le sang et ton ichor se mélange à celui d’Azur. Et tu chiales comme t’as jamais pleuré. Comme quand Nomane et Lou sont morts. Soudain, une sorte d’éclair te traverse le crâne de part en part, et tu plonges une main tremblante dans ta sacoche pour en tirer un quartz à âme. Tu l’apposes immédiatement sur le torse d’Azur, où l’horrible blessure t’éclabousse de sang, et l’artefact semble se fondre dans le corps du jeune homme. De longues secondes s’écoulent sans qu’il ne se passe rien, mais tu es trop sidéré·e pour bouger, les mains apposées sur son corps. Tu te laisses presque tomber sur lui, tu enfouis ton visage dans ses vêtements, et à nouveau, tu n’entends pas tes propres cris. Une respiration sifflante s’arrache soudain des lèvres d’Azur, et tu te redresses d’un coup. Il est en vie.
résumé Nobu est protégé‧e par le mur de flammes d'@Astrid Lindbergh. Iel décide d'aller aider les blessé‧e‧xs sur l'estrade mais se fait percuter dans les airs par un sorcier, qui lui colle ensuite une balle dans l'épaule. Iel est secouru‧e par un alchimiste. Iel aperçoit @Azur R. Parisimourir, se précipite pour l'aider, vit l'un des pires moments de sa vie avant d'utiliser un quartz à âme pour le sauver.
éclipse
Carte annulant les 2 derniers dés obtenus, quel que soit le dé, et permettant de les relancer.
quartz à âme
Lae sorcier‧ère‧x peut ramener à la vie une personne que la vie vient de quitter. Cette magie ne soigne cependant pas les blessures.
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Le bien est voulu, Il est le résultat d'un acte, Le mal est p e r m a n e n t. (artaud)
Dernière édition par Nobu Yūgure le Mer 19 Juin - 19:32, édité 3 fois
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« Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant »
La vision des haruspices ne m'intéresse pas particulièrement. Je ne sais pas de qui ou de quoi parle ce mystérieux retour, mais ce qui est sûr c’est que j’avais mieux à faire que d’aller écouter la cheffe de leur guilde. Seulement, vu qu'apparemment tout Cittàgazze s’est réunit là bas, ou du moins toutes les personnes interessantes, me voilà, en retard, dans la ville haute. Plus je me rapproche du lieu de rassemblement et plus j’entends distinctement des cris dans cet énorme brouhaha. L'inquiétude me gagne et j'accélère le pas jusqu’à courir à en perdre haleine. Arrivée à la grande place, mon corps se fige. Ce qui se trouve devant moi n’est pas un débat houleux mais un véritable champ de bataille.
En une fraction de seconde, la peur s’insinue dans toutes les fibres de mon être et je pense à Aimé et Spriggan. Est-ce qu’iels sont encore là ? Est-ce qu’iels sont blessé.e.s ? J’ai besoin d’avoir ces réponses pour contrôler les battements affolés de ce cœur qui ne cherche qu’à sortir de ma poitrine. Sans plus réfléchir je m’élance dans la mêlé à la recherche de visages familiers.
Mes yeux parcourent frénétiquement la foule. Merde, merde, merde, mais qu’est-ce qu’il s’est passé ici ? Je crois entendre qu’il faut protéger les chef.fe.s et comprends que ce sont elleux la cible des sans factions. Se faufiler à travers les combats n’est pas facile mais je reste concentré sur mon objectif principal en esquivant tant bien que mal les poings et objets contondants qui menacent de me fracturer le crâne à plusieurs reprises. “Pourquoi tu t’es mise à courir sans réfléchir ? Tu vas nous faire tuer ! Tu m’entends ? On va mourir à cause de toi !” me crie Blett sur mon épaule. Mais je ne l’écoute plus.
Plusieurs mètres devant moi, se réalise l’un de mes pires cauchemars. Aimé se tient l’abdomen en titubant, du sang dégoulinant entre ses doigts. Je crie son nom et ma voix se brise. Ma vision se brouille, tandis que les larmes inondent mon visage. Mais avant de pouvoir entamer le moindre mouvement pour le rejoindre, un éclair métallique entre dans mon champ de vision et je m’empresse d’éviter la dague de justesse, le cœur battant à tout rompre. Ma joue est entaillée mais, heureusement pour moi, je n’étais pas la cible initiale et mon assaillant se détourne pour s'occuper de sa victime. Reconcentrant mon attention sur celui que je considère comme mon frère, je m'aperçois qu’il a disparu. La panique commence à me submerger avant d’entendre Blett m’assurer qu’il a vu le Lindbergh s’occuper de lui.
Je n’ai pas le temps de digérer l’information qu’un coude s’enfonce violemment dans mes côtes, me privant de mon oxygène. Je suis incapable de resister à la foule et me fais entraîner par le monde autour de moi pendant que je tente désespérément de reprendre mon souffle. Après de longues secondes l’air entre enfin dans mes poumons et avisant les alentours, je me rends compte que je ne sais plus où je suis. Impossible de retourner auprès d’Aimé. Mais je sais au fond de moi qu’il va survivre. Il doit survivre. Ma côte me fait atrocement mal mais je dois trouver Spriggy. Je la distingue enfin au côté de Nicholas ainsi que de la doyenne et lea capitaine avant que des flammes ne les dissimulent à ma vue. Aucun.e n’avait l’air gravement blessé.e et je sens un poids invisible s’enlever de mes épaules. Ce n’est que maintenant que je réalise dans quelle situation je me suis mise. Et je me rends compte que mon daemon avait raison. Si on meurt aujourd’hui, ce sera de ma faute. Il faut partir. Immédiatement.
RÉSUMÉ : Désolée c'est plus long que ce que je ne pensais ! Rhi arrive sur la place une fois que tout à dégénéré et prise de panique, elle s’engouffre dans la mêlé à la recherche de Spriggan et Aimé. Elle aperçoit ce dernier en mauvaise posture avant de le perdre de vue mais Blett la rassure en lui assurant qu’il est entre les mains de Kafka (merci à lui). Un méchant coup de coude dans les côtes plus tard, elle voit enfin Spriggan au loin en compagnie de Nicholas, Isle et lea capitaine. Maintenant que ses craintes sont plus ou moins apaisées, elle se rend compte de sa bêtise d'être venue et cherche à se sortir de là.
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Dernière édition par Rhialea Luciel le Jeu 20 Juin - 21:23, édité 2 fois
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« Partout où j'ai passé
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Pronomi : genderfluid (elle/il) Specchio : Palabres : #01796F | Ori Specie : inkumboli diable de tasmanie Età : 28 ans, 12 octobre Lavoro : passeuse et tatoueuse à Coatlinchàn Fazione : analogue Mondo : analogue Cuore : mère célibataire, trop occupé Personnage : Classique
Tu tires lae conseiller‧ère analogue avec toi. Iel va mieux, tu as pu lae stabiliser, mais iel n'est pas en lieu sûr. Il faut que tu quittes cet endroit sans tarder. Tu regardes autour de toi, à la recherche d'une aide quelconque, mais tu ne reconnais personne. Il faut que tu quittes cette place, il faut que tu sauves votre conseiller‧ère et sans tarder.
Et soudain le chaos, t'as su faire quelques pas pour t'éloigner de l'estrade et de la lumière quand Fureur désigne ses ennemi‧es, ordonne de couper les tête de l'hydre. Et tu pourrais être prise pour cible. Tu es passeuse, tu guides les analogues sur le bon chemin pour qu'iels puissent survivre. Il faut que tu partes. Maintenant. Lae conseiller‧ère reprend conscience, iel est encore faible, mais peut-être que l'adrénaline l'aidera à agir. "Il faut qu'on parte, prenez forme animal, on sera plus rapide." Et iel parvient à te suivre dans ta transformation. Tu lae perds de vue alors qu'iel part dans une autre direction. Et tu cours à en perdre haleine. Le diable de Tasmanie se fraie un passage entre les corps qui se battent, s'écharpent, meurent. Et ce n'est que quand tu repères Asmar que tu t'avances vers lui. Il est comme un phare dans la tempête. Auprès de lui tu seras en sécurité, autant que possible. Il ne laissera rien t'arriver.
Tu déboules à ses côtés et lui fais signe de partir. Lui aussi te cherchait, mais pas le temps de ralentir, de se retrouver. Il faut partir. Tu ne veux pas que vos enfants perdent l'un‧e de leur parent. Iels sont trop jeunes pour ça. Alors tu partiras avec Asmar et s'il ne veut pas, tu le traîneras derrière toi jusqu'au village. Vous devez survivre. Tu continues de courir et ta petite taille est un avantage. Tu te laisses pas distancer par le grizzly. Il faut partir.
Résumé Ori tire lae conseiller‧ère analogue à bas de l'estrade et commence à s'en éloigner en lae trainant avec elle. Iels finissent par se séparer sous forme inkumboli. Ori rejoint @Asmar Tahrir et fui avec lui.
Specie : {a l c h i s m i s t e} le prix à payer, cette équivalence dont elle connaît chaque détail de la balance qui retient et pousse sa main
Età : {2 8} la jeunesse qui périt lentement sans ouvrir la porte à la sagesse que les expériences accumulées offrent
Lavoro : {a i l e g a u c h e} la responsabilité qui l'étreint, ourobouros étouffé dont les traits se tirent
Daemon : {o r i o n} taïpan du désert représentant le partenaire de sa vie, une moitié sans laquelle elle ne peut vivre
Fazione : {s o l m è n e} fidèlité qui est ancrer, qui l'a fait évoluer et grandir à laquelle elle donnerait son essence vitale
Capacità : {f l a m m e s et f o r g e s} le métal fondu qui se retrouve dans les veines, le brûlant bûcher qui est ardent contre l'épiderme
Mondo : {g a z z i} malgré ces origines, c'est son monde et sa maison où ele se sent bien malgré les épreuves
Cuore : {f i a n c é f a n t ô m e} la solitude, la disparition qui déchire son cœur sans qu'elle ne puisse rien faire, abandonnée à la recherche d'un second souffle
Pronomi : elle Specchio : Specie : {a l c h i s m i s t e} le prix à payer, cette équivalence dont elle connaît chaque détail de la balance qui retient et pousse sa main Età : {2 8} la jeunesse qui périt lentement sans ouvrir la porte à la sagesse que les expériences accumulées offrent Lavoro : {a i l e g a u c h e} la responsabilité qui l'étreint, ourobouros étouffé dont les traits se tirent Daemon : {o r i o n} taïpan du désert représentant le partenaire de sa vie, une moitié sans laquelle elle ne peut vivre Fazione : {s o l m è n e} fidèlité qui est ancrer, qui l'a fait évoluer et grandir à laquelle elle donnerait son essence vitale Capacità : {f l a m m e s et f o r g e s} le métal fondu qui se retrouve dans les veines, le brûlant bûcher qui est ardent contre l'épiderme Mondo : {g a z z i} malgré ces origines, c'est son monde et sa maison où ele se sent bien malgré les épreuves Cuore : {f i a n c é f a n t ô m e} la solitude, la disparition qui déchire son cœur sans qu'elle ne puisse rien faire, abandonnée à la recherche d'un second souffle
Les flammes physiques comme sa voix s’éteignaient lentement sans que l’incendie déclenchait par les mots incandescents de Fureur ne s’apaisent priver de carburant. Dans ces prunelles marrons, le tumulte des agressions et des combats se reflétaient sans qu’elle ne puisse rien y faire sans recourir elle-même à une force qu’elle avait mais se refusait à utiliser. Finalement, la menace n’aurait probablement pas besoin d’arriver jusqu’à eux, chaque jour ils faisaient couler eux-mêmes le sang de leurs pairs. L’apocalypse pourrait bien venir de chaque semblable plutôt que des cieux.
Le visage fermé et les iris concentrés, chacun de ses sens éveillé au sommet de sa concentration alors qu’elle se savait avec une cible éclatante au-dessus de sa tête. Du coin de l’oeil, elle voit Nobu qui s’écarte d’elle pour aller aider des blessé.e.x.s qui se multipliaient dans l’ensemble de la place. L’aile esquiva d’un geste un coup de lame qu’elle manqua de se prendre avant de faire jaillir une lame de flammes. Ses tympans avaient perçu la voix, si présente et pourtant si loin qu’elle semblait encore jaillir du passé de leur temps heureux, de Kafka qui l’appelaient. Son regard le cherchait, désespérée, son frère quand elle aperçoit une silhouette à laquelle elle ne prête qu’une attention lointaine et son frère.
La rousse était habituellement tout en calcul, maîtrise de sa personne et du contexte. Des années à apprendre le contrôle de soi, de son âme et de son esprit pour que le fait d’apercevoir Kafka lui fait perdre toutes ses bonnes habitudes. « Attention devant ! ». D’un simple claquement de doigts, elle transmute des molécules composants l’air autour d’elle un jet de flammes dévastateur pour dévoiler le chemin jusqu’à lui. La rousse prête à peine attention aux autres, elle usait de son alchimie sans véritable limite pour retrouver son frère. L’air se chargeait d’une odeur de brûlés sans que l’on sache toujours ce qui avait pu servir de combustible dans cette foule incontrôlable et chaotique. Les flammes léchèrent même le bas de sa veste manquant de mettre le feu à ses vêtements. L’aile voit bien les personnes qui tentent de l’attaquer mais outre les violentes langues de flammes qu’elle transmute des molécules de dioxygène, aucun état d’âme ne transperce dans ses prunelles, rien. Elle tuerait, avec regret et tourment, mais sans hésitation si la situation le lui exigeait. Elle blessait déjà sans que rien ne transparaisse sur son visage.
Aperçevant la chevelure de Kafka, Astrid se précipita vers son frre pour le voir à genoux entrain de prendre soin d’un corps étendu. Elle veut lui demander de venir avec elle lorsqu’elle reconnaît les traits de ce visage pour les avoir tant de fois caresser du bout des doigts ou des lèvres. Son palpitant semble quelques secondes décider de ne plus vouloir réaliser son rôle correctement avant de recommencer. « Aimé ? ». Sa voix ne tremble pas malgré la gorge noué alors qu’elle se précipite à son chevet, entre la poussière et les combats alors que ces prunelles sont fermés. « Pas lui, pas comme ça. ». Sa voix a des accents impérieux, de celle qui ont l’habitude d’ordonner et d’être obéi sans sourciller. Ses doigts se posent contre la carotide, sentant un poul discret.
L’attention ailleurs laisse un personne s’approcher dans le tumulte. D’un geste prompt, Astrid évite le coup de couteau qui se contente d’entailler superficiellement la personne qui l’avait attaqué avant de la repousser d’un claquement de doigts enflammés. Dans le même geste elle transmute un brancard légèrement branlant. « Je suis loin d’être douée en alchimie médicale et je ne pense pas que le bouger soit une bonne idée mais j’ai peur qu’ici nous soyons encore plus en danger. ». Parce qu’elle refusait de laisser mourir son premier amour, parce qu’on ne l’oublie jamais totalement, parce que la Astrid des premiers émois avait chuchoté toujours et qu’elle se refusait de la trahir, parce qu’elle ne voulait pas être une personne maudite qui détruit tous ceux qui s’approchent.
résumé : Astrid laisse s’éteindre son discours. Et alors qu’elle se demande quoi faire et essaye surtout de maintenir au maximum le calme de la foule sans se prendre de dégâts elle entend la voix de Kafka. Oubliant toute notion de devoir envers sa faction, elle se précipite pour l’aider avec Aimé, les protégeant et les soignants le mieux possible.
don't light
up my fire
Dernière édition par Astrid Lindbergh le Mar 2 Juil - 18:38, édité 2 fois